L'amour était parfois une source de problèmes, de tristesse, de colère, tout pleins de choses qui me tourmentaient maintenant. Je ne voulais plus que partir maintenant, s'il te plaît Aijiro... Redevient celui que je connaissais, je ne voulais pas faire transparaître mes faiblesses vis à vis de lui, à vrai dire je me laissais complètement faire quand j'étais avec lui, avec les autres j'étais une peste, avec lui j'étais la petite fille fragile qui à besoin d'amour. . . Seulement, maintenant j'avais l'impression d'avoir perdu la partie, d'avoir perdu la moitié de mon être. Juste ça. Juste ça...
Je ne pouvais plus nier le fait que je ne pouvais plus regarder Aijiro dans les yeux sans avoir envie de pleuré, oui, j'avais envie de pleuré, c'était définitif. Je ne pouvais plus me retenir, oh ça non grand jamais.

- Desoler, j'y suis pour rien...

Il n'y était pour rien ? Pour rien ! Quoi ! Mais c'était quoi cette affaire encore ? Le voilà qui s'excuse, je n'en avais que faire de ses piètres excuses, j'étais remontée contre lui, je sentais alors mes larmes me monter aux yeux, avant de commencer à perler sur mes joues, non... Pas vrai, pas possible, je veux tout arrêter maintenant.

- Cesse de t'excuser, et arrête ça tout de suite avant que je m'énerve, connard.

Oui, je l'avais insulté de connard, et c'était ce qu'il était après tout, il était comme sur le point de me violer. Cela ne pouvait plus duré.... Je frémis alors en sentant les doigts d'Aijiro venir s'installer pour caresser inlassablement mes lèvres intimes, kyah... Non pas ça, il voulait m'excité, je l'étais mais à contre coeur, cette situation était difficile à expliqué mais en tout cas, tout ce que je savais c'est maintenant, j'étais comme contrainte à faire ce genre de conneries avec Aijiro, salop... Soupirant, j'ouvris grands les yeux et me cambra en sentant sa langue venir titiller à nouveau mon intimité qui avait prit sûrement une belle forme visuelle sur ma petite culotte qui devenait de plus en plus humide... Non...............

- Mmhhh ta une mouille parfaite !

Putain mais... Je rougissais énormement maintenant, je ne sais pas si c'est qu'il cherchait mais en tout cas, tout ce que je pouvais tenir en conclusion c'est que je me sentais totalement abandonnée, foutue, je me sentais comme une grosse merde qui était contrainte de se faire violer, gros choc mental que je n'oublierais plus jamais... Et soudain, j'eus une idée pour tenter de le feinter...

Je poussais alors un gémissement de douleur, poignant mon cou entre mes mains, je commençais alors à me tordre de douleur, le regardant d'un regard malade, mal en point, triste et un regard qui le suppliait....

- Aijiro... Je ne me sens pas bien... Arrête s'il te plaît, en plus, je suis malade depuis hier, je ne suis pas en état... Excuse moi, mais j'aimerais quand même aller me reposer à l'infirmerie pour être tranquille...

Rima, alias la comédienne en puissance... J'ignorais si cela allait marcher, déjà je serais fixée si il avait encore son coeur d'amoureux ou non... Sinon, je laisserais tomber la chose et je devrais me contraindre à le quitter pour toujours, quitte à m'infliger une pire souffrance... De toute manière si je continuais à rester ici, j'étais bonne pour être violée et être détruite psychologiquement.... Le choix est rapidement établi, n'est ce pas ?

Je me sentais vraiment inutile, futile merde, putain, je me sentais tellement, tellement perdue, je ne savais même plus qui j'étais réellement et maintenant je me retrouvais confrontée à la plus grande peur de ma vie, un vampire qui était devenu mon petit-ami de tous les jours, qui était absent depuis trois jours, sans nouvelles, ni rien du tout. ~ Il faut dire que je m'étais fais un sang d'encre et me voilà maintenant en train de limite me faire violer par l'être que je pensais aimé plus que tout au monde. Je crois que je n'avais pas de chance, je voulais tellement que cette douce souffrance qui m'offensait cesse, c'est pour cela que j'avais pris l'excuse d'être malade.

Malheureusement, je crois que cela ne marchait pas, je soupirais, je me sentais désespérée. J'étais apeurée, j'avais peur, froid, mon être frémissait aux atteintes sexuelles que me faisait subir Aijiro, mais mon moral qui avait déjà prit un coup ne semblait pas du même avis... Pitié... Qu'il arrête. Maintenant, ou je ne pourrais pas supporter ce choc psychologique que cela pourrait entraîner, je tenais à avoir quand même une première fois digne de ce nom, mais finalement, je crois que je n'aurai qu'une première fois que je me ferais violée... Mes larmes de mon corps commençaient alors à couler sur mes joues, je n'en pouvais plus. Lorsque ses paroles me transpercèrent l'esprit telles une flèche qui me perça le coeur : " Tu m'appartient dorenavant ! tous ton corps m'appartient ! la preuve regarde ! "

Subitement, je me sentais alors gênée au niveau du cou, Aijiro me saisit par la gorge en venant me plaquer contre le mur. Je poussais un gémissement de douleur, cela faisait mal... J'avais déjà mal au coeur, maintenant voilà qu'il commençait à me faire violence ?... Décidement, en fait j'aurai mieux fait de me méfier d'Aijiro dès le début. Tous les vampires sont pareils...

- Aaaaah...!! Ca fait mal... Aijiro, ne...

A peine je pus terminer ma phrase qu'il m'avait alors enfoncé deux doigts entiers dans mon vagin qui lui était encore vierge et pas des plus préparés. J'avais très mal, il commençait à me faire de rapides vas et vient avec, j'avais mal. Je poussais des bruits de douleurs, des petits cris étouffés par mes sanglots qui recommençaient encore une fois... Je ne le reconnaissais plus...

Il continuait toujours plus fort à me faire entrer ses doigts en moi, et moi, comme une conne, je mouillais, je mouillais et lui ça avait l'air de le faire marrer, de l'exciter, mais pas moi... Mais je crois bien que j'étais contrainte... Il me dit alors, que j'aimais ça, comme une cochonne. Je rougis violemment encore une fois avant d'ouvrir la bouche, entre ouvrir mes lèvres avant de lui répondre :

- ... Tu... Tu me fais mal... J'ai mal... Je .... Je croyais t'aimer, je croyais que tu avais des sentiments humains, et me voilà maintenant en train de me faire violée par le mec que j'aime, enfin, que je croyais aimer... S'il te plaît...

Je le fixais alors, les yeux mouillés par mes pleurs, que me voulait-il à la fin ?!

J'avais beau pleuré toutes les larmes de mon corps, Aijiro s'en foutait royalement, et ça j'en étais quasiment sûre. Il était trop changé pour pouvoir se rendre compte qu'il me faisait vraiment mais vraiment mal. J'étais vierge, comment pouvait-il ne pas respecter cette situation ?... Enfin je ne comprenais vraiment plus rien du tout, j'étais comme en transe, entre deux sentiments, me laisser faire, me laisser faire comme une soumise sexuelle pour les petits plaisirs de monsieur qui voudrait profiter de moi, ou alors, faire comme si de rien n'était et accepter de faire l'amour sans que je ne sois pas totalement prête... Il faut dire qu'il avait un sacré culot pour oser faire ce genre de chose.

Les paroles qu'il m'avait dite un peu avant, sur le fait que je lui appartenais, que mon corps entier lui appartenait me trotait dans la tête comme une pendule et son tic tac que l'on pouvait reproduire inlassablement dans notre esprit. De pus, je me sentais complètement perdue, je ne savais même plus si c'était si bien ce que je faisais... Peut être que finalement, je n'aurai jamais du venir, je n'aurai jamais du tomber sur Aijiro au départ, mes yeux bleus se fermèrent lorsqu'il prononça alors les mots qu'il m'aimait suivit de mon prénom... Futile...

- Je ... Je te crois plus ! P....Pas après ça.

En tout cas, j'osais espérer que plus tard il se rendrait compte de tout ce qu'il aurait pu faire de mon corps. A vrai dire, je ne savais même plus si il m'aimait pour mon corps, ou s'il m'aimait réellement. Non, un véritable amoureux ne ferait pas à sa à sa petite amie qu'il était censé aimé...

Soudainement, je me retrouvais alors allongée sur le lit, mes fesses en l'air, et le reste de mon corps vers le bas, sur le lit. Je ne comprenais plus rien, et j'avais mal... Je pleurais toujours alors qu'il commençait alors à m'attacher les mains par une corde qu'il trouva je ne sais ou ~ ... Encore une fois, je me disais que j'étais foutue. Je me retrouvais alors sans rien pouvoir faire, ouvrant les yeux, je penchais la tête avant de le voir approcher son doigt de mon orifice qui était d'autre que mon anus... Oh, non, surtout pas ça... Et là, son doigt s'introduit alors dans ce trou un peu plus serré que mon vagin en lui même qui recommença lui aussi à être ramoner par ses deux doigts. Je voulais qu'il arrête, mais c'était trop tard. Je poussais alors un gémissement de plaisir, oui j'aimais ça, c'était bon, j'en voulais encore, mais ma conscience en pensait autrement...

- Hmmmm mm ! ~

Complètement immobilisée, je ne pouvais plus bouger de mes bras, j'étais comme abandonnée pour les plaisirs de ce bon monsieur qui semblait me voir quelque chose, et j'avais déjà deviné ce que c'était. Bien évidemment. Mais malgré ça, comme tu peux le constater cher lecteur, ça me hante, je n'avais pas envie de le faire, et surtout pas dans ses conditions, mais je crois comme moi que finalement je pense que c'était foutu pour moi et j'étais bien obligée à devenir comme une sorte de soumise à Aijiro. N'est ce pas là ce qu'il cherche peut être ? A faire de moi quelqu'un qu'il pourra considéré comme un objet de plaisir et de désir... Effectivement.

Il s'arrêtait alors de me faire cette double pénétration entre mon anus et mon vagin, je pouvais enfin souffler, c'était dur à supporter psychologiquement, comme physiquement. J'avais toujours mal, et une sensation bizarre au bout de mes membres... Aijiro en allait trop loin et trop vite. C'est alors qu'il me dit subitement, de lui nettoyer ses doigts mouillés par ma cyprine, et que par la suite je devais lui faire une fellation... Et puis quoi encore...
Il m'indiqua alors qu'il fallait que je fasse attention à ce que je faisais, je risquerais de le regretter... J'avais peur quand il disait ça, mais je n'aimais pas ce genre de pratique, je ne voulais pas faire ça... Non...

- Non, je ne veux pas... Je n'aime pas cette pratique... Non...

Toujours mes bras liés par la corde, je voyais alors devant mes yeux azurés l'imposant membre d'Aijiro se poser doucement à quelques centimètres de ma bouche, et ses doigts mouillés. Je rougis, en détourant le regard. Je refusais catégoriquement de faire cela... Je n'aimais pas cette situation décidément. Je tremblais toute seule de tous mes membres, je ne voulais pas !

- NON ! Je ne veux pas...

Quelqu'un l'arrête, il avait complètement perdu le sens de la raison, n'est ce pas ? Je voudrais simplement que quelqu'un puisse me le confirmer, afin que je puisse bien déterminer que maintenant, rien ne serait comme avant, je me retrouvais là, impuissante face à lui, en train de devenir peu à peu comme une sorte d'esclave sexuel qui devra obéir comme un animal face aux plaisirs d'Aijiro... Lui... Lui... mon petit ami... Lui que je croyais aimer plus que tout mais finalement, je vois que j'avais des doutes, jamais personne ne pourrait faire une telle chose comme il le faisait actuellement.

Alors qu'il m'avait donc imposé de lui faire une fellation, que je n'avais jamais fais auparavant, et de lui sucer ses doigts pleins de mouille, il les sortait de mon vagin bien sûr... Je le voyais bien, aussi mouillé que ça, cela ne pouvait venir que de là... Alors que j'avais refusé de lui faire sa fellation, celui-ci semblait ne pas apprécier. Il me criait dessus afin que je le fasse.

- ... Ne m'oblige pas à ça, prends si tu veux tout ce que tu veux, mais pas ça... Je ne me sens pas prête à te faire ça....

Je sentis alors ses doigts venir s'introduire dans ma bouche, je fus contrainte à ouvrir la bouche tandis qu'il me dit alors en me prévenant que si je ne le faisais pas, il mettrait son membre autre part en moi, non... Je fus donc prise en sandwich et je préféra donc lui faire ce qu'il me demandait, en bonne petite amie soumise... Je suçotais alors ses doigts, je grimaçais alors en goûtant à mon propre goût... répugnant.

Tandis que je lui "nettoyais" ses doigts à contre coeur, je sentais alors son sexe venir taper sur ma joue, sentant une douceur un peu plus chaude que son membre en lui même, certainement, sa pré-semence... Je sentais les quelques goutes venir ruisseler le long de ma joue, descendant à mon menton, pour venir dans mon cou, je ne pouvais pas alors l'usage de mes mains ni de mes bras... Ils étaient toujours liés, et moi déshabillée...

Je décalais alors ma tête vers son sexe, qui était fort dressé, j'avais peur, je n'avais pas envie, ça me dégoûtait... Doucement j'ouvrais à nouveau la bouche relâchant ses doigts et commençait alors à passer ma langue sur son gland délicatement avant de descendre le long de son épaisse tige qui semblait apprécier, sentant son membre réagir et grossir toujours plus... Je n'aimais pas...

- Je... Je n'aime pas...

Il me crie alors une fois de plus dessus en me disant que j'aimais ça, et que je l'excitais, une nouvelle larme perla sur ma joue pleine de sa pré-semence... Mon Dieu, dans quel état j'étais... Je n'oserais plus jamais me regarder en face après cette journée... Et lentement je saisis dans ma bouche le bout de son sexe, commençons par le début... Je fermais les yeux en le faisant un peu plus entrer dans ma bouche, afin de lui donner sa caresse buccale qu'il souhaitait tant...

Je n'avais plus choix, plus de retour en arrière possible, j'aurai tant pouvoir eu le temps d'avoir prévu tout cela, tout ce cirque qui me mettait si mal à l'aise, si mal dans ma peau, je ne savais pas comment fallait-il réagir. Obéir comme un animal ou avoir un minimum de respect pour sa propre personne... Je voulais dire de tout à Aijiro, mais vraiment de tout, en parler à ma soeur ? Impossible... En parler à la directrice ? Cela allait m'apporter que des problèmes, mais alors à qui je devais en parler ? A personne ? ... Je crois bien effectivement.... Blessure qui ne se refermera jamais...

Tandis que je commençais alors à lui faire ce qu'il me demandait, ce que je veux dire par là, c'était la fellation... Cette pratique je ne n'aimais pas, j'avais beau lui faire comprendre que je ne voulais pas et qu'il devait le respecter, il ne semblait pas partager mon avis, il était complètement changé, si seulement je pouvais tuer cette vampire qui avait transformer Aijiro en ses créatures trop horribles... Alors que je lui avais dis que je n'aimais pas il me bouscula pour que je me retrouve sur le dos, allongée à l'autre bout du lit, mes jambes écartées, mes bras liés derrière mon dos, coincé. Je pleurais encore un peu, tandis que je sentais alors le sexe d'Aijiro venir pénétrer ma bouche aussi violemment qu'il arrivait presque à arriver jusqu'au fond de ma gorge.

Je ne pouvais plus parler, ni rien faire, ni bouger, complètement abandonnée à sa merci, je n'aimais pas... J'avais totalement perdu le sens de la vie, je ne me sentais comme une salope ou pire, une pute que l'on peut profiter à tout instant en payant sauf que moi c'était gratuit... Je sentais ses accélérations, cela me faisait trop grand, trop gros. Je n'arrivais pas, je m'étouffais presque, j'avais un haut les coeur...

- Hmmm!!MMM !!!

Je tentais de lui faire comprendre que c'était trop, mais ce connard, lui continuait toujours à me faire subir sa fellation, lui qui allait toujours plus au fond sans que je puisse acceuillir totalement son membre dans ma bouche, soudainement, il m'indiqua alors que la suite allait arriver bientôt pour mes autres orifices... Non, non... En plus, il me prévient très bien que si je n'avais pas de préservatif, c'était la même chose, que je me démerderais seule... Non, pas ça... Je ... Je ne voulais pas être enceinte... Mon seul recours aurait été l'infirmerie, mais est-ce que Aijiro me laisserait sortir et partir ? Pas sûr...

C'était pire qu'un cauchemar, devoir se soumettre aux idées de son petit ami était la pire des blessures que l'on pouvait avoir, et en plus je me faisais violer. Je ne pouvais pas le crier sur tous les toits, j'aurai trop honte... Et cela se ferait entendre par les occupants des chambres voisines... Dieu que sais-je pourquoi je suis venue ici voir juste Aijiro et maintenant que cela virait à une belle discussion il à fallu qu'il découvre Ren, d'abord Ren et le morceau de papier, après il s'est énervé et m'a envoyée valsée contre le lit, et maintenant, je me retrouvais face à lui, le sentant bien déterminé à m'oter quelque chose que j'ai tant conservé, et lui... va me voler ma virginité aussi sauvagement que l'aurait fait un violeur... C'était donc un meurtrier vampire et un violeur qui prend ses victimes pour des jouets sexuels...

Je voulais me cacher de cette situation, oublier tout le mal que je peux ressentir, et tout le mal que je vais ressentir par la suite, je ne voulais même plus exister, je me sentais souillée par le désir sexuel qu'éprouvait Aijiro à mon égard... Simplement... Lui, n'avait pas l'air de vouloir me lâcher si facilement. Le voilà alors qu'il retira son membre de ma bouche et qu'il venait à me le faire taper contre ma joue gauche, ça ... ça faisait mal, et cela me mettait mal à l'aise... Il disait me punir car je lui avais menti sur ma maladie...

- Si... Je me sens mal, mais vois-tu, tu m'obliges à te faire tout ça... Comment tu veux que je fasse espèce de connard.

Je le sentais encore plus me faire subir cette tape, je ne savais même pas à quoi je ressemblais maintenant, je voulais éclater en sanglot, oui... Par la suite il vint poser ses doigts sur mes tétons et de les pincer. Je poussais un cri de douleur, ça faisait mal, très mal. Il restait là pendant un petit moment avant de descendre à mon clitoris, avant que celui-ci n'ai la même punission... Sa faisait pareil mal, j'avais mal... Je ... j'étais si mal maintenant... Cela arrivait même à me tirer des larmes de souffrance, avant de sentir ses doigts pénétrer mon intimité très rapidement, violemment...

- Ar....Arrête.... Sa fait mal....... J'ai m....mal....

Soupirais-je dans un profond soupir venant de mes entrailles, j'avais mal, désespérée, qu'il me fasse ce qu'il veut, de toute manière, d'une manière ou d'une autre, il ne me verra plus jamais... J'avais pris ma décision, je n'avais plus de raison de rester ici.

Que ce cauchemar s'arrête, me voilà maintenant en train de me faire visiblement punir par mes refus et mon mensonge sur le fait que j'étais malade, je ne savais même pas si il m'aimait en tout cas, pour ma part, je savais clairement que tous mes sentiments avaient disparus, ils n'étaient plus présents dans mon coeur, il était mort, meurtri par mes pleurs, massacré à coup de douleur que m'infligeait Aijiro... Je ne pouvais que me laisse faire, me laisser taper la joue avec son membre, j'imaginais tellement ses pensées si perverses et trop poussées pour moi...

Je pleurais, je me sentais mal et lui il continuait, en fait c'était un enfoiré complet. Et il faudra qu'il sache que cela ne sera pas sans conséquences, je me vengerais, malgré que je doute faire quelque chose contre un vampire qui était tout fraîchement transformé... J'irais peut être voir en personne qui l'avait transformé en un vampire...

Tandis qu'Aijiro continuait, soudainement tout ce qu'il me faisait, je ne comprenais pas, avant d'entendre sortir de sa bouche que je lui avais menti, et que je l'avais désobéi, et qu'à partir de maintenant je devrais réfléchir deux fois avant de lui refuser quoi ce que se soit. Je pense que j'allais me répété en train de l'insulter en moi même et soudain, je pensais donc que la meilleure des idées c'était simplement de lui faire ce qu'il souhaitait et accepter tout ce qu'il me disait, mais, je savais que ma souffrance allait un jour s'arrêter..

- ... Oh... Je ... Aijiro-sama...

Bien joué la comédie ! Mais après tout, ce qu'il attendait c'était simplement ça, du moins je pensais, peut être que je me trompais et c'était fort possible. Soupirant, je plissais les yeux avant d'être surprise. Aijiro me releva et me mit alors à deux pattes, me contraignant à remonter mes fesses vers le haut et mon buste plaqué au lit, je n'osais pas essayer de défaire un des liens... Essayer, quoi... Mais en vain, je n'y arrivais pas. Soudainement, je sentis le membre d'Aijiro pénétrer mon anus si violemment que je poussa un cri de douleur, un cri plaintif... Sa faisait mal !!!!!!! Je n'aimais certainement pas cette sensation ! Il commençait alors à faire ses vas et vient rapides en moi, dans cet orifice si serré, sa faisait mal, il me faisait mal. Je gémissais de douleur et non pas de plaisir, je ne prenais aucun plaisir, mais vraiment pas.

- Aijiro-sama ! Sa fait mal, et je n'aime pas cette pratique... S'il te plait, retires-toi...

Toutes ses actions que me faisaient Aijiro sans me demander mon moindre avis, tout ce qu'il me faisait subir alors qu'il y a quelques temps il n'arrêtait pas de me dire des mots doux, de m'assurer que j'étais la fille qu'il aimait, il n'arrêtait pas de me rassurer pour que au final, je devienne comme son objet sexuel, non c'était tout bonnement impossible. Et moi, j'étais amoureuse d'un monstre, un monstre affreux qui prenait les gens pour des objets, les manipulaient, les observaient puis les faisaient souffrir avant de s'en servir comme de vulgaires objets pour satisfaire ses pulsions sexuelles. Non mais... Je me demandais bien si il était bien sérieux lorsqu'il m'avait dit à la base que je deviendrais peu à peu son esclave sexuel, du moins ce qu'il m'avait fait comprendre indirectement en m'annonçant que mon corps n'appartiendrait qu'à lui. Son coeur, lui, le sien... m'aurait-il ne serait-ce qu'une seule fois appartenu ? Avant le sexe il y a le coeur, et le coeur était plus important que tout et maintenant je me retrouvais à bouffer des morceaux de coeur déchiré et je me faisais violée par Aijiro. Je me demandais bien si il avait d'autres "victimes" mit à part moi, qui était censée être sa petite amie il y a a peine quelques jours, alors que tout le monde nous voyaient ensemble du jour au lendemain plus personne ne l'avait vu, ni même moi, et maintenant je me retrouvais dans cette putain de situation.

Etais-je si malchanceuse que ça ? Serait-ce le destin qui m'aurait conduite et désormais réduite à ce maudit statut ? Je n'en savais rien et bien évidemment je ne chercherais pas à savoir déjà par Aijiro, ce ne sera pas la première personne à qui je demanderais pleinement des explications mais plutôt à la source du problème : la personne qui avait transformée Aijiro en vampire. C'est fou comme la vie et le monde pouvait si facilement évolué à une vitesse impressionnante, mais une chose est sûre je cherchais à trouver cette personne fautive qui à transformé mon amour... mon étoile... en vampire, et à fait de lui un garçon corrompu par le pouvoir et la puissance, comme tous les vampires. Et si seulement je pouvais contrôler ce putain de pouvoir qui permettait à mon chant de sirène d'altéré les pensées et les sens des personnes aux alentours... Si seulement, si seulement il fonctionnait ! ~ Je soupirais, tentant de trouver une solution, j'essayais, en attendant qu'Aijiro se nourrissait des biens faits de mon corps, pénétrant mon anus si violemment que cela me faisait mal, j'avais l'impression qui me déchirait de l'intérieur, alors qu'est ce que cela va être quand il va alors me prendre ma viriginité alors ? ...

Tandis que je l'avais supplié de se retirer de moi, lui n'avait pas l'air d'être du même avis, justement je sentais qu'il commençait à s'irriter. Mais pourquoi lui voulait me faire tout sa, d'habitude il était quelqu'un de génial, d'amoureux, de sensible et de compréhensif, là il allait me faire mal de partout, me pénétré et me déchiré l'hymen, et certainement le pire du pire, faire tout pour me foutre dans la peine galère de la mise enceinte c'est ça ? ... De plus, je commençais vraiment à m'inquiéter si il allait me lâcher un jour, au moins un jour quoi ... De toute manière il ne pourrait pas me garder bien longtemps car il y a des occupants dans sa chambre et il ne pourrait pas se permettre de me garder trop longtemps de peur de se faire attraper en flagrant délit par ses colocataires. Il devait bien le reconnaître il était comme piégé dans sa propre instance. Je soupirais en y réfléchissant, avant de l'entendre me parler... Il m'ordonnait de lui supplier de me pénétrer, de me faire faire pénétrée, mais il était complètement taré ce mec...

- Toutes tes actions ne seront pas sans conséquences, saches-le.

Héhé. Oui. Au moment ou tu me relâcheras, tu ne me reverras plus jamais, Aijiro. Cela me faisait bizarre de parler de lui ainsi, cela me déchirait le coeur en deux mais il fallait l'avouer, nous deux c'était plus possible, alors je préférais partir de ce cauchemar. Je sentais toujours les vas et vient rapides en moi, dans mon anus d'Aijiro, c'était douloureux et dégueulasse. Avant de sentir ses doigts se faufiler vers mon entre jambe et venir caresser mon clitoris, je relevais légèrement la tête en sentant ce petit plaisir, j'essayais de retenir mon corps de ne pas éprouver ce plaisir malsain, mais il était contre, je gémissais doucement, avec les larmes aux yeux... C'était horrible de vivre une telle scène, un tel spectacle, c'était vraiment immoral et horrible comme je viens de le dire. ~ Je ne savais pas exactement ses intentions mais je comptais bien l'arrêter quand même, enfin du moins essayer avant qu'il ne fasse quoi que ce soit...

Je fermais les yeux, en sentant que j'étais perdue, perdue dans mes pensées mais également physiquement, qu'est ce que l'on pourrait amasser d'une fille comme moi ? Violée, détruite à vie ? Hein... Sincèrement, qu'est ce que l'on pourrait devenir ou faire, être choquée à vie, ne plus pouvoir toucher un homme de près, perdre confiance en soi, devenir dépressif, ou pire, se suicider ? Tout cela m'attendait, je voyais dans mon esprit une corde se dessiner lentement autour de mon cou, je la voyais me resserrer toujours un peu plus ma fine gorge, venant jusqu'à me couper la respiration, je me voyais sentir les battements de mon coeur déchiré s'affaiblir peu à peu avant de s'arrêter, mon sang qui ne circulait plus, et mes yeux qui lentement se fermaient... Je me voyais terminer ma vie ainsi, mais je ne savais pas quand est-ce que je vais faire cela, et si cela un jour va m'arriver, même si au fond, je savais que c'était inévitable...

Doucement, je me mis à chantonner une douce chanson, rien qu'avec ma voix, énervée, fatiguée, perdue, triste, tous mes sentiments les plus profonds se mirent ensembles dans cette mélancolie que j'exprimais à travers ces sons que je sortais de ma bouche, je sentais doucement cette petite aura qui me réconfortait, mon corps se mettait doucement à briller de milles feux, je ne savais pas pourquoi, je ne pouvais même pas regarder quelle était la réaction d'Aijiro... Je continuais de faire sortir des sons tristes et doux de mes lèvres, avant de tourner finalement la tête vers Aijiro... Serait-ce mon chant de sirène qui opérait ? Je n'en savais trop rien...

- Retires-toi ...

Est-ce que seulement une fois, m'écoutera-t-il ? Est ce que ce foutu chant de sirène changerait quelque chose à cette situation ? Est-ce qu'il ferait quelque chose car je sais très bien que je ne contrôle pas cette faculté qu'ont les sirènes en général. Je me posais bien la question, en attendant, j'avais toujours aussi mal quand même pour mon anus qui s'était bien fait dilaté je pense, et j'avais mal, cela me tirait quelques larmes encore de mes yeux... Comment je pouvais accepter une chose pareille ? Peut être car c'était un vampire et moi une sirène qui ne se sentait plus totalement elle même, qui ne pouvait plus être soit même. Je pensais alors qu'à présent la meilleure des solutions seraient de lui faire croire que j'aimais ça, et se dire que finalement tout va s'arrêter un jour ?

Lui il y prenait son plaisir personnel mais putain que moi j'avais mal, j'avais mal, je pleurais, je souffrais moralement comme physiquement et maintenant je me retrouvais comme une soumise. Décidément je crois que je devrais à l'avenir plus me méfier des gens qui m'entouraient avant de finir comme je finissais actuellement. Alors que je lui avais donc préciser que tout ce qu'il me faisait subir ne serait pas sans conséquences, et lui, n'avait pas l'air d'apprécier. Il me cria que cela suffisait, et il se retira de moi. Oh miracle, je pouvais respirer.... Je gémis en le sentant parti de moi avant de me prendre en pleine figure une gifle qui me fit tomber sur le lit, sur le côté. Je ne tenais pas debout, je tremblais, j'avais mal... Et le revoilà qui reprit la manœuvre et revint en moi violemment... Bon sang... Il me dit alors que je lui obéisse.

-..... O...Oui...

Il reprit alors les mouvements en moi dans mon anus rapidement, tout en pinçant mon clitoris. Je me mis alors à chantonner, une musique triste, mélancolique, tout ce qui pouvait être des plus sinistres. Et doucement, déjà je semblais sentir une petite douceur de la part d'Aijiro, je ne comprenais pas tout totalement sur le moment, je rougis en me rendant compte que c'était mon chant de sirène... Il se retira doucement de moi avant de me frapper derrière la tête. Je cessais alors de changer immédiatement... Je tournais la tête dans sa direction, yeux mi-clos...

- Tu... es violent.

Il me cracha à la figure que mon chat insignifiant à son égard lui ferait rien du tout... Malgré ça j'avais quand même réussis à le maîtriser quelques instants... J'avais bien tenté de m'enfuir. Et si je faisais un mouvement de travers, pour m'enfuir, par la fenêtre, soit par la porte mais elle était fermée à clé, si je n'y arrivais pas, je crois que sa en était fini pour moi, définitivement...

- Mon chant à opéré quelques secondes... C'est tout. Tu sais dans cette situation j'ai qu'une envie c'est juste de te cracher pleins de choses à ta gueule, tu me répugnes, tu ... tu me dégoûtes... Et tu me relâcheras quand ? Tu as des colocataires dans ta chambre je te rappelle, fais bien attention quand est-ce qu'ils rentrent, histoire qu'ils te prennent pas la main dans le sac petit connard.

Provocation. Insulte. Je crois que j'allais prendre cher, mais mon coeur me cirait de lui dire toutes ses choses.

Mon coeur saignait, il pleurait, comment pourrais-je faire ... Je ne me sentais plus, je faisais tout pour essayer de tenter de résister à la violence d'Aijiro, mais je ne pouvais pas non plus nier que j'éprouvais du plaisir au final, mais je n'étais certainement pas consentante, et loin de là même. Mais enfin bon... Maintenant, je devais me plier aux attentes d'Aijiro et je crois que c'est ce qu'il va falloir faire à présent. Soupirant, alors que je lui avais fais la remarque sur le fait qu'il n'était pas le seul dans cette maudite chambre, celui-ci semblait avoir prévu déjà quelque chose car je me souviens qu'il avait fermé la porte à clé. Mais il suffit qu'un ou qu'une des occupants veuille rentré pour qu'il doit arrêter de faire tout ce cirque sexuel...

Tandis que je lui avais donc fais cette remarque il n'avait pas apprécier que je ne me soumette pas encore à lui, et il parlait d'un manque de fellation et voilà qu'il me remit une chaussette dans la bouche pour que je me taise. Je poussais alors un :

- Huuum ! étouffé par le morceau de tissu épais qui était à présent entre mes lèvres.

Je me tournais alors sur le dos, subitement, j'essayais seulement d'échapper à l'inévitable... Aijiro se mit alors en face de moi, me disant que j'allais recevoir un "dépucelage" violent... Autrement dit, je n'allais plus rester la petite fille vierge que j'avais tenté de rester jusqu'à présent. Crac.............. ...  .... Il était alors entré en moi très violemment, je poussais un grand gémissement en le sentant taper au fond de mon être. C'était douloureux, m'arrachant au passage mon hymen qui se mit alors à saigner comme une rivière. J'avais mal, très mal... Je n'étais plus vierge et maintenant je prenais le risque de tomber enceinte. Avec la chaussette dans la bouche, je pouvais plus rien dire hormis des gémissements, ce que je fis, je gémissais à chaque mouvement de vas et vient qu'il faisait en moi... C'était bon... Malgré la douleur et la souffrance que j'éprouvais...

Obligée maintenant, je pense que quoi que je ferai, quoi que je dirais je crois que cela empirera ma condition perdue... Je soupirais de plaisir doucement dans l'air, entre ses mouvements brutaux dans mon sanctuaire si longtemps conservé et qui maintenant était violé sans même mon accord, triste fin, triste événement. J'avais beau pleuré toutes les larmes de mon corps et cela ne l'arrêtait pas, il était à aller jusqu'à ou pour me faire souffrir ce con ?

Doucement alors qu'il me pénétrait toujours plus profondément, et j'avouais que cela me faisait du plaisir mais cela me faisait mal à la fois, il avait directement continuer après m'avoir fait rompre mon hymen, je rougissais en fermant les yeux, un gémissement, puis deux, plusieurs gémissements sortaient alors de mes lèvres toujours encombrées par la chaussette qui me gênait maintenant depuis quelques minutes. Alors qu'Aijiro me dit que finalement il allait me la retirer mais il fallait à tout prix lui obéir au doigt et à l'oeil, sans discuter sinon la punissions pourrait varier en heures, en jours,... C'était trop pour moi, et mon petit corps, mais lorsqu'il parlait alors de mutilation, de me faire saigner, j'ouvrais grand les yeux... Il n'était pas sérieux ?... Je frissonnais avant de sentir alors sa chaussette qu'il retirait de ma bouche. Je rougissais en le fixant dans les yeux de mes prunelles azurées comme l'eau...

J'ondulais alors doucement mon bassin pour en ressentir la présence en moi, j'aimais quand même ça au fond, je rougissais toujours beaucoup en le fixant dans les yeux, suivant ses mouvements de vas et vient en moi, toujours bien encré en moi... La suite... n'allait pas être très belle...

- J'ai juste une question... Aijiro-sama...