...Pinaise...

comment repuosser l'échéance sa a été une connerie sa pique core plus je veux pasqu'elle parte

Lucy...

La journée avait si bien commencé, il faisait beau mais pas très chaud et Lina n’avait plus enfin qu’une seule chose en tête, un seul être qui occupais toutes ses pensées puisque tous les autres étaient en pleine forme et possession de leurs moyens, elle se concentrait sur Edwin essayant de discerner des autres les sentiments éprouver pour lui.

Mais voilà, le destin est un joueur cruel et rien n’échappe a son jeu sournois et horriblement douloureux. Lucy, sa chère et tendre amie, la seule à avoir forcé l’entré de son cœur et ouvert grand fenêtre et rideaux pour laisser la belle plante de la douceur s’éveiller en Lina, elle l’avait « convoqué » dans le hall. Apparemment, elle n’était pas seule à avoir été appelée puisque Tony s’y trouvait déjà et même si l’animosité entre eux n’était plus si forte, les vacheries étaient leurs façons de se dire bonjour. Oh oui une journée vraiment bien commencer, tout comme le début du cauchemar qui s’en suivit.

Lucy était arrivée et tel un ouragan dévastateur avait détruit tout ce qu’elle avait autrefois construit de ses mains balayant au passage chaque souvenir voilées des sourires passé qui ne reviendraient plus. Les mots avaient été cruellement lancer qu’il furent pour Tony ou pour Lina, la jolie demoiselle tournais les talons sans même laisser la possibilité de la retenir au vu de l’incapacité qu’avaient les deux meilleurs ennemis a réagir.

C’est sans un mot qu’ils la regardaient s’éloigné, hurlant intérieurement pour qu’elle reste incapable de lui lancer le moindre son et dévaster par la nouvelle de l’abandon pur et simple subit.

Il fallut une minute ou deux a la démone pour finir par retrouver un semblant de cohérence et frapper cette porte si cruellement refermé sur le bonheur des jours passé d’une vague de froid si puissante que dévastatrice. La porte sous la violence du coup chutait emportant les débris brisé de la glace éparpillé sur le sol et Lina se laissait effondrer sur le sol une main serré contre sa poitrine les yeux plisser, se pliant sur elle-même comme si l’étau que tenais son cœur avait bien trop serré éclatant en mille morceau cette petite chose fragile.