Il n'y a pas beaucoup de questions auxquelles je ne puisse répondre. Pas beaucoup ne veut pas dire aucune, car effectivement je ne peux expliquer pourquoi je me suis dans cette boite avec un verre en main. Si ça c'était une question piège, je me serai faite avoir à l'examen. Le pourquoi du comment m'échappent, il n'y avait qu'une chose à conclure, j'avais donc marché dans la rue jusqu'à finir devant le bâtiment. Intriguée par celui-ci je ne pouvait qu'avoir entré en toute innocence. Cela n'expliquait en rien ma tenue et le verre, toute fois je pouvais me suffire de cela.

Cela vous semble étrange non? Une jeune femme aussi jolie que gentille possédant d'énorme perte de mémoire. Et bien vivez donc depuis la nuit des temps et l'on verra si vous avez une bonne mémoire! Il n'en est rien pour ma part, j'ai toujours ceux que cela était un grave défaut pourtant je m'en suis contenté et débrouillé avec. Mais ce soir, c'est décidé, demain matin je vais voir un médecin pour changer cela. Car ce n'est pas la première fois que je me retrouve tirée à quatre épingle je ne sais où.

De la mousse me tomba dessus, comme quand l'on percute un arbre plein de neige, la même chose, mais en plus mou et moins choquant. Quoi que, au vue de mon bond prodigieux, je venais tout de même d'avoir peur. Les couleurs et les lumières se mirent à changer de plus en plus vite, un volcan acide remonte dans ma gorge. Vomir, des toilettes! Vite!

Boire sans avoir, c'est pas aussi agréable et amusant. Par chance je venais de trouver ces foutues toilettes. la tourbillon acide qui ressort n'est pas aussi horrible qu'il semblait l'être deux minutes avant. J'espère juste ne pas avoir la gueule de bois le lendemain. Quoi que... si ça pouvait m'empêcher de me présenter devant une classe de jeune créature que j'avais autre fois créer... Un frisson me parcourue le dos. Créer? Depuis le temps que tout avait été mis en place, aujourd'hui je ne sers plus a rien. Je vis dans l'unique but de retrouver mon très chère Temps. Un espoir surement aussi futile que dérisoire, cela fait des siècles et tellement plus, que mon pouvoir décline.

Soit, après avoir si élégamment couru à travers la foule dansante pour finir aux toilettes en étant plein de mousse, je finie donc par sortir de cet endroit. Les marches me paraissaient interminable, tout comme le temps manquant de mes souvenirs. Depuis combien de temps étais-je ici? Le mieux que je puisse faire, n'est autre que de me souvenir de la dernière chose que j'avais fait ce matin.

Après m'être levée, j'avais pris une douche, j'étais descendue à la cantine. Normalité plus dix point. J'avais manger comme une personne calme et civilisée que j'étais jusqu'à mon instant de pure débauche. J'avais pris le temps de me préparer et d'aller en cour. La j'étais scotchée en m’asseyant sur les marches. J'avais donc eu le cran de me présenter devant la classe. Mathématique, littérature... la journée passa normalement. C'est très rassurant de savoir que l'on n'a pas fait n'importe quoi devant tout le monde.

Bon, j'étais pas trop mal au point, bien que je comate dans les escaliers d'une boite particulière don je connais même pas le nom. Diable que m'a-t-il prit cette foi? J'espère ne pas avoir draguer un homme ou que sais-je encore. J'aurai peu faire un strep-tease, draguer plusieurs personnes en même temps. Après avoir bu autant de verres, il valait mieux que je rentre chez moi... sans trop traîner.

J'avais aujourd'hui réussi ma première journée sans embrouille à l'école! Je comptais fêter ça en bonne et due forme alors j'en avais profité pour demander à un gars de ma classe dont je ne connaissais même pas le nom s'il ne connaissait pas un endroit où on pouvait faire une fête correcte et digne de ce nom. Il m'a indiqué un endroit nommé le devil's den. Je trouvait que ça sonnait sympa surtout qu'après ma petite mésaventure de noël j'avais bien besoin de me reposer un coup. Quand j'y repense, je me rappelle que j'ai même eu droit à une chambre avec un coloc sympa. Si ça c'était pas du bol!
Depuis tout ce temps où je m'étais vu obligé de combattre ou confronté à une forme de cruauté quelconque j'allais pourvoir, au moins ce soir, mordre la vie à pleine dent et m'amuser!

Je me rendis donc à cet endroit nommé le devil's den et y entrait.  On pouvait entendre une bonne ambiance depuis l'entrée. une femme à l'accueille me proposa de prendre mon manteau pour le poser dans le vestiaire, j'acceptais poliment et lui donnait ma blouse de scientifique. Elle me rendit un coupon avec un numéro dessus pour que je puisse la récupérer sans problème.
J'entrai donc dans la première salle. Une musique assez tonique passait. Je voyais les gens se trémousser sur le rythme de celle-ci. Un peu intimidé du fait de mon manque d'habitude de ce genre d'endroits, je m'assis à une table lorsque j'entendis du bruit derrière moi. Une femme était en train de se faire agresser par un type à capuche. *Pourquoi toujours des types à capuche?* pensais-je.
Je posai ma main sur l'épaule du monsieur et demandai à la demoiselle s'il y avait un problème et la seule réponse que j'eus fut une tentative minable venant de jean-capuche de m'effrayer. Je regardait la fille en question, elle présentait de multiples traces de  blessures, des larmes sur le visage et de multiples bleus et hématomes. Je me contint me disant que c'était ma première journée sans bagarre depuis longtemps et qu'il serait bien que ça le reste. Mais malgré tout mon sang commençait à chauffer. Je commençais à serrer de plus en plus fort l'épaule de jean-capuche lui demandant si c'était lui qui lui avait fait ça. Il commença à m'insulter à sortir un canif et à tenter de me planter. C'était prévisible. A tel point que je lui attrapai le poignet avant même qu'il n'ait pu m'atteindre et serrai de plus en plus fort. La colère me faisait serrer tellement fort son poignet
qu'il s'agenouilla et commença à me supplier. Je me disait que ce n'était qu'une petite chochotte lorsque je vis que son poignet relevait plus du hachis parmentier supplément sauce tomate et mozzarella que d'un poignet ordinaire. Je le lâchai et il partit en boitillant et en pleurant. Je demandai à cette inconnue si tout allait bien lorsque celle-ci me répondit avec un visage que j'avais déjà vu plus tôt à noël: "Oui, tout va bien mon petit..."
Je tressaillis en voyant cela, je reculai avant de perdre l'équilibre et de trébucher avant de tomber. J'entendis un : "ça va monsieur?"
Avant de regarder à nouveau cette jeune fille que j'avais plus ou moins aidé me tendre la main pour m'aider à me relever. Je la rassurai rapidement avant de m'éloigner d'elle.
Ce visage... Je croyais pourtant l'avoir abattu  l'autre fois mais bon...
L'heure n'était pas à se tourmenter! je devais simplement être fatigué alors j'allai profiter de cette soirée au maximum!
je commençait à faire la visite des autres lieux avant de voir une jeune femme aussi allongée dans les escaliers dans un piètre état. Je me penchai au dessus d'elle lui demandant:

<< Excusez-moi, ça va? Vous avez besoin d'aide?>>

Mëw Experience N°8

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HISTOIRE

...Entrer dans mes souvenirs...

Après un arrivais plutôt charger dans le monde de Merveille et des révélations inopinés que j'avais u dans l’après-midi, j'avais décidé d'aller confirmais mon inscription plutôt inattendue dans cette école qui l'étais tout autant. Ainsi, après mettre fait remontais les bretelles, avoir donné quelque petites explications et fait quelques papiers sens intérêt, on m'avait attribué un chambre dans laquelle se trouvait une petite surprise, un autre élève, et nous allions donc devoir partager cette chambre ce qui allais pouvoir s'avérai difficile pour lui... Ainsi inscrit, j'avais décidé de commencer par faire le tour de la ville pour ne pas changer mes petite habitude... après avoir fait un petit tour, je décidât de m’arrêter dans le "The Devil's Den" car j'avais besoin de réfléchir à ma journée. Pour quelqu’un d'ordinaire se n'étais certainement pas le lieu approprier à cosse du bruit et des problèmes en tout genre que l'on pouvait trouvais dans ce style de lieux, mais pour moi c'était une autre histoire. J’avais toujours vécus dans un endroit où rien ne bougeais et ou tout étais toujours calme a quelque exception alors pour moi, réfléchir dans un lieu quasiment sens vie étais plus désagréable qu'autre chose car cela me rappelais trop de mauvais souvenirs. Pourtant, quelque foi je le faisais car cela m’endurcissais. Je m'étais accoudé dos au comptoir, Un pied sur le tabouret sur le quelle je me trouvais semi assise et l'autre dans le vide ; Un coude sur le bar avec dans la main un ver de Limonade et l'autre sur mon genoux qui se trouvait plier. C’était ainsi que je réfléchissais. Je regardais les personnes sans vraiment les regarder, plus ailleurs qu'autre chose et pourtant, tout à fait prêt à réagir au moindre danger. C'est là, que mon regard se dirigea vers l'escalier et que je vis, à peux prés sur les deux premières marches, un jeune homme se pencher sur une femme. Rien d'extraordinaire... et pourtant, cela me fis sortir de mes pensées. Je resta donc là, sens bouger de ma position, pour le moins étrange et les regarda discrètement sens les quitter des yeux.

Au milieu de la scène. Tout les regard sur moi. King of the Hill, autorisation spéciale. La dernière musique de mon tour. J'étais le dj ce soir mais j'allais quitter ma place après cette musique. Autant mettre le paquet. Je balançait donc mon dernier mix.
La salle sautais au rythme de la musique. Je maitrisais l'ambiance et m'éclatais. Je mis même une dose de mon aptitude a faire vibrer l'énergie sombre de la salle pour intensifier les basses. Le drop :
"I'm here to chew bubble gum and kick ass. And i'm out of bubble gum".
La salle se déchaine. Et la fin arrive peux de temps après, je saute dans le public sur le dernier drop et celui ci me rattrape. Une vague humaine me propulse et c'est au bar que j'arrive, dérapage sur le comptoir, commande d'un pan galactic gargle blaster et tombe sur un des tabouret.
On me sert la boisson gratuitement, en récompense de ma prestation. Je savoure ce délicieux alcool qui vous donne l'impression d'avoir le crane frappé par un lingot d'or entouré d'une rondelle de citron. Je suis immunisé contre les lingots d'or. Et les rondelles de citron. Puis je remarque la personne à coter de moi, un jeune sourie contorsionniste polymorphe connu sous le nom de Mëw.

Les yeux fixés sur le plafond, la musique me berce à un rythme trop vivant. Je ferme les yeux pour écouter ce son qui me traverse, faisant battre mon coeur. C'est fou ce que cette époque peut apporter. Moi qui était morte il y a à peine quelques années. J'avais encore appris une langue, redécouvrant les précédentes avant de suivre une étrange dragonne qui n’apparaît que pour moi quand j'en ai besoin. Qu'avais-je bien pu faire pour avoir un tel être comme garde du corps?  Franchement, je devais pas chercher, elle est là, quelque part à regarder si je vais bien. Ce qui n'est pas trop le cas.

Doucement je me sens glisser vers le fond, je suis plus mal qu'il n'y paraît. Le regard vide, mes paupières sont lourdes, je m'endors profondément. C'est jamais bon signe de perdre connaissance après avoir vomis une bonne partie de l'alcool que j'avais avalé. La prochaine foi, il faudrait vraiment, que j'arrête de boire en me morfondant, bien que j'avais due passer comme une folle pleine d'énergie...

Ok, là je dois vraiment ouvrir les yeux avant de ne pas avoir la force de me lever, bien que je ne l'avais plus depuis l'instant même où je m'étais couchée. Pitié qu'on me sorte de cette merde!!! Et là, mes prières furent entendues, un type me parla. Navré mec, mais je suis pas en état de répondre, je parviens à peine à ouvrir les yeux. Comment me faire comprendre? Surement ne rien faire tout simplement, de toute façon je ne peux rien faire.

Les marches dans mon dos ne font plus mal, je ne ressens presque plus rien même, alors je laisse mon imagination divaguer pour me retrouver à un tête à tête bien personnelle. Mes moi d'avant sont là, toutes attablées, leurs regards sombres posés sur celle que je suis aujourd'hui. Peut-être que c'était l'une d'elle qui m'avait poussé à agir ainsi? Et comme si mes pensées étaient mise a nue, elles froncèrent les sourcils pour affirmer d'une voie que je suis juste entrain de me prendre, et qu'elles n'ont rien avoir avec cet état d'absence. Toute foi, ça n'a aucun sens, pourquoi me ferai-je du mal?

Tout en voulant la réponse je m'installa à la table pour les regarder toutes. Ces visages, il y en a tant et pourtant aucun ne me revient en mémoire. Je sais qu'elles sont moi, mais je ne comprends pas pourquoi j'ai cette discussion qui ne peu rien m'apprendre. Rien que je ne sache déjà.

"*" Pourquoi est-ce que j'ai ces pertes de mémoires? Ces absences..."*"

Des sourires tristes se dessinent doucement, me montrant ce que je sais. Si je ne me rappelle pas c'est parce que je ne veux pas m'en souvenir. Qu'avais-je encore fait? En réalité, ce n'était même pas là que j'avais bu comme une folle, je n'avais pris qu'un verre qui avait fini au sol. Mon problème étant que j'étais passé dans trois barres avant de finir ici à cette heure si tardive. Dehors il doit faire nuit et le ciel est surement très nuageux, comme souvent en cette saison.

"*"J'ai peur... peur de ne pas me réveiller la prochaine foi que je mourrai... c'est pour cela que je me perds, parce que je n'ai plus confiance en ce que je suis... N'est-ce pas?"*

Aucune réponse ne me vient. Le silence fut pour moi le seul recueillement au quel j'ai droit. Toute foi, chaque visage ferma les yeux avant de s'effacer, me laissant ainsi seule assise sur une chaise au coeur de mon esprit, dans les méandres de l'irréalité.

Je  la regardais. Elle semblait quelque peu inconsciente. Je tentai de la secouer  un peu : Aucune réaction. Je la giflais en tentant de l’interpeler : Aucune réaction. Je remarquai qu’elle empestait l’alcool au passage.  Je ne savais pas si c’était à cause de la fatigue mais je commençais à me sentir un peu patraque. Une petite voix me chuchota *On fatigue ? Serait-ce à cause d’un semblable ?*  Je me retournai et la vit, cette petite fille censée être morte.

«  Que fais-tu ici ? »

Elle me regarda un instant avant de rire. *Alors tu m’as autorisé à jouer avec toi un peu.* me dit-elle.

« Je t’ai demandé ce que tu faisais ici ! »  

Elle me regarda, disparut un instant avant de réapparaître derrière moi, une de ses mains sur mon épaule droite, me chuchotant  *Je ne suis pas vraiment là*

«  Lâche-moi ! » criai-je avant de la saisir et de l’envoyer valser un peu plus bas.

Un type vint me voir et me dit :

« Ça va mec ? Tu parles tout seul dans les escaliers à côté de cette demoiselle, là.  Avec les potes on se demande si tu pouvais pas sortir un peu histoire qu’on te parle.

_Mais c’est elle qui… »

Je me plaquai la main sur le front lorsque je compris. J’étais victime soit d’une personne que moi seul pouvait voir, soit j’étais victime d’une hallucination.

« Sinon tu pourrais pas la laisser un peu ? On est de ses amis on va s’occuper d’elle. »

Je finis par me laisser  convaincre. Quelques  mètres plus loin, je me retournai et vit le type avec une seringue sur le point de l’injecter à cette fille. De la drogue ! Et j’étais sûr pour le peu d’expérience que j’en avais eu qu’ils n’avaient pas que de bonnes intentions envers elle.
Je remontais les marches  quatre par quatre et fit manger mon poing. Il se releva avant d’appeler ses potes.  Vu la dégaine des types, ce n’étaient pas des enfants de cœur et je ne pensais pas non plus qu’ils étaient prêts à porter un quelconque secours à cette fille.  Ils commencèrent à sortir les couteaux. Je déployai un sceau de vitesse en dessous d’eux. Ainsi je pus choper son couteau à l’un d’entre eux, faire un borgne, couper une oreille à un autre, refaire une coupe au troisième et  pour ce qui est du quatrième,  lui mettre dans la bouche les morceaux coupés de ses potes à savoir cheveux, oreille et œil. Je retirai mon sceau.  Ils s’écroulèrent par terre et le quatrième dégobilla par terre. Ils s’en allèrent sans demander leur reste.
Je retournai voir la demoiselle avant de continuer à la gifler en ayant un visage passif au possible tout en lui demandant de se réveiller.

Mëw Experience N°8

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HISTOIRE

...Entrer dans mes souvenirs...

Je me retourna, surprise en entendant la vois de carrick. Il étais la, comme par hasard. Je le regarda un certain temps avec indifférence. * Décidément... c'est a croire que tu ma suivie.... Tu dois p't'être me protéger mais moi je n'ais toujours pas confiance en toi alors ne me cherche pas. * Puis me remis a regarder les deux personne qui avais t'en attirais mon attention et vit qu'il s'étais passer pas mal de chose en très peut de temps. Quatre personne les avaient rejoins et n'avais pas l'aire bien. Trois se trouvais a terre et le quatrième vomisse ces tripe. C'est avec grand intérêt pour se que je regardé que je répondit, quasiment en chuchotent avant de boire mon vers sens les quitter des yeux: << Tu n'imagine pas a quelle point.... >> Je me leva et alla sur le lieux des faits. M'adossa contre le mur, suffisamment dans le noir pour que le garçon ne puise pas me voir correctement car, ne connaissent pas son caractère, il serais embêtent qu'il me reconnaisse un fois dehors. De la je pouvais regarder et surtout écouter se qui se passer. Du moins, je n'avais pas dans l'idée de m'en mêlé et donc d'intervenir se qui risquai de ne pas luis plaire.

C'était beau les coïncidences... Je fait l'une des mes activités préférée et la ! Une neko polymorphe !


Et pile au moment ou je finis ma phrase je suis le regard de Mëw et vit une vielle connaissance faire sont sport préférer encore. J'entendis le discret "quel point" de ma camarade et elle c'était dirigée vers le groupe pour se cacher. Quand à moi je retirais la sécurité de mon arme et avançait vers le petit groupe calmement. Il connaissait ma force. Et je connaissait la sienne. Tout allais bien aller. Je me plantais derrière l'homme et dit d'une voix plate du flic en fonction.

[center]"Docteur Kraine, vous êtes en état d'arrestation pour trouble de l'ordre public, ainsi que coup et blessure. Ça c'est la forme, explique moi pourquoi ce jeune homme à perdu tout espoir d'avoir une descendance désormais. ET BORDEL DE MERDE ON NE FRAPPE PAS LES GENS POUR LES REVEILLER ! Merde !" Je me tournais vers la femme."Madame ? M'entendez vous ? Faites n'importe quel signe m'indiquant votre éveil si c'est le cas."

Quel con ce mec. On ne frappe pas les femmes ! Surtout une aussi plaisante à l'œil que celle ci. Il resteras puceau à vie ce con avec ce genre de réaction.

Je laissais mon esprit filé, m'imaginant entrain de voler dans un ciel où quelque nuage m'indique le sens. Le vent caressait mon visage avec une douceur paisible et agréable. Ce qui m'avait parue être le haut ne l'était pas, je me vis, moi volant sans ailes. D'une main curieuse, je toucha cette surface qui s'ondula doucement tel de l'eau paisible. Ce que je voyais n'était autre que mon reflet, pourtant se regard n'était pas le mien. Cette ombre néfaste qui cour joyeusement derrière ses yeux bruns claires me fait peur. Qui cette personne qui semble tant s'amuser de me voir ainsi perdu?

Mon coeur s'accéléra tendit que je paniquais en reculant face à cet être qui n'était pas moi. Mon cauchemar semblait commencer depuis peu. Ce ciel qui était si paisible vira doucement vers un rouge orangé et alors que je volais, l'eau me frappa le visage. Je tombais, sombrant doucement vers les profondeurs obscures.

Quand soudain, une douleur me figea. L'eau disparu, j'était à nouveau dans le ciel, mais pourtant, j'avais un doute. Un autre choque me frappa me faisant tomber au sol sur des escaliers qui venaient d’apparaître. Cette douleur dans le dos, chaque marches s'enfonçant contre ma colonne. Non, je me redressais rapidement avant de me tourner pour voir ses escaliers. Et alors que je croyais être enfin tranquille un coup me fit grimacer avant de m'envoyer une dernière foi au sol.

La douleur n'était pas forte, j'étais juste surprise d'entendre des voies, de sentir l'odeur du sang ainsi que mon horrible haleine. Pourtant je ne voulais pas me lever, bien que je creux que l'on s'adressait à moi, je reviens dans ce monde calme et paisible. Cachée dans mon velouté blanc si loin de la réalité. Étais-je entrain de m'enfoncer dans mon nom vouloir d'ouvrir les yeux? Certainement et même, sans aucun doute.

Une autre voie arriva plus calme plus sur et surtout... très désagréable. Trop autoritaire, c'était insupportable, j'avais envie de hurler de me laisser là. Que je n'avais que faire d'eux, mais l'odeur du sang me revient, que c'était-il passé? Des gémissements s'approchèrent doucement. Le gout du fer arriva dans ma bouche, c'était mauvais signe, je devais ouvrir les yeux, je le devais, mais je n'y arrivais pas.

Premièrement, la voix d'un type m'étant assez familier parvint jusqu'à mes oreilles. Il s'agissait de Mulder qui semblait décidément me prendre en filature! Ce n'était pas parce-que j'attirais les bagarres que j'étais forcément dangereux! La preuve, ces ordures étaient toujours vivantes non? Alors je voyais vraiment pas pourquoi il m'interpellait. Il m'en a demandé les raisons tout en me demandant aussi pourquoi je frappai cette fille ce à quoi je répondis:

<< Bah, vu qu'elle était évanouie, je me disais que quelques baffes devraient la réveiller quoi... Et ces types cherchaient à la violer alors, il y en a eu auxquels j'ai un peu.. disons ... tiré les oreilles. Quand à l'autre qui n'aura plus de descendance, il fallait bien le guérir de sa pulsion donc je lui ai retiré toute envie de viol. Je te rassure, c'était surtout pour la protéger. J'allais pas les laisser la violer quand même? Si? >>

Je remarquai que ses yeux ou du moins ses paupières avaient bougés. C'était bon signe, elle allait peut-être se réveiller! Je relevai la tête et vis, pas loin, mëw, mon colloc qui semblait nous observer presque discrètement.

<< Hey Mëw! Viens ici plutôt que de nous regarder! >>

Lui lançai-je amicalement.

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HISTOIRE

...Entrer dans mes souvenirs...

Mes cheveux s'hérissèrent en entendant la vois de mon compagnon de chambre me crier de venir. * Pff.... moi qui étais venue pour réfléchir.... je vais me retrouvais dans les embrouille a tout les coup. Enfin... qu'es que j'ais a perdre. * Je ronchonna puis me décida a aller les rejoindre. Evidemment, mon garde les avais aussi rejoins. Les mains dans les poches et mon aire blazer habituel, je me retrouva devant Alexander. Je le regarda, regarda Carrick puis la femme au sol pour revenir sur Alexander. << Je sens les emmerde a plein nez avec c'te fille... Pourquoi vous chercher a se point a la réveille? Si elle est dans cette état c'est qu'elle la voulu. >> Je m'avança alors vers Carrick car c'est lui qui la tenais désormais et la regarda, mis mon pied nu sur sa figure et lui tourna la tête pour voir sont visage. D'une pars par flemme de me baissé et d'une autre car je n'avais pas envie de me salir avec son les liquide quelle avais précédemment régurgiter et qui continuer légèrement s'écouler. Je souffla et me retourna vers les deux autre en gardant invariablement mon aire blasé.

Tous ensemble. Je le sentais faiblement mais un truc existait entre nous trois. Carrick, Alexander et Mëw. Un lien, venus d'un autre monde. Peut être ma dimension de départ. Je devais creuser ça. Peut être que nous avons un lien plus puissant. Alex m'avais donner une bonne raison de pas le coffrer. Encore. Je repoussait nerveusement le pied de Mëw. Je l'avais sentis. Elle était lié à mes pouvoir. Je maitrisait l'énergie sombre, opposée a tout ce que l'on connait mais sous l'influence de l'espace. J'avais une supérieure. Ne surtout pas en informer les autres. Ses yeux bougeait sous ses paupières. Je mis ma main dans la sienne et donnait une toute petite poussée d'énergie sombre. Réveiller cette fille d'abord, aviser ensuite. Les deux couillons ne devait pas savoir qui ils avait en face, le contraire m'étonnerais. Aucune de mes capacité n'allait aider à par peut être... Mais oui ! Je créait une sphère de silence (vibration de l'énergie sombre pour créer une onde opposée a celle du reste de la salle) autour de nous. Déjà ça. Fallais voir si mon aide l'aidais à se relever. Ha et nota bene : Je devrais prendre un ton moins impérieux. Prenants donc une voix plus douce je m'adressais donc à la jeune fille :

Le calme, le silence, la lumière et l’apaisement, cet endroit créé de toute pièce par mon imagination me protégeait de ceux qui m'entouraient ou plutôt de moi même. Bien que je sentais qu'il devenait urgent pour mon être charnel que j'ouvre les yeux. Toute fois le danger qui m'avait guetté n'était plus et je ne pouvais l'exprimer, mais je le sentais à peine.

Mon visage me fit mal, pas fort je ressentais encore ces marches dans mon dos et sur ma joue cette fois. Devais-je m’inquiéter? Un peu, peut-être plus que ce que je le pensais, s'était surement mon imagination qui me jouait un tour, toute foi comme ce n'était pas la première foi cela m'inquiétait. D'habitude on me laissait tranquille quand j'étais couchée ou assise. Ce fut pourtant différent et ceux en tout point. Mon rêve n'était pas calme ni aussi paisible que les autres foi et surtout, il y avait cette moi qui m'effrayait terriblement.

Le temps que je reconnaisse cette voie qui était étrangement si familière, j'ouvris les yeux et attrapa le cou de cet homme. Il n'avait aucun nom pour moi, juste ces mots qui avait fait bondir mon coeur et sortir hors de mon état de somnolence. Je devais savoir, était-ce lui? Il n'en avait pas l'odeur et encore moins l'énergie, toute fois si c'était lui je devais en être sur et ne pas le laisser partir.

Quand j'ouvris les yeux, j'attrapa son autre épaule pour le plaquer contre les marches avant de me mettre sur lui. Sans attendre je fis disparaître cet étrange dôme noir en l'archivant. Sa description se grava en trois lignes sur mon rouleau de runes. Et une foi la lumière parfaitement rétablie j'approcha mon visage du sien pour l'observer attentivement. La conclusion ne se fit pas traîner et cela me frustra alors que je me relevais pour regarder les deux autres idiots. Celui qui m'avait giflé était plutôt pitoyable, l'autre qui avait osé poser son pied sur mon visage était un gringalet répugnant.

" Que c'est-il passé?"

Ma voie se fit aussi tranchante que mon humeur et pour m'assurer que l'autre monsieur super flic ne bouge, je posa mon pied sur son torse en faisant attention de ne pas lui faire mal avec mon talon. Et comme ils semblaient ne pas comprendre le magnifique anglais que je venais d'articuler. Je serra les dents avant de désarchivé en touchant du bout des doigts mon rouleau pour faire apparaître un bâton en bois de deux mètres. Arme de fortune qui je gardais toujours à porté de mains, bien que je ne sache pas me battre à proprement parlé.

"Que c'est-il passé?"dis-je en japonnais avec un accents horrible venu tout droit de Suisse.

Il ne fallait pas sous estimer l'importance de mes origines pour ce corps. Les défauts tel que les tiques et l'accent sont assez dure à faire partir surtout pour un si jeune corps que le mien. Toute foi j'avais bon espoir de me faire comprendre cette foi si.

La miss avait un petit caractère bien à elle. Elle s'était relevé, avait plaqué Mülder sur le sol et annulé son champ d'énergie sombre sans difficulté. Elle avait posé son pied sur son torse pour l'empêcher de se relever. J'avais remarqué cet étrange artefact en forme de rouleau qu'elle avait sorti. Je m'avançais d'un pas, la regardai droit dans les yeux avant d'éclater de rire. Cette situation était pour moi à mourir de rire:

<< Dîtes-donc, vous manquez pas de cran pour une personne qui a manqué de se faire violer dans son sommeil. Sinon retirez votre pied de son torse, il se pourrait qu'il aime ça, enfin moi, je ne connais pas ses goûts ou fantasmes mais je ne fais qu'énoncer une possibilité. Sinon je me présente, Alexander Kraine pour vous servir. Voici Mëw, un jeune homme plein de surprises...kof!kof! et sous votre pied l'agent Mulder. Désolé pour les gifles sinon, je ne sais pas vraiment à quelle intensité doit être une gifle pour réveiller quelqu'un évanoui. >>

Je m'écartai de quelques mètres. Je me demandais quel était cet artefact et quels pouvoirs il pouvait renfermer mais aussi, dans le cas où on nous aurions à nous affronter, quel étaient les pouvoirs de cette demoiselle au semblant si hostile.

Mëw Experience N°8

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HISTOIRE

...Entrer dans mes souvenirs...

La bouffait de silence a la quelle on avais u droit c'étais arrêté net et n'avais pas étais bien longue. Le bruit des cris, de la musique et de tout le reste nous entourer a nouveau. étrangement, personne ne sembler avoir remarqué le grand dôme qui étais apparue et qui venais de disparaître. En même temps il étais vrais que la plus par des personne étais ivre et je penser qu'a f'aire n'importe quoi.   Je fit donc mine de ne pas avoir entendu sa question a cause du vacarme ambiant. * Cette fille exaspérée déjà en étant inconsciente mais la, consciente... j'ais juste envie de lui mettre deux claques! ..... Mais bon en même temps je suis pas mécontent que carrick se soit violemment pris les escalier dans la colonne. * Je la regarda de bas en haut puis m'adressa a Alexander qui se trouvais alors juste a coter de moi avant de rigoler: << Non, se n'ais pas directement le fait qu'elle lui est posé le pied sur le torse qui va lui plaire... Non, Je pence plutôt que c'est son angle de vu. Il est parfait pour le pervers qu'il est! >> Puis je déniât enfin m'adressé a la seul fille de notre petit groupe: << Non franchement n'écoute pas Alexander, reste comme sa tu fait déjà deux heureux! et n’hésite pas a appuyer un peut plus... Juste pour le fun! >>

Alors celle la... Il vas prendre cher le Mëw. Chaton ou pas il vas prendre. Notre chère inconsciente parlait un excellent anglais ainsi qu'un japonais très... Suisse. Elle devait du pays de l'horlogerie. Et donc parler français. C'est tout naturellement dans cette langue que je lui dit alors :

"Je suis Carrick Mulder de la DGSE. Vous êtes passer a deux doigts de vous faire violer et mon rustre d'ami à fait bouffer leurs couilles a vos agresseur. Sinon je sais que vous manipuler d'une certaine manière la matière. Je manipule l'énergie sombre. D'ailleurs, comment avais vous fait disparaitre mon dôme de silence ?

Je remerciait Alexander pour son aide et mis en place un deuxième dôme de silence, pour ne plus être assourdis par la musique. Je ne bougeait pas de ma position pour bien montrer à l'inconnue que je ne lui voulais aucun mal. Je sentais l'escalier commencer à me vriller la colonne vertébrale mais je tenais bon. D'ailleurs contrairement à ce que disait le neko, je n'avais aucun angle sur un quelconque sous vêtement

A la demande, j'archive