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| Sujet: D A R H I L •• terminée Sam 31 Jan - 15:21 | |
| DARHIL ACKLES Informations Nom: Ackles
Prénom: Darhil
Âge: 19 ans.
Sexe: Masculin.
Nationalité: Anglaise.
Groupe: Élève monstre.
Race: Lycanthrope.
Arme (Si comité ou guardian): nope.
Année et classe 2ème année et classé.
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feat : Alucard (Hellsing) |
Psychologie T'es du genre à errer un peu partout, les mains dans les poches, le regard neutre et droit. C'est vrai que parfois on dirait un robot. Honnêtement, ton apparence nous laisse imaginer le caractère que tu pourrais avoir. On se dit qu'il vaudrait mieux ne pas t'approcher, tu dégages une aura pas spécialement rassurante. Et ça, tu le sais bien. Tu roules des yeux chaque fois qu'on évite de croiser ton regard : à croire qu'il tuerait les autres. Pourtant il n'en est rien. Tu es certes, quelqu'un qui passe ses journées souvent seul, à mordiller un brin d'herbe entre tes dents - tu ne sais pas trop pourquoi, mais tu adores ça - tu as notamment l'air d'être quelqu'un de froid, et pourtant tu ne ferais pas de mal à une mouche - enfin, tu adores massacrer les fourmis mais oublions ce détail - Ton entourage peut le confirmer, le mot qui reviendrait souvent c'est papa poule. Protéger les autres, les gens qui possèdent une grande place dans ton cœur et rester auprès d'eux : c'est pratiquement le seul but de ta vie. On ne dirait pas, d'ailleurs tu ne comprends pas la surprise des personnes lorsque tu leur dis que tu es parfaitement capable d'amour, de sincérité et de confiance. A les entendre, pour eux tu ne serais qu'un type manipulateur, hautain et confiant.
T'es tellement loin de tout ça Darhil. Ce n'est pas parce que t'es habillé souvent de manière sombre, que tes paupières sont tombantes et que t'as tendance à être sec que t'es forcément de ce genre-là. Les apparences sont tellement trompeuses, tu adhères parfaitement à cette phrase. C'est sûr que te faire des amis, ce n'est pas une toujours tâche facile. T'es du genre à anticiper les choses, à te trouver ridicule ou inintéressant. Tu préfères qu'on vienne t'aborder, mais il arrive que tu fasses notamment le premier pas si la personne t'intéresse. De toute façon, t'as quoi à perdre ? Si la personne n'est pas réceptive, n'ai pas honte : passe ton chemin.
En plus, tout le monde le sait que t'es sensible. Pas jusqu'à en pleurer certes, mais tu ne supportes justement pas voir quelqu'un verser une petite larmichette : tu ne peux t'empêcher de t'inquiéter et d'aller voir ce qu'il se passe. S'il y a besoin que tu prennes la personne dans tes bras, tu le ferais. S'il y a besoin que tu la fasses rire, tu le ferais. S'il y besoin que tu passes une journée entière avec elle, tu le ferais. T'aimes bien remonter le moral des autres, effacer les peines, t'as un vrai coeur de gimauve, mine de rien. Ce que tu détestes par dessus tout, c'est qu'on se joue de toi : qu'on joue de tes faiblesses, qu'on profite de ta confiance ou de ta gentillesse. Une fois qu'on te cerne jusqu'au bout, il est tellement facile de t'affaiblir. Dans ce cas-là, il y a deux possibilités selon la gravité de la chose : Tu masques ta peine et laisse passer, décidant d'ignorer définitivement cette personne-là. Ou tu décides de la montrer et dans ce cas-là, ça se passe très mal. Tu n'aimes pas la violence, tu évites d'en venir aux mains, mais quand tu vois vraiment rouge, tu agis très très rouge. Parce qu'oui, t'as beau être sympathique, il faut quand même que tu saches t'imposer, montrer que tu n'es pas un idiot ni un jouet. Tu préfères tout de même te battre avec les mots qu'avec ton corps. Tu sais que c'est plus blessant, tu sais viser là où ça fait mal, toi aussi.
Physique T'as toujours l'impression de te sentir différent et pour toi, ça n'a jamais été quelque chose de positif. Bien que désormais, à Yokai tu te sens beaucoup plus chez toi. T'es tout de même rassuré. Tu te demandes souvent dans une vie antérieur, à quoi je ressemblerais ? Pas que tu te trouves répugnant, ni extrêmement beau. T'as pas tellement d'avis sur toi-même, pour être honnête. Tu sais juste qu'à cause de ça, les gens n'osent pas trop te parler. T'es peut-être intimidant ? Mais en quoi ? T'es loin d'avoir la carrure d'un catcheur, t'es pas trop grand non plus par rapport aux autres types. 1m75. Peut-être ton visage ? Regarde toi, t'en penses quoi ? Ah, tu te contentes uniquement d'arquer un sourcil. Qu'est-ce que ça signifie alors : tu t'aimes ou pas ? T'es pourtant agréable à regarder, tes traits sont précis, ton grain de beauté sur le coin de la lèvre fait ton charme, t'as quand même du potentiel, non ? Ah, tes yeux. C'est vrai, le contour de ceux-ci et tes cernes sont quand même assez marqués. On dirait que tu ne dors jamais. Même la couleur est flippante, il faut dire que marrons dans les tons rouges : t'as tendance à ressembler à un vampire - bien que tu n'en es absolument pas un - Et tes cheveux ? T'as l'impression de ressembler à un vieux ? Ils sont plutôt étranges, bien que la forme soit très belle. Brun avec des nuances de gris, on dirait un vieux, ou une bête. Ah pardon, j'avais oublié, t'en es une.
En parlant de ça, t'aimes pas tellement ta nature, pas vrai ? Enfin, tu ne sais même pas si tu es un homme ou un monstre, de base. T'es assez perdu. T'aurais préféré naître humain, au fond. Ça aurait effacé culpabilité, question et complexe. C'est bien la réalité, tu es un homme-loup ou loup-garou, si tu veux. Tu hais ta forme animal : bien que tu te sens libre, t'as l'impression de te sentir impuissant, ne pas être toi. Fort heureusement que Yokai t'ai aidé. La bête que tu étais, n'était pas toi, homme. Elle était agressive, fougueuse, folle. Tu possèdes toujours la même forme, la même couleur, la même texture de poil. T'es tout blanc, de loin t'es pas spécialement impressionnant, mais de prêt c'est une autre histoire. T'as vachement plus de force dans cet état-là, qu'en homme. Lorsque tu reviens en humain, tu te retrouves toujours nu : tes vêtements se déchirent, ou tu les abandonnes. Mieux vaut éviter... de se retrouver n'importe où à ce moment-là.
Storyline Tu es né en Angleterre, dans un village, tu as même une petite soeur. Ta famille est exactement comme toi, tu ne t'es pas retrouvé homme-loup en un claquement de doigts. Tu n'arrivais même pas à te transformer partiellement, il est vrai que tes parents sont restés extrêmement perplexe : ils se sont même demandés si tu n'avais pas été échangé. Ce n'est pas pour autant que tu étais rejeté, non. Ça viendra sûrement plus tard, qu'ils se disaient. Tu te rappelles de ces fois, où tu te retrouvais seul les soirs, plus précieusement à minuit ? Même ta petite soeur de 10 ans partait chasser. T'étais au courant de ce qu'ils faisaient et ça te mettait mal à l'aise, d'ailleurs. Toi, tu étais habitué à la nourriture humaine, les fast food, restaurants, et compagnie. Il fallait bien s'y faire, comme ta mère et ton père. Seulement, leur envies dû à leur transformation étaient incontrôlables. Puis, quand tu te suçais le pouce sous ta couverture, tu t'es blessé. Ton doigt saignait. T'avais une canine. Ça t'avait rendu heureux, ça te rassurait : t'étais un monstre, comme ta propre famille. Tu n'attendais pas midi quatorze heure pour leur annoncer.
Plus tu grandissais, plus ça te posait problème. Tu commençais à te sentir dix fois plus différent. C'était bien pour ta famille, mais au milieu de tous ces humains... t'étais l’intrus. Les jours où tu devais te rendre à l'école étaient une vraie angoisse : et si tu te transformais ? Et si tu perdais le contrôle ? Et si tu massacrais un camarade, un professeur, ou même ton meilleur ami ? Tu préférais te rendre distant, tu refusais toute amitié. Tu sautais même une ou deux semaines de cours. Il n'y avait rien de pire que de se lier d'amitié avec un humain. Tu pouvais lui faire du mal à tout moment, voir même le tuer. Tes parents croyaient en toi, à eux, à un avenir : ils étaient persuadés qu'ils pouvaient se mélanger aux autres. Toi, non. Tu le savais. Tu savais que c'était impossible. Les loups ne protégeront jamais les agneaux. Les agneaux fuiront toujours les loups. Votre mode de vie était trop différent des leurs. Les voisins vous trouvaient même bizarre, ils vous soupçonnaient de tout et de rien. Ils avaient même peur. Puis, les flics ont forcément débarqué plusieurs fois. Heureusement, aucune trace, aucune odeur.
Mais ça sentait mauvais, c'était ton instinct humain et animal qui te le disaient.
Puis t'as réussi à te transformer entièrement. T'as commencé à faire comme tes parents. Tu partais à la chasse. T'avais pas trop le choix, à vrai dire. Le loup en toi en avait besoin. Il ne pouvait pas se contenter de patates et salades. C'était quand même flippant. Bien que l'esprit animal ait remplacé celui de l'homme. Tu ouvrais la gueule, ressentais la fraîcheur de l'extérieur, de la nuit, ça te faisait du bien, bon dieu. Ton coeur battait quand tu te mettais à courir. Il avait peur. Puis il était heureux. Il était angoissé. Puis libre. Tes sentiments se mélangeaient : t'étais perdu. Étais-tu réellement un monstre parce que c'était bel et bien ta nature, que tu te contentais de survivre ? Et les hommes, qui tuaient animaux pour les mêmes raisons, ne l'étaient-ils pas ?
Un bras en bouche, la gueule tâchée de sang, tes oreilles se dressaient. T'étais alarmé. T'entendais les sirènes. Tu grognais. Tu sentais terriblement le danger. Tu décidais de fuir, d'accélérer tes pas, retourner chez toi. Ta famille allait sans doute te rejoindre.
Du moins, c'est ce que tu pensais.
4 heures, toujours rien. Aucun signe. T'étais redevenu humain. Tu frissonnais, te mordais le pouce jusqu'à le faire saigner, comme à ton habitude par le stress, l'angoisse. Tu tournais en rond, toujours nu, affolé. Avaient-ils réussi à fuir ? Étaient-ils attrapés ? Morts ? Cachés ? Tu n'en savais rien, t'étais juste seul et c'était flippant. Pour la première, tu avais envie de pleurer. Tu ne savais absolument rien de ce qu'il se passait. Tu fouillais un peu tout et n'importe quoi dans chaque pièce. Dans cet état-là, tu devenais un peu trop paniqué et agissais étrangement. T'avais besoin de faire quelque chose, tout en les attendant. T'avais pas assez de courage pour aller les retrouver et si jamais tu quittais les lieux, tu risquais sans doute d'aggraver les choses. Repérant une enveloppe ouverte, une lettre déchirée en deux dans la chambre de tes parents, tu décidais de la lire. Ça te rendait perplexe. Plus tu continuais la lecture, plus tes yeux s’agrandissaient : Yokai ? T'étais en train de te rendre compte que tu n'étais pas le seul dans ce genre de situation-là. Que tu n'étais pas le seul inhumain, le seul monstre. Tu versais des larmes, tellement t'en revenais pas. Pourquoi t'avaient-ils caché ça ? Pourquoi ? Alors que ça aurait pu changer ta vie ? T'étais même pas au courant qu'une telle chose pouvait exister. Ça te semblait irréel, fou. Sans t'en rendre compte, tu t'endormais sur leur lit avec cette lettre serrée contre toi. Tu espérais de tout coeur leur retour. T'en rêvais même.
La lumière du jour venait de te déranger, tu ouvrais un oeil puis l'autre avant de t'étirer et de te rhabiller... avec les vêtements de ton père ? Ton visage montrait ta perplexité. Tes mirettes observaient machinalement la lettre tombée au sol, que tu avais froissé durant la nuit. Désillusion. Tu manquais de te manger le sol vu comment tu venais de sursauter, dans le but d'aller voir s'ils étaient bien ici, si tu n'avais pas rêvé.
Ce n'était PAS possible. Tu fondais en larme.
On toquait chez toi, un gros badoum se faisait entendre dans toute la maison, suivi de plusieurs menaces. Il ne t'as pas fallu plus de deux secondes pour comprendre ce qu'il allait t'arriver. Tu ouvrais la fenêtre de la chambre de tes parents qui se trouvait sur le toit. Tu tentais de grimper, d'y mettre toute ta force pour passer à travers, avant de te jeter sur la pelouse tout en te transformant. Tu entendais des tirs. La maison était encerclée. Tu dégageais le plus vite possible d'ici.
T'avais nul part où aller, tu ne savais même pas où étaient tes parents. Si la police s'était rendue chez toi, c'est bien pour une raison. Tu ne voulais pas imaginer le pire. Puis, tu repensais à cette lettre. A ce que tu avais lu. Un espoir pouvait se lire dans tes yeux.
T'avais pas trop le choix, Darhil.
Pouvoirs
• Guérison : Permet de se soigner, ou les autres. Ne peut l'utiliser qu'une fois tous les trois jours. Toujours un peu de difficulté à le maîtriser. • invisibilité : Il le gère généralement bien, cela dure de 3 à 8 minutes, pas plus.
Behind the screen | Prénom ou Pseudonyme : (◡‿◡✿)
Age : 18 ans o/
Que pensez-vous du forum ? : Il m'a l'air cool, après, je verrais bien une fois vraiment dedans. B) D'ailleurs, je n'ai choisi que deux capacités si ça ne dérange pas. J'ai pas trop d'idées pour le troisième haha, j'pense que c'est suffisant ? xD
Comment as-tu connu le forum ? : Partenaire en partenaire en partenaire [...]
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Arrogant-Mischief sur Epicode
Dernière édition par Darhil Ackles le Lun 2 Fév - 0:10, édité 5 fois |
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