Il me confia pour me rassurer :

-Ça va ? Tu dit stop et j'arrête tu sait.

Si c'était son but, il avait réussi. Ces paroles me rassurèrent, et je souris, pour lui montrer l'effet. Il continua à enlever doucement mon tee-shirt, et je le laissai faire. Une fois que le tee-shirt arriva à mon cou, je l'aidai à l'enlever complétement. Il me fixait alors, et le regard qu'il portait sur mon corps, me mettait plus ou moins mal à l'aise, mais j'aimais bien ça. Il m'embrassa vite, et glissa ses lèvres dans mon cou, ce qui provoqua un frisson dans celui-ci. Je pris une de ses mains, la plus proche de moi, et la prit, croissant mes doigts dans les siens, et le serrant fort. Je le laisser m'embrasser, et le regardait faire du coin de l’œil. Je sourirais, et glissa mon autre main dans son dos, le poing fermer, le serrant contre moi, mais pas trop pour le laisser m'embrasser comme il le faisait. Je posa ma tête contre son épaule, regardant toujours son visage, qui provoquait en moi, une chaleur... Qui ne pouvait partir, je ne comprenais plus rien... C'était comme un état secondaire de joie, un état meilleur qu'un simple bon état de santé. C'était chaud, doux... Réconfortant... Oui, c'était bien, ça, c'était l'amour. Je ne pouvais décoller mon regard de son visage, qui me rendait plus heureuse à chaque secondes.
Je vis près de son autre main, un ruban blanc. Zut... Je lâchais son dos un instant, pour passer une main dans mes cheveux, et m'apperçue que aucun des deux fils que je mettais tous les jours dans mes cheveux, étaient là. Ils avaient du se défaire pendant la nuit. J'étais maintenant, les cheveux en arrières pour la plupart, juste une mèche rose qui bouclait, devant mes yeux, tous détachés, comme je n'avais pas l'habitude, je n'étais jamais comme cela, si je l'étais... C'était bien quand j'étais dans mon état... De monstre... Mais là, je n'étais pas un monstre, mais un simple agneau, prêt à se faire dévorer entière par un loup... Mais ce loup, je l'aimais.

Nos mains se rencontrèrent et s'unirent. Je sentais sa peau sous la mienne, sa main sur mon dos. Nous étions en symbiose parfaite. Je ne souhaitais pas briser cela. Mais je ne me sentais pas prêt encore à aller plus loin. La peur de l'inconnus surement... Mais je voulais pas tout gâcher d'un coup, tout rompre comme cela. Je voulais que cet instant reste à jamais. Je couvrais le cou et le haut de la poitrine de mon aimée de léger baisé. Elle avait les cheveux détaché, libres, comme nous. Et je la voyais ainsi, souriante, heureuse. Je ne pouvais pas arrêter tout cela. Je me fis donc un peux plus entreprenant. Je remontais pour l'embrasser plus longuement. Puis je la serrais et nous fis exécuter une demi roulade pour qu'elle soit au dessus de moi. Ai moins c'était à elle d'entreprendre maintenant. Sous cet angle en contre-plongée elle était encore plus belle. Ses cheveux descendais en cascade derrière ses épaules, le soleil mettais en valeur chaque détail de son visage. J'étais encore plus amoureux...

"Un peux à toi de mener..."

Elle avait l'air plus à l'aise dans cette position. Tant mieux, moi aussi. A certains moment on devait apprendre à laisser aux autres le contrôle. Elle avait vraiment l'air plus à l'aise, elle ne rougissait plus. Elle venais de faire le chemin torse/bouche d'un seul baisé. Je me sentais à l'aise. J'enroulais mes bras sur son dos. Et alors qu'elle passait une main entre nous moi poignet accrochas une petite boucle plastique et défis le système. Quel type de système y avait il la ? Ho merde... Son...Son... Son soutiens gorge... Je venais de le défaire... Je ne savais plus ou me mettre, je rougissait comme pas permis... Devait-je lui dire ? Je tentais de maintenir le tout en place en bloquant avec mon avant bras. Je croit que j'avais fait une bêtise mais vu la témérité dont elle a fait preuve cela n'allais pas être trop grave.

"Je croit que j'ai détacher un truc"

Glissait-je dans un murmure...

Je sentis son bras m'enrouler, et j'appréciais ce geste. Je voulais rester collée à lui. J'étais bien là, trop bien... je pensai que -théoriquement - lui aussi. Je sentis quelque chose se défaire, je compris alors ce qu'il avait fait, mais pas ses intentions... à moins que ? Son côté pervers se dévoilait-il, ou bien est ce que ce geste était un malheureux accident ? J'aurai voulu croire la première solution... mais la deuxième pimentait la situation tout autant. Je souris, aimant cela. C'est alors qu'il dévoila ce qu'il avait fait. Qu'est ce que je devais faire ? Je répondis.

-Ne t'en fais pas... cela sera tout à ton avantage...

Je me redressai alors un peu, juste pour lui laisser voir mon buste, rien de plus...

OH LES ROPLOPLOS ! Je les avait en face, rond, doux, comme de la gelée... Il faut dire qu'elle en avais une sacrée paire... Une paire qui s'étendais devant moi comme le plus grand rêve d'un homme. Comment deux simples montagnes de chair peuvent elle autant faire faire tourner la tête ? On s'en fous. L'intérêt est que j'étais scotché à cette vue que l'on pourrais qualifiée de paradisiaque. Il semblerais que c'était un appel direct à une ambiance plus...intime et proche ou je ne m'appelais pas Mulder ! Autant lui répondre comme il se devais. J'entrepris donc de descendre le fin sous-vêtement après avoir réussit à dégager mes yeux de la poitrine.

"Heureusement que j'ai fais en sorte qu'on ne te reproche aucun retard pour aujourd'hui..."

Je voyais mon namoureux regardée ma poitrine, presque à en faire un drame... et s'il se mettait à saigner du nez ? Oh... ça prouverait que celui-ci était pervers. Ou peut être pas... Il était à deux doigts de se faire des idées... et si ses idées devenaient réelles ? Ce serait sympathique... ma foie ! Il me regarda. La phrase qu'il dit me fis paniquer. Les cours... oh merde ! Mais... comment ça il avait fait en sorte de ne pas me reprocher mon retard... il aurait prévenu le lycée que... non... pas possible. Je ne sais pas ce qu'il avait fait, mais j'oubliais vite. Tant pis... on ne pouvait pas arrêter maintenant... Je regardai ma jupe. Tiens... elle était de trop elle... je me décala, me posa à côté, et l'enleva.

-Tiens, tu ne me gênera plus toi ! Nous sommes à égalité tous les deux maintenant...

Je revins près de lui, dans la même position que tout à l'heure, histoire de pouvoir reprendre là où on en était...

En effet nous étions à égalité. Chacun torse nu, peau contre peau. Je pouvais admirer la poitrine de ma bien aimée. Une fort belle poitrine d'ailleurs. Mais je m'attarde sur ma copine pour ne pas parler du problème qui survient gentiment dans mon caleçons. Après tout je suis un homme et lorsque une si jolie créature se trouve ainsi sur soi, il est dur de maintenir le petit soldat au repos... Enfin vu le moment, ce n'étais qu'une question de temps avant que cet incident ne survienne. C'était bien partis pour être une inoubliable matinée...

Je coupais ma tranche de bacon, et mordis dans ma fourchette. C'était délicieux ! Je pris un bout de pain et mangea un bout de l'oeuf avec. Quand je repensai à tout ce qu'il s'était passé... en si peu de temps, me voilà ici, chez quelqu'un qui devrait être mon ennemi, mais que j'aimais... et dont je lui avais prouvé... Et maintenant je mangeais là, près de lui... Je fixais Carrick, rougissant, repensant à tous les événements depuis le soir passé.

-C'est délicieux ! J'avais faim moi...

Je finissais mon assiette, et me leva.

-Où est-ce que je peux poser tout ça ?

Demandais je en parlant de la vaisselle. J'allais bien aider, quand même...

Et c'était partis pour la plus belle matinée de ma vie...


Après cette superbe preuve d'amour mutuelle j'étais partis faire à manger et nous dégustions une préparation toute simple d'oeuf brouillé/bacon. Le ptit dej des champions mais ont avait bien besoin d'énergie. J'entendais Kraine dans ma tête me faire un joyeux "GG !". Il serait bientôt l'heure d'aller ramener ma dulcinée au lycée. J'avais peut être réussit à lui libéré les premiers cours dans le cadre d'une enquête du CDS et de la BDS mais il ne faudrait pas trop tarder. Quoi qu'il en était, je devrais fêter dignement avec Alexander et peut être Mëw cette mise en couple !

Je me dirigeais vers la salle de bain pour me préparer en répondant à Eiki de tout laisser dans l'évier et que je m'en occuperais. Une fois dans la salle de bain je changeait de caleçon et enfilais mon pantalon de costume. et ma chemise. J'ouvris le placard pour sortir mon holster avec mon arme de service. J'enfilais le tout passait ma veste par dessus. J'était prêt.

Je retournais au salons et annonçait à ma douce qu'il faudrait penser à se rhabiller pour aller travailler. Toute les bonnes choses on une fin. Mais celle ci peuvent recommencer.

Il me dit de poser tout dans l'évier. Ce que je fis. Je le vis partir dans sa salle de bain, sûrement pour se changer. Sûrement ? Quelle idiote, pour se changer, oui ! Que peut-on faire d'autre dans une salle de bain ? Se doucher, se coiffer peut-être. Lorsqu'il arriva, il me dit de me changer, pour aller travailler. Travailler... Déjà ? Déjà retourner au collège ? J'espérai qu'il me raccompagnerait... Le quitter ? Déjà ? Quel dommage... Tiens, en parlant de se recoiffer, je devais refaire mes couettes... Je ne voulais pas qu'on me voit comme ça, les cheveux au vent... Je voulais garder mon style, rester dans l'effet "kawaii", et intello ! Je lui demanda alors :

-Dis... T'aurai pas une brosse par hasard ?

Une brosse ? C'est un mec Eiki... Il ne doit pas avoir une brosse comme celles que j'utilisai... Je pensai une main dans mes cheveux, et me dirigea vers sa chambre, et partis à la recherche de mes deux rubans blancs, cachés dans cette chose, qui était la couverture. Elle état toute défaite... Je fis en sorte de rendre cette chose un peu plus présentable, et retrouva mes rubans cachés dedans. Je sortis de la pièce, souriant à Carrick.

Une brosse ? J'ajoutais cet objet sur ma liste de choses à acheter tandis qu'elle partais vers la chambre. Je devrais refaire le lit ce soir. Elle avait remis ses rubans. Elle était toute aussi jolie comme ça mais je préférais les cheveux détaché. Cela lui donnais un coté plus sauvage et naturel. J'avais besoin de naturel. Je n'avais jamais rien ressentis de tel envers quelqu'un avant... Cela allais être dur de la raccompagner. Je devais la briefer sur l'affaire. Histoire de pas gaffer. J'espérais qu'elle garderais toute notre relation discrète pour le moment, si la direction apprend que j'ai menti pour mes propres fin... N'y pensons pas. Pour le moment il fallait profiter de sa présence avant qu'elle ne doive retourner en cours. Et moi au travail. 

"Si on te pose des questions, c'est lié à une attaque dans un bureau de poste, attaque dont tu aurais été témoin et ou l'interrogatoire aurais duré plus longtemps que prévus. On révèleras notre relatin à partir de la semaine prochaine, histoire de dire que c'était ce week-end. D'accord ?"

Je lui souris et ouvris la porte en faisant une sorte de courbette pour l'inciter à passer devant.

Après m'être rattaché les cheveux, je finis de m'habiller, prenant ma veste. Lorsque je pensai à ce qu'il s'était passé... Tout c'était passé si vite, si brutalement... Et pourtant. Je ne sais pas ce qu'il m'étais arrivé de hier après midi, à maintenant. J'étais presque... Perdue disons. J'étais consciente ô ça oui ! Mais... Je me sentais différente. Je ne savais pas qu'être amoureux, ce sentiment, pouvait être aussi fort.

"Si on te pose des questions, c'est lié à une attaque dans un bureau de poste, attaque dont tu aurais été témoin et ou l'interrogatoire aurais duré plus longtemps que prévus. On révèleras notre relation à partir de la semaine prochaine, histoire de dire que c'était ce week-end. D'accord ?"

Ah... Je comprends maintenant. Il avait sûrement appelé le Lycée alors que je dormais. Il avait presque tout prévu... Je le regarda alors, comptant sur mes doigts.

-D'accord. Bureau de poste...  Attaque... Témoin.. Interrogatoire long... Je vois.

L'excuse parfaite. Il me sourit aussitôt, faisant... Une révérence ? Waw. Je mis ma veste, tout en sortant dehors. Oh... Qu'il faisait bon ! Je souris en voyant le soleil et la lumière du dehors. Ah... Je sentais que la journée allait bien se passer ! J'avançais jusqu'au portail, regardant Carrick. Il allait sûrement me suivre, et en l'attendant, j'ouvris le portail, et le regarda arriver depuis la barrière. Je commençais à avancer dans la rue.


Edit Eikyuu : J'aimerais que vous rajoutiez NC-16 dans le titre du sujet. Vous avez des scènes hérotique à certains moments. Merci bien o/

Je suivis donc Eiki dans la rue et me plaçait à coter d'elle pour marcher. Je respectais tout de même une distance de sécurité de quelques centimètres afin de ne pas éveiller des soupçons chez les gens. On n'allais pas tarder à arriver au lycée et donc devoir nous laissez. Je me remis dans une optique de travail et entrais à fond dans mon rôle d'inspecteur de la BDS. Une fois au niveau de l'établissement scolaire je pus voir que c'était l'heure de la pause, manque de chance. Quoi qu'il en fut je m’arrêtais devant le portail et serrais la main d'Eiki en disant d'un ton professionnel :

"Merci de votre coopération Melle Miasawa. Nous nous sommes arranger avec la direction pour que vous ne subissiez aucune remontrance. Nous vous recontacterons si besoin, merci de votre coopération dans notre enquête. Et encore désoler pour vos heures de sommeil en moins."

Bien entendus tout cela était mensonge et je me retenais de l'embrasser pour sentir à nouveaux la douceur de ses lèvres et la fraicheur de sa peau. Mais je devais rester professionnel et ne pas risquer un blâme. Et personne ne devait se douter des évènements de la mâtiné. Ça, ça devait rester entre nous.

Plus nous avancions vers le lycée, plus je devenais triste. J'aurai voulu rester avec Carrick plus longtemps, beaucoup plus longtemps... Encore plus longtemps... A vrai dire, toujours. Après être passés dans quelques rues, le lycée montrait enfin le bout de son nez. Je regardai la coure, envahie par tous les élèves en pause. Je lança un regarde à Carrick attrapa mes mains. Elles étaient si chaudes...Puis ce dernier fit :

"Merci de votre coopération Melle Miasawa. Nous nous sommes arranger avec la direction pour que vous ne subissiez aucune remontrance. Nous vous recontacterons si besoin, merci de votre coopération dans notre enquête. Et encore désoler pour vos heures de sommeil en moins."

J'avais envie de rire... Mais je devais rester sérieuse pour ne pas éveiller les moindres soupçons. Au lieu de sauter à son cou pour pouvoir le prendre une dernière fois dans mes bras, je sera ses mains dans les miennes, pour éviter que que quiconque nous voit. Je tourna la tête, et lâcha ses mains. C'était le moment, je devais retourner en cours...


[HS-RP: Rp terminé]

J'archive à la demande o/