« Pourquoi !? Père expliquez moi ? Que... que faites-vous !? Arrêtez ! Non… non … NON ! »

Dans un gémissement étouffer Ludmila se redressa. Haletante et noyer de sueur, la jeune fille c’était réveillait d’un mauvais rêve, une nouvelle fois. Depuis son arriver dans l’établissement ses mauvais rêves c’étaient fait plus fréquent et toujours aussi réaliste, au grand désespoir de la jeune princesse qui, dans un souci d’attention, se retourna vers Garance. La jeune femme semblait dormir à point fermer et ne pas avoir entendu notre protagoniste dans ses gémissements nocturnes. Au moins cela rassura un instant Ludmila qui pencha la tête en avant.

Sa poitrine encore empreinte des tourments de la nuit, se gonfler et dégonfler aussi sec, laisser apparaitre le rythme cardiaque de la jeune fille effrayer. Un mèche de ses cheveux s’était installer devant ses yeux, se qui de nature, aurait exaspérer la jeune femme. Cependant, cette fois, Ludmila resta stoïque quelques minutes afin de reprendre son souffle. Chose faite, elle plongea son visage dans sa couette et la serra fortement contre elle, tel un doudou pour se rassurer. Elle détestait ses rêves ou ses souvenirs qui, la plupart du temps, étaient incompréhensible. Mais là c’était différent… Il semblait relater son passé, souvenir enfouie en elle depuis son réveil au manoir.

Tournant alors la tête vers l’extérieur, elle prit compte du temps qu’il était. Effectivement il était tôt encore, mais pour ne pas déplaire à la rêveuse qui, dans un mouvement précis du bassin, allongea ses jambes pour saisir de quoi mettre dans ses pieds nus et se diriger vers la salle de bain. Visage posté devant le miroir, elle resta blâme, comme dépitée. Elle se savait être seule et il était donc inutile cette fois, d’afficher un quelconque visage sourire ou visage accueillant. Ludmila était seule avec elle-même. Seule avec celle qu’elle était et qu’elle semblait protéger de tous. A cet instant précis elle se rappela tous ce qui avaient était dit précédemment lors de son cour de maitrise. Ils avaient osé tenir des propos si blessent qu’elle se mit à les maudire intérieurement. Pourquoi devrait-elle leurs offrir son plus beau sourire alors qu’ils la luncheraient à la première ouverture ?  Enfin elle s’en retourna vers ses vêtements et s’habilla. Il était hors de question qu’elle reste là à refaire le monde, alors que de toutes manières, il était à présent impossible pour elle de reprendre sa nuit.


Dit-elle en regardant sa collègue de chambre endormie. Leurs premier rapports avaient étaient houleux mais au final, elles avaient gagné quelque chose de plus profond que de l’amitié, du respect. Enfin Ludmila sortie et se mit en route vers le toit. Elle savait que c’était un endroit ou elle pourrait être seule et où personne ne serait là pour lui soumettre un sourire fortement déplaisant.

Le silence ambiant laisser comprendre que la nuit était encore sereine pour certains, mais pas pour tous… Pas après pas elle progressa lentement dans les couloirs. Il était préférable de ne réveiller personne afin de s’éviter une présence. Sourire malsain aux lèvres elle ferma les yeux. La jeune fille se plongea dans ses pensées. Songeant à chaque moment passé avant d’arriver ici, elle se demanda pourquoi elle était venue au final. Puis repensant au soi-disant duc implanté sur les ruines de son ancienne demeure, elle comprit qu’est ce qui l’avait énervé à la motivé autant. Cet homme semblait malsain et étrangement intéresser. Il n’avait pas prit cinq minutes pour l’orienté ici… mais pourquoi ?

Enfin elle se retrouva devant la porte. Sensiblement énervé elle poussa la porte avec difficulté. Là elle scruta les alentours et tomba nez-à-nez avec un jeune homme. Regard ténébreux et teint clair, Ludmila s’observa un instant. Sans s’en rendre compte elle était entrain de le déshabiller du regard. Sa tenue faisait de lui quelqu’un d’assez mystérieux, ce qui ne déplaisait pas à la jeune femme qui détourna quand même le regard. Elle ne voulait pas être imposée et s’installa quelques mètres plus loin, alors adosser contre la rambarde de sécurité. Bras croisés, elle baissa les yeux vers le sol afin d’être immobile  quelques instants et laisser passer un moment. Là, elle releva les yeux et regarda en direction du village non-loin de là.

Drôle de spectacle pour elle qui était habitué aux grands manoirs excentrés du reste des villes, ou autres bâtiments sans âmes, entouré de soldats de la garde. Le visage toujours aussi défait, elle frissonna et mit la capuche de son  pull, bras de nouveaux serrer l’un sur l’autre. Elle remonta une jambe et replaça l’une de ses mèches rebelle.  Au final, la nuit n’était pas si mal que ça…

Le visage plonger dans le ciel lointain, la jeune femme rêvasser. Comme prise d’une mélancolie passagère, elle ferma les yeux pour mieux se laisser porter par l’effluve glacial qu’offrait la brise d’automne.  C’était agréable, même après une nuit mouvementée comme celle-ci. Enfin Ludmila se retourna. Appuyer sur la rambarde, elle fixa les cimes des arbres en contrebas. Comme elle aurait, à cet instant, voulue pouvoir voler et effleurer les feuilles perchées aux plus hauts des arbres, voyager et toucher du bout des doigts l’eau des océans, de pouvoir partir telle une flèche vers des continents lointains ou personnes se saurait qui elle était… mais serrant les mains autour de la barre de sécurité, la jeune fille grimaça. Personne ici ne la connaissez déjà et il était stupide d’espérer partir alors qu’elle avait encore tant à faire. Mais personne n’aurait pu lui reprocher de rêvasser quelques instants.


La jeune fille sourit quelques instants. Quelle idée saugrenue elle avait eut là. Il était et aurait était impensable pour elle de, ne serait-ce que de suggérer, des activités autres que celle lui ayant étaient désignées par sa tutrice. Tout ce qu’elle faisait, toutes ses paroles, tenues ou encore ses pensées, devaient être dignes d’une dame. Quel monde tout de même… Jamais la jeune fille qu’elle était n’aurait pensée redevenir celle qu’elle avait était jadis. Elle qui jeune se considérer aux cotés de son père, comme étant la plus grande conquérante de Prusse et marmonnant à tout va qu’elle écraserait les tensions des pays alentours. Oui, c’était une bonne période, bordée d’insouciances et de désirs, de rêves encore brulants… et de vérités encore inconnues. Faisant passer sa main sur son visage, la princesse reprit ses esprits. Elle avait divagué sans même s’en rendre compte et c’était bizarre pour elle. Maitrise avant toutes choses !

Enfin un bruit étrange mit fin aux songes de la jeune princesse. Un bruit de cristaux s’entre-frottant semblé venir de derrière elle. Avec douceur, la jeune princesse se retourna alors et fit face à une étrange créature. Cela semblait être une sorte de lézard volant… cependant sa carapace ainsi que son aura semblaient émettre des flocons de neiges, telle une pluie d’eau gelée. L’animal observer Ludmila de ses grands yeux rougeâtres. Silencieux dans la pénombre ambiante, il n’avait émit que le bruit de ses ailes cristallines flottant dans le vent. La princesse étonnée, ce mit à la hauteur du petit animal qui restait toujours aussi silencieux. Plongeant son regard dans le sien, elle craquât littéralement pour la douceur qui émaner de lui et tenta une approche. Avec délicatesse elle fit passer ses doigts tout le long de son échine afin de le mesurer. Enfin, et toujours délicatement, elle le saisie avec beaucoup de précautions pour le placer en boule dans ses bras. « Que devait-elle faire ? » Aurait était la question propice, mais la jeune femme resta immobile, la tête plongeait sur son nouvelle invité.

« Que fais-tu ici étrange créature ? »

C’est alors qu’elle saisit sa provenance. D’un seul trait elle releva la tête pour faire face au jeune homme de tout à l’heure. Il semblait la fixer, ou plus exactement « le » fixer. C’est alors qu’elle s’interrogea et s’approcha d’un pas calme pour ne pas effrayer l’animal. Enfin arrivait en face de l’homme elle redressa la tête et retira sa capuche pour y dévoilé son visage et laisser ses cheveux à l’air libre.

« Pardonnez moi… vous appartient-il ? »

La princesse sentie alors son cœur s’arrêter lorsque son regard croisa celui de l’homme. Sa beauté semblait exalté ses sens…

Elle resta quelques instants devant le jeune homme sans dire un mot. D’un regard rapide elle l’observa de haut en bas, s’interrogeant sur ce qu’il faisait là et si elle n’allait pas le déranger. C’est alors qu’il se retourna avec dextérité et la fixa d’un air glacial. Cependant Ludmila continua de l’observer sans dire un mot. Le charisme qui émané de lui semblait retirer toutes résolutions à la jeune princesse qui, sans le savoir, venait de tomber amoureuse pour la première fois. C’est alors qu’il baissa les yeux vers l’animale blotti dans ses bras, elle remarqua chez lui une certaine gêne. Passant sa main dans sa nuque en signe de perplexité, il dit d’une voix sombre mais qui rendit la jeune femme nerveuse.

« Dire qu'il m'appartient... c'est peut être pas le terme approprié... je l'ai créé mais celui ci est libre comme l'air, même si il obéit à un ordre quand je le lui donne. »

Ludmila fut surprise lorsqu’elle l’entendit parler. Elle avait depuis le début, déposée ses yeux sur son physique qui, sachons le, ne la laisser pas de marbre. Mais c’est avec plaisir qu’elle l’écouta silencieusement. Comme une petite fille devant son premier tuteur, elle bues chacune de ses paroles comme des psaumes angéliques. Cependant, la jeune princesse s’étonna le plus sur sa manière de l’accosté. Il était si calme, si serein… Aucuns de ses paroles reflétaient des compliments sans réel fonds et c’est avec une certaine classe qu’il resta neutre dans sa réponse. La jeune fille était, elle, trop habituer aux phrases toutes construites et aux formules de politesses à n’en plus finir, mais là, c’était différent. Ses bras se serrèrent légèrement lorsqu’elle comprit que, pour la première fois de sa vie, elle pourrait tenir une discutions sans réfléchir de son but, de l’importance de ses propos, ou encore des idées qu’elle pourrait transmettre. Ludmila trouva cela exaltant.

C’est alors que le jeune homme se tut. D’un simple claquement de doigts, Ludmila vue le dragon se redressait légèrement et s’extirpait de ses bras avec beaucoup de douceur. Elle venait de comprendre, il lui appartenait vraiment. L’animale battu des ailes et alla se porté sur son épaule pour enfin s’y nicher confortablement. Part de petits coups de gueule il faisait glisser sa tête le long de sa joue en signe de soumission… ou plutôt afin d’afficher une certaines douceur pour son maitre.

« Si il t’as dérangé... j'en suis désolé, il a été un peu curieux en voyant une belle jeune femme toute seule dans son coin »

La jeune femme fixa le jeune homme de nouveau. La douceur qu’elle avait vue dans les yeux de cet animal était aussi présente dans les siens. Mais c’est lorsqu’il eut finit de parler qu’elle se sentit comme flottée au dessus du sol. Il lui avait fait un compliment et cela plu énormément à la princesse. Elle se mit à le fixer plus intensément. Comme porté par une brise légère et douce, la jeune princesse semblait se plonger en lui. Il était beau. Elle en était amoureuse… même si elle ne le savait pas encore.

« Pard… *léger soupire* …Je suis heureuse qu’il tes rejoint de nouveau alors. »

Quelle sensation étrange de nouveau. Elle n’avait ajoutée aucunes formules de politesses ou de termes pompeux pour afficher un certain rang. Juste quelques mots sortis directement de son âme. Certes encore un peu faiblards mais c’était rafraichissant après tout. C’est alors qu’elle posta ses yeux sur ses manches. L’animale avait, avant de partir, laisser des marques blanchâtres, sur son pull. La glace qui ornée son dos et ses écailles avaient était si fraiche qu’elle en était allé jusqu’à congelé le pull de la jeune fille qui, amusée, se mit à rire. Mettent sa main devant sa bouche afin d’essayer d’étouffer le bruit, elle ne réussie pas réellement se qu’elle souhaitée. C’était amusant après tout. Postant ses bras devant elle, Ludmila sourit à l’homme.

« Je crois qu’il ma laissait un souvenir. Je ne m’en plain pas cependant, rassure toi. Cela me flatte quelque plutôt, mes bras sembles avoir étaient assez confortables pour lui. »

Affichant son plus beau sourire elle pencha la tête sur le coté et fit un léger clin d’œil au dragon. Il avait été étrange de rencontrer un petit animal en cette mâtinée d’automne, mais la rencontre qui suivit était elle, beaucoup plus importante pour la jeune femme.

« Bien… désolée de t’avoir déranger. Je te laisse tranquille. Passe une bonne nuit ! *se tournant vers le dragon* Et toi écoute ton maitre maintenant, petit coquin ! »

Dit-elle en affichant une petite moue amusée. Pas après pas, Ludmila recula calmement afin de laisser de nouveau le jeune homme seul. Elle avait déjà largement abusée de son temps libre et, bien que sa présence n’était pas désagréable, elle ne voulait pas s’imposée. D’un pas agile elle fit volte-face et remit sa capuche. Bras posté le long de sa poitrine elle se mit à fixer le ciel et émettre un sourire nié. Heureuse comme au jour de noël, la jeune fille s’amusa de la rencontre qu’elle venait de faire. Qui était-il ? Quel âge avait-il ? Quel était son nom ? …Son nom ! Comme prise d’un spasme passager, elle se retourna alors et tira légèrement sa capuche en arrière. Ludmila fixa l’homme de nouveau et lui sourit légèrement.

« …Au faite ! Moi c’est …Ludmila Brownrose… mais appel moi comme tu veux. »

Et sans demander de rançon elle s’en retourna vers sa précédente position. Prenant bien soin de replacer ses cheveux dans le fond de la capuche, elle sourit a l’immensité placer devant-elle. C’est alors qu’une brise plus violente vint la surprendre. Comme gelée de l’intérieur, un frisson parcouru son dos de haut en bas et elle eut come réflexe de serrer sa poitrine très fort afin de se réchauffer.

Son corps gelé la faisait frissonnée. A trop rêvasser elle oublier qu’il était encore très tôt et que l’obscurité encore apparente pouvait être traitre. Elle fit passer ses bras le long de son corps de façon répéter voulant ainsi, créer de la chaleur et ainsi reprendre le dessus sur son corps. Fixant devant-elle, Ludmila perdit alors son sourire. Elle se rappela ce pourquoi elle était venue ici. Ses rêves… Ses souvenirs qui ne semblaient pas en êtres. Mais pourquoi ressentait-elle ça ? Tout prouvé que ce n’était pas de simples rêves. Mais peut-être qu’elle devrait arrêtée de s’inquiéter pour cela et que la réponse s’offrirait à elle lorsqu’elle ne s’y attendrait pas. Qui sait ? De toutes manières elle n’avait plus la tête à ça, la rencontre de cette soirée l’avait fait totalement changer, a croire qu’elle était devenue lunatique.

La jeune princesse se retourna alors et a son grande étonnement elle ne fit plus personne. Le jeune homme était alors parti sans dire un mot. La jeune fille déçue se retourna alors et s’appuya sur la rambarde avec lassitude. L’homme qu’elle avait appréciée c’était retirer sans lui dire au revoir. Avait-elle était trop intrusive ? Elle ne pouvait pas le savoir à son grand malheur et cela la chagrina. Rêvant de le revoir à présent, elle se remémora ses quelques minutes passée en sa compagnie. Il était droit, froid et charmant. Il semblait galant et sincère. Il semblait l’apprécier sans même la connaitre. Les hommes comme lui étaient décidément une denrée rare et elle l’avait laissé filet a son insu. Mais à mieux y réfléchir qu’aurait pu telle faire ? Insisté et se voir être embarrassante voir déplacée ? C’était hors de question.

« Il était charmant en tout cas… »

C’est alors qu’un dragon géant apparu devant-elle. Comme surgissant des profondeurs en contrebas il avait surgis devant la jeune princesse qui fut apeurée. La lumière de la lune semblait glissée sur son corps et enjolivait sa carrure. D’un léger rugissement il annonça sa présence et resta à altitude constante, comme pour se mettre à son niveau. C’est alors que Ludmila sembla reconnaitre l’homme de tout à l’heure.

« Enchanté Ludmila... Moi c'est Fuyuko, Fuyuko Yukishiro... »

C’était lui, le jeune homme de tout à l’heure ! Ludmila se remit d’aplomb et lui sourit. Il était magnifique sur sa monture de glace. Son air sûr, lui donner beaucoup de charisme. La jeune fille alors ébahie devant lui scrutée chaque forme de l’animal. Quelle chance avait-il ! Pouvoir voler ainsi, aussi aisément. Mais, était-ce le jeune dragon de tout à l’heure ? C’était peu probable. Alors il pouvait créer ainsi rapidement de telle créature… De toutes manières ce n’était pas la première chose qui trotté dans la tête de la jeune fille. A dire vrai la princesse se réjouissez de le voir de nouveau là. Il n’était pas parti après tout !


C’est alors qu’il s’approcha d’elle et lui sourit, lui tendant la main.

« Dis-moi... As-tu déjà volé ? »

Pourquoi demandait-il cela ? Voulait-il qu’elle monte et le rejoigne ? La jeune fille resta un instant silencieuse et le fixa de nouveau. Répondant de façon négative elle se demanda si sa réponse pouvait le vexer, mais elle ne voulait pas non plus lui mentir. C’est alors qu’elle recula de quelques mètres et se mit à courir vers lui. Bondissant vers lui elle saisit sa main fortement pour se hissée. Cependant, craignant pour sa sureté elle avait prit beaucoup trop de force dans sa course et perdit l’équilibre aussitôt arriver contre lui. Au contact de Fuyuko, Ludmila tomba en avant, emportant le jeune homme avec elle. Sa capuche se retira alors et ses cheveux alors portées au vent retranscrire un arc de cercle, soutenues par les rayons de la lune encore présente.

Non ! Elle ne devait pas le blesser. Quelle gourde elle avait était. Mais tut n’était pas perdu. Alors contre lui elle se colla à lui et utilisa son poids comme bascule pour se déplacer à sa place, espérant ainsi lui éviter le choc du contact avec le dos de l’animale. Chose qui se réalisa, laissant la jeune femme coucher sous Fuyuko. Ses cheveux alors éparpillés tout autour d’elle comme un soleil semblait expliquer que le choc n’avait pas était trop difficile. Cependant Ludmila se mit à changer de couleur. Alors de nature blanche, elle vue sa peau rougir comme pareil. Pour être plus précis, la jeune princesse venait de se rendre compte que, dans sa bonne charité d’âme, elle avait négligé une chose… la position finale. Tel un petit chiot soumis elle était là, à quelques centimètres de lui, sentant son poids sur elle et ses cuisses le serrer. Que devait-elle faire, vite elle se devait de réagir. Mais c’était impossible. Elle avait portée ses yeux dans ceux de Fuyuko, et, c’est maladroite comme elle était qu’elle tenta de s’excuser.

« Pardonne-moi… Je… Je crois avoir glissé… Est-ce que sa va ? »

Ses yeux semblaient portés en leurs centres une chaleur plutôt improbable. Il avait beau être une personne des glaces, c’était une personne débordante de bonté et de beauté. Ses mèches blanchâtres lui donnait un air faussement rebelle tendis que ses manières désigner de nombreuses bonnes manières refoulait. Qui était-il pour exercer une telle emprise sur elle… C’était un prince des glaces… oui, un prince.