J'avais donc amener la jeune fille endormie dans mon humble demeure. Une fois à l'intérieur je la déposait sur le lit dans ma chambre. Pile en face de mon P90. Que je retirais du mur pour le mettre dans la commode que je verrouillais. Le salon maintenant. Un bordel de pièce détachée et autres joyeusetés mortelle trainait sur la table et le plan de travail. Je pris donc mes mitrailleuses lourdes, fusil d'assaut et à pompes pour les mettre dans mon râtelier que je verrouillais. Pus rien ne trainais ? Mon arme était sur moi ? Chargeur ? Tout était bon. Je me déshabillais donc dans la salle de bain pour mettre veste, chemise, sous vêtement et pantalon au salle. Je rangeais mon holster et arme dans le placard prévus à cet effet. J'étais désormais dans mon caleçons de nuit, noir avec l'élastique bleu et le blason de la BDS sur le flanc droit.

J'allais désormais me mettre au lit, auprès d'Eiki. On verrais demain pour la suite.

Je m'étais endormi dans ses bras.... oh lala, quelle cruche c'est pas possible... Je ne sais pas ce qu'il s'était passé pendant mon sommeil, mais une chose était sûre, on m'avait déplacé. Lorsque je me réveilla, je regarda devant moi, et inspecta la pièce oùje me trouvais du regard. J'étais où ? Soudain... je le vis, là, près de moi. Je savais où j'étais, et ce qu'il s'était passé pendant mon sommeil, à présent. Il m'avait amené chez lui. Mais les cours ! Qu'est ce que j'allais faire... et puis, je n'aurai qu'à prendre une sanction, ce jour là, voir ces élèves idiots me détruirait. Ce qu'il venait de se passer me changerai, je ne songerais plus qu'à ça, plus qu'à lui...

Il était là, juste à côté en-en... en caleçon ! Même si je ne voyais que le haut de son corps, le reste caché sous la couverture, je l'imaginais bien... il devait sûrement être en caleçon. Oui ! Et s'il ne l'était pas ? Oh lala... je me mis à rougir, paniquant presque. Je ferma les yeux, et me cacha sous la couverture, laissant juste bon nez dépasser.

j'avais bien dormis. Très bien dormis. En fait, j'avais passé la meilleure nuit de ma vie. J'ouvris gentiment les yeux en sentant une présence chaude à coter de moi. Je souris. Et me remerciait d'avoir investit dans un lit double. Elle était toujours la... Je me retournais pour la regarder, rougissante sous la couette. Je rigolais et m'approchais pour la prendre dans mes bras et l'embrasser sur la joue.

"Bonjour toi. Bien dormis ? "

Il était 8h47. Peut être songer au petit déjeuner... Mais plus tard. Pour le moment on profite. Et puis j'avais donner un argument béton aux dortoirs et au lycée pour la garder avec moi. Autant surfer sur cette permission et passer du temps ensemble...

Après avoir vue la situation hier soir, dans sa chambre, je m'étais rendormie à nouveau. C'est alors que je fus réveillé par un cou de hanche. Sans même le voir, le sentais son regard sur mon visage, qui devait sûrement être encore rouge... Il s'approcha de moi, et me prit dans ses bras. Il déposé un doux baiser sur ma joue. Je souris, quand il me demanda si j'avais bien dormi.

-Hum... Oui ! Et toi ? Questionnais-je.

Je pensai aux cours, merde ! Quelle était-il ? J'allais les louper... ça ne me ferait pas grand chose... Mais ça mettrai un coup à ma réputation de bonne élève ! Et puis zut... J'aimais bien faire ma prétentieuse, mais pas qu'on me prenne pour une intello... ça réduirait les rumeurs... Et puis, tant pis, j'étais là, il était là... Quoi de mieux ? C'était meilleure et plus simple que tenir une réputation...

J'avais pas envie de quitter le confort de la couette. Et pour une fois ce n'étais a cause de la douceur des draps. Mais il fallais bien prendre son petit déjeuner. Je m'étirais donc.

"J'ai passe la meilleure nuit de ma vie. Pour une fois que la deuxième place de ce lit sert. Un petit déjeuner ?"

Je me rapprochais à nouveaux pour appuyer mon câlin, j'aimais sentir la douce peau de mon aimée contre la mienne, bien que ses vêtement lui couvrais une bonne partie de ladite peau. D'ailleurs elle devait avoir chaud avec toute ces couches ! Surtout que je devait pas arranger la chose. 

"D'ailleurs, t'as pas chaud avec toute ces couches ?"

Je le regardais s'étirer, et je vis alors tout son torse... Je rougis encore... J'allais devenir rouge à vie, tellement ça m'arrivait ! Je le regardai, et rougissais toujours en entendant ses paroles.

-Maintenant la place est prise... Et oui, je n'ai pas mangé hier du coup, j'ai faim..

Je riais un peu, même si ce n'était pas si drôle, m'enfin ! Il me serra dans ses bras, et ça me fit plaisir. Je le sentais près de moi, et ça suffisait. C'est alors qu'il me demanda si je n'avais pas trop chaud. C'est vrai, avec tout ce que j'avais sur moi... Je n'avais pas trop chaud, mais c'était quand même assez pénible toutes ces choses sur mon dos...

-Un peu... Répondis-je en regardant mes mains qui étaient posées sur mes genoux, toute rouge encore...

Alors maintenant fallais choisir. L'aider à se déshabiller et voir ce qui s'ensuivait ou aller faire à manger. Et j'hésitais a mort. Autant lui demander,subtilement bien entendus. Je balançais donc mes pieds sur le sol et m'assit sur le bord du lit, laissant la couette tomber dévoilant mon dos nu. C'était donc le grand moment numéros 2.

"Tu préfère que je t'aide à te mettre à l'aise ou que j'aille tout de suite faire le manger ?"

Par pitié que je n'ai pas parus trop... Pervers ? Déviant ? Je pense qu'elle ne pouvais être plus rouge que ce qu'elle était mais moi ! Je devais être aussi rouge que le sang ! Enfin, on était tout les deux aussi stresser l'un que l'autre...

Je le vis regarde ses jambes, qui se balançaient, comme s'il voulait me dire quelque chose, mais qu'il n'y arrivait pas... Je me demandais ce que cela pouvait bien être... Lorsqu'il avoua. Je ne rougis pas plus que je ne l'étais déjà, puisque c'était impossible que ce soit plus rouge... Je n'aurai plus de visage alors ! Je me rapprocha de lui, me mettant à côté, pour qu'il puisse me voir. Je lui souris, et baissa soudain les yeux.

-J'ai un peu chaud... Je-je veux bien que tu... que tu m'aides...

J'avais faim, et se serait bien plus raisonnable de manger d'abord... Avant de faire quoi que ce soit. Mais au près de lui, non... Je ne me sentais pas raisonnable, je me sentais... Plus libre, et moins l'intellectuelle que j'étais. J'aimais rire aussi... Être un peu "fofolle", et m'amuser... C'était un de ces moments là, ou l'on disait "Le coeur à la raison, que la raison ne connait point".

Ça allait dériver ! Je le sentais gros comme une maison ! Mais voulait-je dériver ? Oui. Autant dériver loin de toute terre connue, du temps que c'était avec elle. Je souris donc 

"Comme madame voudras"

Et l'aidais donc à se mettre à l'aise en enlevant sa veste que j'avais omis de prendre le soir précédent. Veste que je jetais sur la commode d'un geste théâtral. Et me sentis un peu nu en simple caleçons d'un coup... Vite ! Trouver un truc avant que je ne devienne plus rouge que rouge ! Je me jetais donc sur ma petite folle pour l'embrasser.

"C'est pas mal pour se mettre à l'aise de s'embrasser non ?"

"Comme madame voudras", à cette phrase, je souris, sans rougir d'avantage, d'ailleurs, je ne l'étais presque plus... Tiens, étonnant. Il enleva alors ma veste, et je le laissa faire. Il jeta la veste sur sa commode. Je regarda son geste, puis son visage. Je souriais toujours, aimant de plus en plus le regarder... Puis, soudainement, je ne sais pas ce qu'il se passa... Je sentis ses lèvres toucher les miennes, et je me remis à rougir... Je ferma les yeux pour profiter du baiser. Je glissa mes mains dans son dos, et le serra contre moi.

-Si tu aime ça...

Je sourais, et ne dis pas grand chose de plus, restant un peu mystérieuse... Je resta collée à lui, ne voulant plus le lâcher, pas la moindre seconde... Comme je n'avais plus ma veste sur moi, je sentais sa peau un peu plus... Je ne voulais pas que ça s'arrête si vite...

Galvaniser par le rapprochement de ma compagne je glissait moi aussi mes mains dans son dos, sous le teeshirt. Je ne voulais pas que cela s'arrête. On mangeras plus tard. On sera raisonnable plus tard. Pour le moment ou s'aimais. Et c'est tout ce qui comptais. Le temps c'était arrêter. Plus rien ne comptais. Seul elle, moi, nos corps l'un contre l'autre. Tout se résumais à ça. Et c'était tant mieux. Et puis de toute façons elle me serrait trop fort pour je tente quoi que ce soit. Elle n'étais plus qu'en jupe et tee shirt, contrairement à moi qui ne pouvais être plus proche du nu que dans mon caleçons... 
Et voila que je rougissait à nouveaux ! Je posait à nouveaux mes lèvres contre les siennes pour camoufler cela. J'étais stresser, si ce gros câlin dérivais ?

Je frissonna lorsque je sentis sa main glisser sous mon tee-shirt, sur mon dos... Je le tenais fort contre moi, blottis dans ses bras... J'étais bien, et je ne voulais pas que ça s'arrête, du moins, pas encore... J'avais l'impression que je serais toujours protéger, dans ses bras, qui paraissaient forts, et si protecteurs... Je restais près de lui, et je ne voulais pas bouger. Mais... Lorsqu'il m'embrassa à nouveau... Je le relâcha, et posa mes mains sur ses joues. Je les fis glisser le long de ses bras, et les glissa dessous, pour pouvoir le tenir par la taille. C'était la troisième fois... Toujours aussi soudaine, inattendue, mais plaisante...

Quelle heure était-il ? Je pense que j'avais loupé ma première heure de cours. Et zut... Mais tant pis, je ne me languissais pas de sa présence... J'aurai voulus qu'il soit là, toujours...

Elle était descendue vers ma taille. Ça voulais dire quoi ? Trop et trop peux à la fois ! J'étais confus. Mon esprit masculins criait d'y aller, de foncer ! de profiter ! Mais mon cotée flic me répondais qu'il fallais bien tout analyser pour être sur de moi. Naturellement je fis taire le flic, plus tard le travail. D'abord, le plaisir. Autant profiter de la superbe créature qui se tenais en dessous de moi. Je commençais donc à remonter le teeshirt de la superbe créature en question.

"Ça ne te dérange pas que je fasse ça ?"

Ce coup ci on passait la dernière frontière... Après ça, plus de retour possible...

Il commença à soulever mon tee-shirt, mais interrompit le geste pour me demander si je voulais bien... J'allais dire oui, quand alors tout se chamboula dans ma tête... je paniqua, et me colla contre lui. Je le serra fort, mais le lâcha un instant, tourna la tête, baissée. Je rougissais, souriant légèrement.

-Vas-y...

Et j'avais tout gâché moi ! Il avait juste à lever mon haut, à présent, il devait déjà se rapprocher... je n'aurai jamais du paniquer pour une telle chose...

Je sentis l'instant de panique de ma douce Eiki. Et mon esprit fus envahis de pensée parasites. J'allais faire quoi la ? On parait direct, comme ça ! J'avais 23 ans et elle à peine 17 ! C'était du détournement de mineur ! Puis mes sentiments reprirent le dessus. Et je repris mon geste non sans avoir demander 

"Ça va ? Tu dit stop et j'arrête tu sait."

Je finis pas faire atteindre le bout de sa course au tee shirt pour le retirer et exposer le torse et la poitrine de ma petite amie. Pour la première fois je voyais une femme en petite tenue. Je remontais encore pour l'embrassé et lui glisser mon amour par des baisé dans le cous. La suite promettais d'être plaisante.

Il me confia pour me rassurer :

-Ça va ? Tu dit stop et j'arrête tu sait.

Si c'était son but, il avait réussi. Ces paroles me rassurèrent, et je souris, pour lui montrer l'effet. Il continua à enlever doucement mon tee-shirt, et je le laissai faire. Une fois que le tee-shirt arriva à mon cou, je l'aidai à l'enlever complétement. Il me fixait alors, et le regard qu'il portait sur mon corps, me mettait plus ou moins mal à l'aise, mais j'aimais bien ça. Il m'embrassa vite, et glissa ses lèvres dans mon cou, ce qui provoqua un frisson dans celui-ci. Je pris une de ses mains, la plus proche de moi, et la prit, croissant mes doigts dans les siens, et le serrant fort. Je le laisser m'embrasser, et le regardait faire du coin de l’œil. Je sourirais, et glissa mon autre main dans son dos, le poing fermer, le serrant contre moi, mais pas trop pour le laisser m'embrasser comme il le faisait. Je posa ma tête contre son épaule, regardant toujours son visage, qui provoquait en moi, une chaleur... Qui ne pouvait partir, je ne comprenais plus rien... C'était comme un état secondaire de joie, un état meilleur qu'un simple bon état de santé. C'était chaud, doux... Réconfortant... Oui, c'était bien, ça, c'était l'amour. Je ne pouvais décoller mon regard de son visage, qui me rendait plus heureuse à chaque secondes.
Je vis près de son autre main, un ruban blanc. Zut... Je lâchais son dos un instant, pour passer une main dans mes cheveux, et m'apperçue que aucun des deux fils que je mettais tous les jours dans mes cheveux, étaient là. Ils avaient du se défaire pendant la nuit. J'étais maintenant, les cheveux en arrières pour la plupart, juste une mèche rose qui bouclait, devant mes yeux, tous détachés, comme je n'avais pas l'habitude, je n'étais jamais comme cela, si je l'étais... C'était bien quand j'étais dans mon état... De monstre... Mais là, je n'étais pas un monstre, mais un simple agneau, prêt à se faire dévorer entière par un loup... Mais ce loup, je l'aimais.

Nos mains se rencontrèrent et s'unirent. Je sentais sa peau sous la mienne, sa main sur mon dos. Nous étions en symbiose parfaite. Je ne souhaitais pas briser cela. Mais je ne me sentais pas prêt encore à aller plus loin. La peur de l'inconnus surement... Mais je voulais pas tout gâcher d'un coup, tout rompre comme cela. Je voulais que cet instant reste à jamais. Je couvrais le cou et le haut de la poitrine de mon aimée de léger baisé. Elle avait les cheveux détaché, libres, comme nous. Et je la voyais ainsi, souriante, heureuse. Je ne pouvais pas arrêter tout cela. Je me fis donc un peux plus entreprenant. Je remontais pour l'embrasser plus longuement. Puis je la serrais et nous fis exécuter une demi roulade pour qu'elle soit au dessus de moi. Ai moins c'était à elle d'entreprendre maintenant. Sous cet angle en contre-plongée elle était encore plus belle. Ses cheveux descendais en cascade derrière ses épaules, le soleil mettais en valeur chaque détail de son visage. J'étais encore plus amoureux...

"Un peux à toi de mener..."

Elle avait l'air plus à l'aise dans cette position. Tant mieux, moi aussi. A certains moment on devait apprendre à laisser aux autres le contrôle. Elle avait vraiment l'air plus à l'aise, elle ne rougissait plus. Elle venais de faire le chemin torse/bouche d'un seul baisé. Je me sentais à l'aise. J'enroulais mes bras sur son dos. Et alors qu'elle passait une main entre nous moi poignet accrochas une petite boucle plastique et défis le système. Quel type de système y avait il la ? Ho merde... Son...Son... Son soutiens gorge... Je venais de le défaire... Je ne savais plus ou me mettre, je rougissait comme pas permis... Devait-je lui dire ? Je tentais de maintenir le tout en place en bloquant avec mon avant bras. Je croit que j'avais fait une bêtise mais vu la témérité dont elle a fait preuve cela n'allais pas être trop grave.

"Je croit que j'ai détacher un truc"

Glissait-je dans un murmure...

Je sentis son bras m'enrouler, et j'appréciais ce geste. Je voulais rester collée à lui. J'étais bien là, trop bien... je pensai que -théoriquement - lui aussi. Je sentis quelque chose se défaire, je compris alors ce qu'il avait fait, mais pas ses intentions... à moins que ? Son côté pervers se dévoilait-il, ou bien est ce que ce geste était un malheureux accident ? J'aurai voulu croire la première solution... mais la deuxième pimentait la situation tout autant. Je souris, aimant cela. C'est alors qu'il dévoila ce qu'il avait fait. Qu'est ce que je devais faire ? Je répondis.

-Ne t'en fais pas... cela sera tout à ton avantage...

Je me redressai alors un peu, juste pour lui laisser voir mon buste, rien de plus...

OH LES ROPLOPLOS ! Je les avait en face, rond, doux, comme de la gelée... Il faut dire qu'elle en avais une sacrée paire... Une paire qui s'étendais devant moi comme le plus grand rêve d'un homme. Comment deux simples montagnes de chair peuvent elle autant faire faire tourner la tête ? On s'en fous. L'intérêt est que j'étais scotché à cette vue que l'on pourrais qualifiée de paradisiaque. Il semblerais que c'était un appel direct à une ambiance plus...intime et proche ou je ne m'appelais pas Mulder ! Autant lui répondre comme il se devais. J'entrepris donc de descendre le fin sous-vêtement après avoir réussit à dégager mes yeux de la poitrine.

"Heureusement que j'ai fais en sorte qu'on ne te reproche aucun retard pour aujourd'hui..."

Je voyais mon namoureux regardée ma poitrine, presque à en faire un drame... et s'il se mettait à saigner du nez ? Oh... ça prouverait que celui-ci était pervers. Ou peut être pas... Il était à deux doigts de se faire des idées... et si ses idées devenaient réelles ? Ce serait sympathique... ma foie ! Il me regarda. La phrase qu'il dit me fis paniquer. Les cours... oh merde ! Mais... comment ça il avait fait en sorte de ne pas me reprocher mon retard... il aurait prévenu le lycée que... non... pas possible. Je ne sais pas ce qu'il avait fait, mais j'oubliais vite. Tant pis... on ne pouvait pas arrêter maintenant... Je regardai ma jupe. Tiens... elle était de trop elle... je me décala, me posa à côté, et l'enleva.

-Tiens, tu ne me gênera plus toi ! Nous sommes à égalité tous les deux maintenant...

Je revins près de lui, dans la même position que tout à l'heure, histoire de pouvoir reprendre là où on en était...

En effet nous étions à égalité. Chacun torse nu, peau contre peau. Je pouvais admirer la poitrine de ma bien aimée. Une fort belle poitrine d'ailleurs. Mais je m'attarde sur ma copine pour ne pas parler du problème qui survient gentiment dans mon caleçons. Après tout je suis un homme et lorsque une si jolie créature se trouve ainsi sur soi, il est dur de maintenir le petit soldat au repos... Enfin vu le moment, ce n'étais qu'une question de temps avant que cet incident ne survienne. C'était bien partis pour être une inoubliable matinée...

Je coupais ma tranche de bacon, et mordis dans ma fourchette. C'était délicieux ! Je pris un bout de pain et mangea un bout de l'oeuf avec. Quand je repensai à tout ce qu'il s'était passé... en si peu de temps, me voilà ici, chez quelqu'un qui devrait être mon ennemi, mais que j'aimais... et dont je lui avais prouvé... Et maintenant je mangeais là, près de lui... Je fixais Carrick, rougissant, repensant à tous les événements depuis le soir passé.

-C'est délicieux ! J'avais faim moi...

Je finissais mon assiette, et me leva.

-Où est-ce que je peux poser tout ça ?

Demandais je en parlant de la vaisselle. J'allais bien aider, quand même...

Et c'était partis pour la plus belle matinée de ma vie...


Après cette superbe preuve d'amour mutuelle j'étais partis faire à manger et nous dégustions une préparation toute simple d'oeuf brouillé/bacon. Le ptit dej des champions mais ont avait bien besoin d'énergie. J'entendais Kraine dans ma tête me faire un joyeux "GG !". Il serait bientôt l'heure d'aller ramener ma dulcinée au lycée. J'avais peut être réussit à lui libéré les premiers cours dans le cadre d'une enquête du CDS et de la BDS mais il ne faudrait pas trop tarder. Quoi qu'il en était, je devrais fêter dignement avec Alexander et peut être Mëw cette mise en couple !

Je me dirigeais vers la salle de bain pour me préparer en répondant à Eiki de tout laisser dans l'évier et que je m'en occuperais. Une fois dans la salle de bain je changeait de caleçon et enfilais mon pantalon de costume. et ma chemise. J'ouvris le placard pour sortir mon holster avec mon arme de service. J'enfilais le tout passait ma veste par dessus. J'était prêt.

Je retournais au salons et annonçait à ma douce qu'il faudrait penser à se rhabiller pour aller travailler. Toute les bonnes choses on une fin. Mais celle ci peuvent recommencer.