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Psychology

Moi mentalement, c'est simple et compliqué à la fois. Je suis une addition de contradictions qui donne pour résultat, ma personne.

Très énergique : Bouger, bouger, c'est mon envie de tous les instants. Si je n'ai pas envie de rien faire, soyez certain que faire du sport ou trouver un endroit qui me ferait bouger sera ma première des priorités. Quand la flemme ne m'habite pas, ne vous attendez pas à me voir silencieux en train de bader comme un alcoolique sur son canapé. Sortez plutôt la tête par la fenêtre et cherchez une tête rousse qui s'agite dans tous les sens. En effet, ça, c'est mon premier visage que je ne cache à personne.

Flemmard : Malgré mon envie de toujours en faire plus, d'être actif, il m'arrive souvent de devenir aussi mou qu'un paresseux sur sa branche. Et quand je me compare à l'animal, ce n'est pas pour rien. Lent... Extrêmement lent parfois, au point de paraitre presque en slow motion tant certains mouvements sont lents. Par exemple, le jour dans mon lit, soyez sûr que si ce n'est pas un jour important, il faudra me secouer pour me réveiller de force, ou alors attendre si vous voulez que je me lève de moi-même. Dans ces moments là, fumer, m'amuser gentiment et ne rien faire sont mes principales préoccupations. Doucement le matin et pas trop vite le soir comme on dit.

Cash : Gosh ce qu'elle est bonne. Beurk t'es immonde... Ces mots peuvent sembler cru, mais ceux-ci sont juste là pour imager à quel point ma personne peut être direct. Ne pas mâcher mes mots, c'est ma spécialité, quitte à m'engueuler souvent avec des gens de mon entourage. Bien que ce ne soit pas méchant, parfois, les ennuis vont loin. Malgré tout ce côté direct, il m'arrive d'être plus soft, notamment en présence de ma famille. Pourquoi ? Point suivant.

Fier : Je suis ce que je suis. Je ne me trouve pas parfait, mais quand je fais quelque chose de bien, j'aime le montrer. Inversement, quand c'est mal, j'aime le cacher. Être au dessus des autres, c'est plaisant, mais n'imaginez pas que je me prenne pour un roi au dessus de ses sujets. Malgré ce semblant d'équilibre, j'ai tendance à parfois me montrer comme étant un peu arrogant ou hautain.

Amnésique : En effet, le jeune homme souffre d'amnésie. Il ne se souviens pas de sa jeunesse et se contente de vivre au jour le jour.

Petit plus, je faisais de la boxe pour tuer le temps, mais désormais, je jongle entre jouer de la guitare et de la batterie.

Appearance

Je suis  plutôt grand sans être une asperge pour autant. J'arrive à un bon mètre soixante-dix-huit. Mes cheveux sont roux, virant presque au rouge selon la lumière ambiante. Parfois, on pourrait presque croire que j'ai des pointes blondes.  Mais là encore, ce ne sont que des reflets. Pour ce qui est de la coiffure, je préfère un style à la fois rangé et légèrement en bataille. Même si cela se voit peu de temps à autre, puisque je porte très souvent un chapeau.
Suite à cette chevelure, le front reste un simple détail. Plat comme un lac, il n'y a pas à s'attarder. Le plus intéressant reste les yeux. Ceux-ci sont d'un vert légèrement foncé. On est proche de la couleur de la pomme Granny Smith. D'ailleurs... Allez vous la croquer cette fameuse pomme ? Car au fond, j'attends que ça. En effet, rien qu'en regardant mes yeux, on devine les lèvres.  Celles-ci sont fines et très souvent étirées. J'apprécie sourire. Que ce soit de manière sympathique ou un peu plus... machiavélique. Oui, car méfiez vous. Malgré mon apparence, je suis un vrai petit démon.

D'ailleurs, le visage étant terminé ( le menton et autres petits détails ne méritent pas vraiment de descriptions ), passons au corps. Là encore, celui-ci est assez similaire. Musclé mais pas trop, quoi que un peu quand même. Mes bras sont normaux niveau longueur et  égaux niveau musculature. Il en va de même pour mes jambes. Très bien montées, elles n'ont aucun souci lors de courses poursuites lors de mauvais ou gentils coups. Des kilomètres... J'en ai couru dans ma jeunesse. Pour ce qui est du torse, je l'entretiens.

Bref, vous l'aurez compris, je me considère beau et je n'ai pas honte de  l'avouer. Trop parfait ? Peut-être, bien qu'au fond, j'ai mes défauts. Mes défauts ? Reconnaitre que je suis normal !!!

De plus, je possède un tatouage dans le dos en forme d'aigle tribal courant le long de mon haut du dos, sur le début de mes épaules et vers le milieu du dos.
> http://rlv.zcache.fr/conception_tribale_de_tatouage_de_faucon_cartes-r747e17493d6a4071a0c230d894fba34a_xvuak_8byvr_512.jpg

Storyline

Il y a vingt ans de cela, je voyais le jour. Comme tout le monde, je suis sortis d'entre les cuisses de maman, j'ai chialé comme une personne ayant pris un coup sur la tête et c'est papa qui a nettoyé l'horrible personnage que j'étais. Oui oui mesdames et messieurs, un enfant vampire, c'est comme les humains.  Les enfants sont chiants à tel point qu'on a envie de les bercer trop près du mur... Mais heureusement dans mon cas, mes parents avaient compris que j'étais un casse noisette de première, alors... autant ne pas agraver le cas n'est-ce pas ?  Suite à cette naissance aussi classique que la musique de Mozart, j'ai grandis comme une personne normale. Du moins, en apparence.

En effet, j'ai beau être normal, l'apparence ne fait pas tout. Les humains l'avouent à voix haute : l'habit , ne fait pas le moine. Et justement, leurs préjugés qu'ils décrivent lors d'histoire comme " Twilight " ne font que montrer à quel point ils ne savent pas appliquer leurs propres dictons. Loin de craindre la lumière, l'ail, d'être amoureux d'une pouffe qui se fait sauter par un homme loup et loin d'avoir la peau blanche qui brille au soleil, je suis un vampire tout ce qu'il y a de plus authentique. De ce fait, ma nourriture principale est le sang quel qu'il soit. En sachant que mon préféré est celui des humains. Si délicieux, si délicat... Dès mon plus jeune âge, mes parents m'habituaient à cela. Au diable les pseudos outils que nous avons dans notre société pour éviter de boire du sang pur, au diable le sang factice, vive le sang frais sortit tout droit des veines.
C'est ainsi que je me faisais rejeté très jeune. En effet, même si j'étais un vampire, je faisais mon éducation tel un humain classique. Et bien qu'ils soient idiot au point de ne jamais faire un lien entre des " accidents " et ma présence, je me devais de vivre parmi eux. Imaginer mon mal comparé aux leurs... Eux, ils ont un prédateur en leurs murs et moi, je suis enfermé dans un frigo géant. Quel merde. C'est sans doute de là que me vient ce tempéramment un peu carnassier.

Plus les années passèrent, plus mon instinct de joueur se dévellopait. J'emmerde les chasses classiques et je me met à jouer avec la nourriture. Dieu que c'est mal, mais pourtant, c'est si amusant de coincer une jolie fille dans un gymnase, lui révéler qui je suis et lui donner cinq minutes pour tenter de s'échapper en sachant que j'ai pris soin de faire partir toutes les personnes présentes avant, et de fermer les lieux. Ces petits jeux, je ne m'en lassaient jamais et je ne me faisais jamais prendre grâce aux traumatismes de mes victimes. Maux de tête, craintes et parfois amnésie légère...
Mais une fois devenu un adolescent, les choses changent. On devient une cible sérieuse et là, ce sont les chasseurs de vampires qui vous cassent les noix.  Bien heureusement pour moi, j'ai vite appris à m'adapter et survivre. Jusqu'au jour où à l'âge de mes 18 ans, ma famille se fit décimer lors d'une attaque générale. Comment j'y ais échappé ?  Et non... Pas par le coup du passage secret dans un manoire, mais ... parce que j'étais ailleurs ce soir là. Dans le lit d'une demoiselle qui avait trop bu en ma compagnie.

Depuis cet incident, j'ai chercher les responsables, mais je n'eus pas trop besoin de chercher, ce sont eux qui m'ont retrouvés. Suite à un long combat où le chasseur devenait la bête chassée, je me suis échappé de peu, mais suite à mes blessures, je suis devenu amnésique. J'en oubliais la quasi totalité de mon passé.
Faisant avec, j'ai donc vécu au jour le jour, essayant de reconstruire mon passé en vain. Ma vie pris un petit tournant amusant quand un soir jai rencontré une femme exceptionnelle. Bien qu'elle voulait ma tête, je l'aimais bien, sans doute à cause de son physique de bombe. Son nom ? Yumi. Dommage... si ça avait été Yume, cela aurait signifiait " rêve ". Bref, mine de rien, elle a faillit me tuer plus d'une fois, mais grâce à ma malice, je m'en suis toujours sortis avec beaucoup de chance. Mais même si elle tentait de m'ôter la vie, je l'ai toujours apprécié, allez savoir pourquoi...

Suite à cela, ma vie a continuer et une fois que j'eus mon invitation pour " Merveille ", j'ai pris ce fameux bus, loin d'imaginer les études que j'y ferais et surtout... les gens que je rencontrerais là-bas.

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