How to punch people in the right way. [ft Aerion Snow]

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How to punch people
Alix & Aerion

Plus tôt, vers le début de matinée de cette journée passablement ennuyeuse par la suite, j'ai eu le droit à un cours de défense et combat. Personnellement, j'aurais plutôt appelé ça « cours pour te montrer comment maraver la gueule des autres ». Puisque en effet, le prof a semblé prendre son pied à intimider les élèves, soit en leurs tapant dessus, ou encore en vouant leurs tentatives de répliques à l'échec. Je ne suis pas prétentieuse (enfin, si, mais un tout petit peu), mais je pense savoir comment taper sur les gens, bien que les armes présentes dans la salle m'intriguaient beaucoup. Je m'étais installée au fond, sans mot dire, observant le bazar qui avait lieu devant moi avec un mince sourire amusé. Alors certes, ma nature de feignante m'oblige à trouver la plupart (voir la totalité) des cours ennuyeux et longs, mais présentement le cours était plutôt divertissant à vrai dire. J'observais les capacités des uns et des autres, discernait les grandes gueules des réfléchis, les vicieux des têtes brûlées.

Après plusieurs bâillements et étirements, la salle devint « calme », et le professeur annonça le début de la partie pratique du cours. On se leva tous (pour ceux qui comme moi s'étaient assis « sagement »), on déplaça les tables pour avoir de la place. Baillant aux corneilles, je me suis levée, traînant un peu des pieds. Il faudrait peut être que je songe à dormir un peu plus. Le prof a du remarquer mon enthousiasme sidérant, et m'a appelée pour aller au milieu du cercle formé par les élèves. Il désigna pour venir face à moi un autre élève, qui rentrait pour moi dans la catégorie des fanfarons. Il nous montra des armes et nous demanda d'en choisir une seule, et faire une démonstration pour voir comment on l'utilisait. Heureusement, il n'y avait pas d'arme à feu, je sens que celaaurait fait un carnage. Quoique, ça aurait été drôle. Hm, enfin. Je les regardait unes par unes, avec un léger sourire nostalgique ; ça faisait longtemps que je n'en avait pas vu. Bon, il serait temps de se décider. Mr. Grosbras (je ne sais pas son nom) lui, prit quelque chose de semblable à une matraque. Il fit de petits mouvements circulaire avec, avant de regarder le professeur.

« Mais m'sieur, pourquoi j'devrais me battre contre une fille ? C'pas équilibré m'sieur. Et puis, j'suis sûr que j'serais capable de me battre contre vous, il lâcha un rire détestable à mes oreille avant de me regarder moi, Non mais sérieux m'sieur, j'risque de lui casser les os du corps, c'pas équilibré, c'pas équilibré moi j'dis ! »

J'entendais son charabia sans vraiment écouter. Tout ce que j'avais retenu, c'était que j'avais en face de moi un macho de première, plus ou moins. Je pris un poing américain pour ma part ; léger et pratique. Et puis, je n'avais pas vraiment envie de me fatiguer.
La suite est un peu floue dans ma tête. Mr. Grosbras du encore parler trop, du coup je lui en ai collé une. Bon, certes je me suis pris quelques coups, mais je suis plutôt fière de moi, il a fini à l'infirmerie (je crois que je lui ai déboîté la mâchoire, mais je ne m'avancerais pas trop). Au final, j'ai du aussi y aller. Bien que cette affreuse blessure de guerre ne soit rien d'autre qu'une petite plaie sur ma pommette gauche, je n'ai pas dit non. Après tout, ça me donnait une excuse pour manquer des cours.
On me mit un malheureux pansement sur la joue avec un peu de crème, me demanda si j'avais mal (non), qu'est ce qu'il s'était passé (rien), si je voulais un mot d'excuse pour retourner en cours (non plus). L'infirmière me conseilla d'aller me reposer dans ma chambre pour le reste de la journée ; je lui obéit sans chercher à plus discuter. Et c'est deux heures plus tard que je reçu un mot, qui me demandait, non, m'ordonnait plutôt d'aller dans la salle des cours de combat et défense, en début de soirée, après les autres cours. En lisant le petit mot, un petit rire sorti de ma bouche.

Me voilà donc, déambulant dans les couloirs, les mains dans les poches d'un gilet noir un peu large, des écouteurs enfoncés dans les oreilles, à écouter les musiques qui passent sans vraiment les écouter. Remarquant que j'arrivais bientôt dans le couloir, j'éteins la musique, range les écouteurs dans ma poche de jean. Je m'étais couverte un peu plus ce soir ; en même temps, il fallait que je traverse tout le lycée pour venir jusque ici, et il faisait froid. Or, je n'aime pas le froid. J'avais donc enfilé en plus d'un simple t-shirt une chemise qui était rentrée dans mon jean, et ajouté une écharpe. Le tout restant dans des nuances plus ou moins sombres, on peut dire que je respirait là joie de vivre.
Arrivant devant la salle, j'arrête mes pas. Je toque, avant d'enclencher la poignée, et pousser la porte.

« Mr. Snow ? »

Je rentrai sans grande crainte de me faire agresser comme les élèves du cours de ce matin, mais plutôt avec une certaine méfiance. Je me tenais sur mes gardes, les muscles tendus. Je n'avais pas vraiment envie de me prendre une beigne, surtout par ce prof, qui ne faisait pas semblant quand il en mettait, de ce que j'ai vu.

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HRP:

Messages : 32 Est arrivé(e) le : 26/01/2015

Assis sur la chaise, tu réfléchissais aux evenements qui avaient entaché la journée, surtout en fait cette jeune fille. Tu te repassais la scène dans la tête, elle n'était pas très enthousiasmée par le cours ce qui t'avais fait prendre la décision de la faire combattre un autre élève. Enfin par combat tu entendais plus un combat amical et non ce qui est arrivé.

Tu te laisses balancer en avant et en arrière. En effet, ce combat avait tourné plus au massacre qu'autre chose. Lui, il avait fait l'abruti selon toi. Tu faisais parti d'une civilisation ou le sexisme n'existait pas et ou 9 personnes sur 10 sont des femmes, alors tu n'avais pas compris sur le coup sa réticence a frapper une femme. Elle elle avait pris silencieusement une arme plutôt orthodoxe pour toi, un poing américain.

Et le massacre commença, des scène de violences pareille tu en avais déjà vues et ce n'était pas pour rappeler de bons souvenirs. Il s'agissait des tiens qui avaient cédé a cette dépendance, l'appel du sang était trop présent et ils tapaient sur tout ce qui venait. Voila a quel genre de violence elle te faisait penser. Tu la sépara de lui avant qu'elle ne le réduise en bouillie mais tu n'as pu l'empêcher de faire quand même des dégâts.

Tu as décidé de ne pas finir avec des cours de travaux pratiques. Cela aurait été une mauvaise idée et tu as fait en sorte de la convoquer sans le moindre prétexte. Tu attends qu'elle entre et qu'elle t'appelle. Revenant dans la salle principale, tu désactive les champs de force qui empêchaient les élèves de venir piquer des armes quand tu étais absent. La fixant tu lui fais signe de partir s'asseoir devant ton bureau:

"Retire ton écharpe et ta chemise elles vont être de trop"

Tu avais déjà une idée de comment tu allais faire pour essayer de calmer sa "soif de sang" tu ne savais pas si ça allait être efficace mais c'était mieux que de rien faire. Partant t'asseoir au bureau tu la fixe dans les yeux et finit par dire:

"Tu sais pourquoi je t'ai convoqué? Question bête je vais y répondre par moi même. Tu as complètement fracassé un de tes camarades sans aucun remords. Dis moi? Est ce que tu es joueuse?"

Tu croises les bras et la fixe dans les yeux:

"Tout d'abord, saches avant de répondre que je te convoquerais tous les soirs. Tous les soirs on se battra jusqu'à ce que tu n'en peux plus, a moins que j'ai un empêchement. Et ceci est un ordre et tu ne peux t'y soustraire. Donc de mon côté, c'est justement ce droit a avoir ta soirée de libre qui est mis en jeu."

Tu voulais tenter de reporter un peu la colère qu'elle devait garder en elle sur toi, devenir l'objet de cette colère. Qu'elle passes toutes ses journées a essayer a trouver un moyen de te battre et obtenir cette liberté que tu venais de lui priver. Tu avais éventuellement une idée de que mettre en jeu de son côté... mais le peu de sens éthique que tu possédais trouvait cette idée étrange. Continuant a la fixer, cette idée te semblait prendre tout son sens. Tu te penches un peu:

"Et toi? Que mettrais tu en jeu qui pourrais valoir tes soirées libres? Attention a ne pas tenter de m'arnaquer. Au fait? Tu peux refuser de prendre part aux pari... mais c'est le seul moyen que tu as pour avoir tes soirées."

Tu te répétais un peu c'est vrai. Mais tu voulais qu'elle assimile bien cette information.

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Alix & Aerion

Il fit son entrée en me fixant, sortant d'une autre pièce, m'indiquant de m'asseoir devant son bureau, et de retirer mon gilet ainsi que mon écharpe. Bien. Je me déplace, et m’assois, docilement, sans retirer ni l'un ni l'autre pour le moment. J'aimerais avant de dire quoique ce soit, savoir pourquoi il m'avait convoquée (bien que la raison était plus ou moins évidente). S'asseyant à son bureau, il m'indiqua la raison de ma présence à cette heure, ici. Le motif est bel et bien celui auquel je m'attendais. Jusqu'alors j'arborais un air neutre, jusqu'à ce qu'une question pique ma curiosité ; Moi, joueuse ? J'hausse légèrement un sourcil, montrant malgré moi une envie d'en savoir plus.
En croisant les bras, il m'expliqua aussi, disons des événements un peu plus fâcheux, me réjouissants moins. Convoquée tous les soirs, pour se taper dessus avec un professeur. Il faut se le dire, ce n'est pas donné à tout le monde. Montrant toujours une expression neutre, je le laissais finir, tout en réfléchissant. En résumé, un duel tous les soirs. Je perds, cela continue. Je gagne, je n'ai plus à être convoquée. Mh, je n'en voyais pas vraiment l'intérêt. Mais bon, comme il le disait « ceci est un ordre et tu ne peux t'y soustraire ».
Quelque chose m'interpelle cependant, à la fin de son beau discours. Un pari ? Parier quelque chose en plus de mes soirées ? J'ai beau me creuser la tête, rien ne me vient à l'esprit cependant. J'y réfléchit pendant quelques secondes, avant d'enfin donner une réponse.

« D'accord. »

Un léger sourire avait étiré mes lèvres, alors que je me lève, et passe mon écharpe au dessus de ma tête, retire mon gilet et pose le tout sur une table. Je passe une main dans mes cheveux, avant de me retourner vers le professeur.

« Malheureusement, je n'ai rien à parier. En tout cas, rien ne me vient à l'esprit, je m'appuie sur une table derrière moi, peut-être avez-vous des idées ? »

Étant face à lui, je pouvais me donner le loisir de le détailler sans problème, et à vrai dire, la gêne ne fait pas vraiment partie de mon vocabulaire ni mes habitudes. Commence donc mon inspection ; en fait, j'essaie principalement de repérer des tics, peut être des blessures, des petites choses qui pourraient m’être utiles plus tard, quand je serais obligée de l'affronter. Malheureusement, rien. Il semblerait qu'il n'ai ni blessure apparente, ni rien que je puisse utiliser. La seule chose que je puisse déduire de mon inspection, c'est que malgré son corps d'apparence fine, il soit plutôt musclé. Enfin, je préfère surestimer que sous-estimer, histoire de ne pas avoir de mauvaise surprises. Quelque chose qui me frappe aussi, les yeux, qui luisent de façon étrange. Cela doit être caractéristique à son espèce, parce que je n'ai jamais vu de monstre avec des yeux semblables aux siens. Enfin, passons. Je le fixe dans les yeux, pensive. Il restait quelque chose qui me trottait dans l'esprit tout de même, depuis ces quelques dernières minutes.

« Je peux vous poser une question ? En fait je vais vous demander directement. Quel est le but de ces convocations répétitives ? »

Je souris légèrement, mes yeux doivent sûrement trahir mon amusement de la situation. Quelqu'un d'autre serait sûrement plus stressé qu'autre chose à ma place, ou peut être agressif, mais je ne peux que m'en amuser. Après tout, la suite promet d'être intéréssante.

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Messages : 32 Est arrivé(e) le : 26/01/2015

Tu continue de la fixer. Elle finissais par accepter ton idée de pari. Tu hoches la tête pensivement. Tu avais une petite idée mais trop osée peut être pour elle. Tu avais fini par voir dans cet univers que les gens sont très coincés, surtout par rapport a quand une personne avait de l'autorité sur une autre. Soupirant, tu la regardes de bas en haut. C'était une chose qui passerais dans ton univers, la d'ou tu viens. Mais elle est ce qu'elle accepterait? T'étirant tu lui dis d'une voix malicieuse et mystérieuse:

"En effet j'ai une idée... Mais avant de te la dire je dois savoir si tu l'accepterais. Disons qu'on ne viens pas de la même civilisation."

Tu la laisse te détailler, tu la fixait elle aussi, tu pouvais deviner très exactement les formes de son corps et tu te doutais de ses capacités physiques. Tu ne croyais pas qu'elle serait capable de te surprendre même si tu espérais le contraire. En tout cas tu devais reconnaître qu'elle est courageuse. En effet, elle vient d'apprendre qu'elle vas se battre contre toi tous les soirs et elle ne se plaint pas, ne crie pas a l'injustice et semble même assez intéressée par la situation. Impressionnant hein? A sa place a l'époque tu aurais été plutôt angoissé.

Elle te demande le but... Le but... eh bah ça va être très simple a dire. Souriant tu finis par dire:

"En fait le but est simple. Chaque jour tu seras si épuisée que tu n'aura aucune envie de frapper les autres élèves. Je deviendrais un peu un puching ball sauf que je te rendrais les coups. Tu seras moins en colère contre les autres vu que je te prive de ta liberté et te malmènerais tous les soirs, tu finira par me haïr a un point que les autres n'auront peu d'importance lorsqu'ils t'énerverons. Au final tu amélioreras ta vie sociale puisque tu ne déboîteras plus les mâchoires des gens et en plus tu progresseras plus vite que les autres dans mon cours. Si je voulais aller jusqu'au bout, je t'imposerais que chaque soirée ou je gagne, je pourrais te garder comme amante si je veux. Mais vote civilisation est un peu frileuse avec les relations prof élèves alors ça par contre tu as le choix... C'est l'idée que j'ai mentionné plus tôt."

Tu avais hésité a en parler. Cette manière de faire avait été celle qu'on t'a imposé pour te soigner de ta soif de sang. Tu étais devenu tellement violent qu'une fois tu as été incarcéré en rentrant de bataille. Tu t'en étais pris aux hommes aux femmes et aux enfants... Tous ceux que tu avais croisé tu les avais tués. Une part sombre de ta vie que tu préférais oublier. Te levant, tu te place devant elle avec la démarche qui te caractérisais. Soupirant il souris amusé et pose sa main sur son visage doucement, presque comme une caresse et chuchote:

"Donne moi ta réponse et ensuite on commence. Je ne veux pas avoir d'ennuis avec l'administration."

Tu savais en lisant son dossier et vu sa réaction quand l'autre type lui as parlé qu'elle n'était pas le genre de fille populaire dont tous les types courent. Pourtant elle était plutôt belle a tes yeux, enfin elle est comme un tigre sauvage. Tu ignorais comment ça allait finir et c'est presque en se moquant que tu lui dis:

"Tu es sure que tes vêtements tiendrons le choc du combat?"

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Alix & Aerion

On se fixait mutuellement. J'avais face à moi un rare spécimen, et j’entends par la, une personne étrange. Dans le caractère ou l'attitude, sûrement les deux, en fait. Ce n’était pas pour me déplaire, les gens « normaux » sont si ennuyeux. D'une voix mystérieuse, il m'annonça qu'il avait bel et bien une idée, mais n'était pas sûr que je l'accepterais. Pratiquement sûre de savoir ce de quoi en fait il s'agissait, je ne m'en préoccupa pas plus.
Il répondit à ma question, le but de ces soirées baston. Il finit par un sourire. « Je deviendrais un peu un puching ball sauf que je te rendrais les coups. Tu seras moins en colère contre les autres vu que je te prive de ta liberté et te malmènerais tous les soirs, tu finira par me haïr a un point que les autres n'auront peu d'importance lorsqu'ils t'énerverons. Au final tu amélioreras ta vie sociale puisque tu ne déboîteras plus les mâchoires des gens ».
Autant, la fin où il annonçait que je pourrais bien finir par coucher avec lui si je perds ne me perturbais pas tant. Mais cette partie de l'explication.. Me fit doucement rire. C'était donc ça. Je croise les bras, je n'arrive pas à m'empêcher de rire. Après quelques secondes, je retrouve mon sérieux, malgré mon sourire permanent. Je le regarde, un mélange de malice et de provocation dans le regard.

« Vous pensez qu'en me tapant dessus, vous allez changer ma vie sociale ? Intéressant comme méthode, je penche ma tête sur le côté, aussi, vous semblez penser de moi que je ne suis, disons qu'une grosse boule de nerfs et de colère, qui ne cherche qu'a frapper les autres. Mon ego en prend un coup.

Je lui retourne son sourire. Ce que je n'avais pas dis à voix haute, c'était que j'allais tout faire pour provoquer exactement les effets inverses de ce qu'il compte faire. Cependant, d'un côté il n'avait pas totalement tort ; j'aime bien provoquer la miséricorde et les bagarre. Je trouve cela.. Comment dire, presque revigorant. Chacun ses passe-temps.
Enfin, j'avais un nouvel objectif pour un petit moment, et il fallait que je me concentre dessus. Le premier : ne pas le haïr. Ça n'allait pas être compliqué, mais il faudra que je ne lui montre aucun sentiment de haine ou colère, sinon il penserait que son petit manège marcherait. Le second : continuer ma vie quotidienne telle qu'elle l'est. Continuer à donner et rendre les coups aux autres. Pourquoi je faisait ça ? Juste pour lui prouver qu'il ne pouvait pas me contrôler, sûrement à moi aussi.
Il se leva, et marcha jusqu'à être positionné face à moi. Il posa une main sur mon visage, me chuchotant qu'il me fallait prendre une décision. Je soutiens son regard, sans broncher. Je parierais presque qu'il essaie de me déstabiliser. L'idée qu'il avait eu, il fallait que je me décide. J’ignore son commentaire par rapport aux vêtements, me concentrant plutôt sur l'autre « problème ». Je n'avais rien à y perdre, ni à y gagner. Voulant encore le tester, je lâche, avec un air presque déçue, soupirant et fermant brièvement les yeux.

« Je dois vous avouer que cette idée pour le pari me décevrait presque. Je m'attendais à quelque chose de plus.. Intéressant ? Enfin, ce n'est pas grave. Au final cela prouve bien que même en n'étant pas humain, vous êtes un homme. »

Je relève mon regard pour le planter tel des dagues dans le sien, attendant la réponse. Je croise les bras, l'ombre d'un sourire sur mon visage.

© Nightmare sur Épicode.

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Refonte du personnage. Je déplace le rp dans les archives.

» Rp's d'Aerion
» Cours d'Aerion 1re année- Libre 0/4
» Cours d'Aerion 2e année- Libre 0/4
» Tourmentons un peu de pauvres âmes en peine (PV: Aerion)

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