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Psychology

« Tous me sont redevables, tout me reviens de droit ! »

Née dans un monde bercé par le mensonge et la traitrise, Ludmila naquit et grandit à l'écart de toutes autres choses que le cercle très fermé dans lequel elle avait été placé a sa naissance. Elle due apprendre a détesté et ordonné. A supporté et négligé. Convoité et possédé tous ce qui lui était désigné comme « inférieur » dans le monde. Monde qu'elle ne verra qu'à travers le mur qu'ont l'aideras à construire pour se protéger des attaques extérieurs qui se feront de plus en plus fréquentes lors de son entrer dans l'adolescence. Aujourd'hui persuader que le monde même ne tourne plus rond, elle s'est promise de le refondre à ses idéaux et d'en faire un monde ouvert et saint. Un monde pour les monstres ! Seule certaines petites traces de compassions se font sentir chez elle à certains moment, mais beaucoup ce retiennent une quelque approche, sachent trop bien que la manipulation est l'un de ses passe-temps favoris. Justifier ou incomprise ? Trop de questions se soumettront à ceux qui s'interrogeraient, elle la première. Tout ce qu'il faut savoir chez elle, c'est que l'habit ne fait pas le moine et qu'un sourire cache souvent bien des pleures.

Appearance

Prédestiné depuis sa naissance à succéder a sa mère et être alors l'épouse d'un riche et puissant souverain, Ludmila due apprendre à se démarquer et à représenter l'élite dont elle faisait partie. Belle, distinguée, soignée et gracieuse devait depuis lors être sa doctrine physique. Elle ne pouvait pas se permettre d'être délaissée, mal perçue ou négliger ne serait-ce pour un deutsche mark. C'était une élite, qui bien qu'elle ne la comprenait pas totalement, se devait d'être respectée. Tenues sur mesures et prêt du corps, longues robes de soirée a dos dénudé ou encore costumes de soirée apparat regorgé ses armoires qui n'en finissaient plus de grossir. Tout était prétexte dans son monde, à paraitre sur son trente-et-un et afficher son pouvoir. Cependant, la jeune demoiselle se lassa avec le temps. Il lui sera donné alors, a quelques rares moments, l'occasion de mettre de côtés toutes ses préceptes et d'être « à l'aise » dans sa tenue qui sera alors lambda pour elle. Pour finir, ses longs cheveux de velours lui on valu une certaine convoitise. Convoitise qu'elle ne soulignera en aucun moment, car, pour elle, ses cheveux et ses yeux sont et seront avant tout, le seul présent que sa mère put lui laisser avant de disparaitre.

Storyline

Manoir de la famille Brownrose - Ville de Königsberg - Année de grâce 1527


Tout semblait présager une journée idéale ce matin-là. Le chef de famille alors installer dans son large fauteuil de cuir, scruter les flammes dansantes dans la cheminée. Par de légers pincements des lèvres il aspirait au travers de sa large pipe, un air médusait au visage. C'est alors qu'un bruit sec et répété ce fit entendre derrière lui.

~Cloc, cloc, cloc~

Quelqu'un venait d'être annoncé derrière la porte et c'est dans un grommellement caverneux, que monsieur Brownrose invita l'invité à entrer. C'est alors qu'une femme aux traits fin et allonger se présenta à lui dans une révérence lente et dégrader. L'homme sourit. La femme qu'en à elle, fit le tour du fauteuil et vint se poster devant son époux. Le regard droit, elle commença à débattre avec lui sans même conclure qu'elle avait laissé la porte ouverte lors de son entrer dans la pièce. C'est ainsi que nous remontâmes le long du couloir, porter par le bruit d'une douce mélodie de clavecin. Chose faite nous arrivâmes dans une large salle aux broderies sans fin et aux fenêtres gigantesques. Là, se tenez au centre de la salle, une jeune femme, alors en train de s'adonner a ses cours habituels. Le regard porté par ses doigts effleurant les touches avec passion, elle sourit inconsciemment, savourant l'un de ses seuls moments de tranquillité. La jeune fille savait qu'il n'était pas coutume pour une femme de s'offrir de tels plaisirs, mais rien n'y faisait, elle continuer.

C'est alors que des bruits de pas ce fîmes entendre de plus en plus proches et de plus en plus rapprochés. Là seulement, une voix semi-hurlante, ce fit entendre. Ludmila entrouvrit alors les yeux et marqua une pause, stoïque, a l'affut du moindre bruit. Le chambellan avait fait éruption dans l'arrière salle de monsieur son père, chose tout à fait unique et improbable. Tellement improbable que quelques minutes plus tard, le duc hurla a pleine gorge qu'ont lui ramène sa fille sur-le-champ !

Aussitôt dit, aussitôt fait... Ludmila n'eus pas le temps de réagir que sa tutrice bondit dans la salle et la saisie, lui somment de s'habiller et de la suivre. Son ton affolé sembla heurter la petite femme qui prit néanmoins le temps de se remettre en place. C'est alors que sa mère apparue, le visage grave et tirer. La saisissant par les mains, a genoux devant elle, elle l'invita à respecter les demandes que lui soumettrait sa servante pour les prochaines vingts-quatre heures et se redressa aussi promptement avant de disparaitre au détour d'un couloir.

Comment était-ce possible ? Comment pouvait-elle lui demander ça ? Cependant, la période n'était plus aux questions et la jeune fille fut emmenée dans une salle lui étant complètement inconnue. De longues minutes d'angoisse et de hâte lui fit perdre le rythme du temps et c'est seulement arrivé en bas, qu'elle put reprendre un instant son souffle. Là l'attendaient de nombreuses autres femmes, servantes à en croire leurs tenues. Elles ploquèrent la jeune princesse contre une large stèle de marbre, ou elle fut encastrée sceller aussitôt. Là apparu une dernière fois son père, l'arcade fraichement ouverte. Il saisit sa fille contre lui et l'embrassa longuement sur le front. C'est à cet instant précis que la jeune femme saisie l'étendu du problème et tenta de se défaire, avant de sombré en quelques secondes, dans un profond sommeil.

Ruine de la demeure Brownrose - Nouvelle Allemagne - Il y a un mois


« Mère ! Père ! Revenez... non pourquoi !? Pourquoi me faites-vous cela !? Répondez ! »

C'est un large et long picotement qui fut l'annonciateur du réveil de Ludmila. Elle ne prit pas moins de trente minutes pour faire de nouveau surface. Chose faites elle entrouvrit les yeux avec difficulté. De la poussière avait sensiblement comblait ses narines et ses lobes et c'est avec peine qu'elle réussie à s'en défaire. Chose faite, le silence la rendit anxieuse et c'est alors qu'elle se remémora les dernières paroles de ses souvenirs. Par un excès de rage et de peur elle appuya sur la paroi devant-elle et bascula en avant.

~BLAAM~

C'est dans un orage faisant trembler les murs, qu'elle saisie qu'elle avait trébuché en avant. C'était impossible, ses servantes n'étaient bonnes a rien ! Elles avaient réu... Ludmila s'interrompit alors brusquement et scruta les alentours. Une vision d'horreur s'offrit alors à elle. De nombreuses servantes étaient parsemées de-ci de-là dans la salle, squelettique et encore empreintes à leurs activités d'antan.
Moment de peur, mouvement de doutes puis cri de désarroi le plus total. La jeune princesse se redressa dans un bon et remonta les marches la séparant de son manoir, à grands pas. Chose faites elle marqua une longue pause, avant de tomber au sol, immobile, genoux à terre. Le manoir avait disparu... [...]

Ruine de la demeure Brownrose - Nouvelle Allemagne - De nos jours


Les mois avaient passé sans crier gare et aussi, Ludmila ce redressa de son sommier, le visage lourd et les pensées embrumées. Sa nuit avait été comme toutes les précédentes, l'objet de rêves et souvenirs étranges, empreints de douleur, peur et désespoirs. C'est alors qu'une femme apparue dans la chambre.

« Mademoiselle est réveillée ? ... monsieur le duc vous invite à le rejoindre dans la salle principale. »

Une mou de délaissement c'était affiché sur le visage de la jeune princesse. Son présent hôte semblait pouvoir et vouloir disposer d'elle comme bon lui semblait et bien qu'il se dise être de sa digne descendance, elle ne pouvait se permettre de croire en ses inepties rocambolesques. C'est alors que sa toilette faite, elle le rejoignit dans la salle. Là, il lui tandit un parchemin, semblant être une lettre lui étant destinée.

« M'avez-vous fait demander pour me faire lire votre courrier mon chère duc ? »

Celui-ci ne répondit pas et afficha un léger sourire avant d'insister sur l'importance de la lettre. Ludmila la lu alors avec beaucoup d'attention et disparue en un instant derrière une porte...

« Si c'est ainsi... je reconquérais ce qui me reviens de droit... et ce, avec les réponses à mes questions. »

La jeune femme semblait bien décidée a comprendre ce qui c'était passer. Et elle ne pouvait comprendre une chose qu'elle n'avait pas appris. L’académie semblait alors le meilleur et le seul endroit ou elle pourrait commencer ses recherches...

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