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Psychology

Priam est un joyeux fini. Il est positif sur tout, sérieusement, il pourrait pleurer qu'on le verrais certainement sourire quand même et son expression la plus proche de la tristesse, c'est de bouder..
Il est déprimant tant il est heureux.
Il aime la vie, il aime en profiter, il aime sortir, découvrir, parler, rencontrer...
C'est un ami loyal, malgré une franchise légèrement trop tranchante, il est l'image du garçon adorable.
Il aime taquiner les gens gentiment, ne supporte pas l'injustice et s'attache très facilement.
Il a cette réputation de bon gars, celui qui va donner un coup de main sans qu'on ne lui demande rien... Et POURTANT, on croirait que jamais il ne sortirait de sa paresse.
Le truc énervant chez lui, c'est que c'est le genre de garçon... Presque un génie, qui n'a pas tellement besoin de se bouger pour réussir. Il aime toucher à tout, construire des petits trucs, s'improviser ingénieur façon MacGyver.

Mais bien sûr, ce garçon n'a pas que des qualités... Il serait bien triste, sinon.
Priam est rancunier. TRES, rancunier. Il ne supporte pas de se retrouver face à quelqu'un qui n'apprécie pas la vie, quelqu'un qui la gâche... Ses mots peuvent être tranchants et il peut se montrer violent. C'est son impulsivité qui fait ça, car souvent, dans la passion, il passe à l'acte avant de réfléchir. Ce qui caractérise vraiment le personnage en fait c'est de vouloir vivre libre, faire ce qu'il veut, alors qu'on l'en empêche, qu'on lui donne des ordres, c'est insupportable. Et il aura ce petit côté immature qui fera que souvent, il fera tout son possible pour bien faire ce qu'on lui a interdit de faire... C'est comme ça, il a besoin de contester l’autorité.

Appearance

Priam s'est taillé au fil des ses voyages. Il a une musculature assez développé et franchement, il est plutôt sympa à regarder...
Il a toujours ce petit regard narquois et disons-le, ses yeux marron, tirant légèrement sur l'auburn l'ont aidé à séduire plus d'une demoiselle... Ses cheveux sont roux. Intensément roux. Presque rouge, en fait, mais c'est de famille, et un attrait physique qu'on lui envie beaucoup.

Il mesure environ un mètre soixante quinze et en tant que sportif, ne prend pas beaucoup de poids, et ce, malgré qu'il aime vivre. Au niveau vestimentaire, il a l'habitude de mettre les vêtements dans lesquels il se sent le mieux. Il préférera le jean ample et le t-shirt au costume. D'ailleurs, il ne porte jamais son uniforme de la même manière, au grand dam des surveillants et professeurs. Pourtant, il fait plus attention à son physique qu'il ne se plairait à le dire. En effet, c'est tout de même une arme redoutable pour le train de vie qu'il a décidé de mener.

Il ne se tient pas très bien, et c'est certain qu'à ses trente ans, il aura des problèmes de dos, ce garçon.. Les mains dans les poches, son éternel sourire sur le visage, une démarche nonchalante qui lui donne presque un air arrogant, notamment quand il ne prend aucun respect à saluer ses professeurs.

Storyline

L'histoire de Priam n'est pas très intéressante. Ou, plus exactement, Priam n'a pas d'histoire.
Si vous lui demander de parler de son passé, il vous dira soit qu'il vient d'une fratrie des 7 frère et 3 sœurs absolument adorables et vivant dans e cocon familial le plus fabuleux du monde, ou bien d'un foyer sordide avec une mère violente...

Vous l'aurez compris, Priam est un embrouilleur. Sa véritable histoire ? Franchement, elle n'est pas si intéressante que ça.
Il a toujours été plutôt solitaire. Il fait partie de la famille la plus normale qu'il soit. Une mère, un père et enfin, une petite sœur.
Allons directement à l'essentiel, Priam n'a toujours trouvé de bonheur dans sa famille que par sa petite sœur. Un petit rayon de soleil destiné à s'éteindre. En effet, l'enfant était atteinte d'une maladie sanguine qui provoquerait inévitablement sa mort dans ses jeunes années.
Les parents Sullyvan ont réagis « étrangement », dirons certains, mais en vérité, que sait-on de la douleur que provoque une mort programmée ? Ils ont tout simplement fait comme si de rien n'était, et d'une façon, afin d'éviter de trop souffrir, se sont détachés de leurs famille. Le foyer éclatait. Alors pour se remonter le moral, le frère et la sœur passaient leurs journées ensemble, quand le petite ne pouvait pas aller à l'école, Priam séchait allégrement pour la réconforter... C'était l'amour fraternel le plus pur.

Aussi, quand l'instant fatidique arriva, Priam alors âgé de quatorze ans se sentit partir. Sa petit sœur de onze ans venait de lui être arrachée. Pas forcément rebelle dans l'âge, ce fut pour Priam le moment de s'échapper. Vraiment. Littéralement.
Il s'enfuit de chez lui, espérant laisser dans ce foyer maudit toute la tristesse et la rancoeur qu'il portait pour la mort violente de sa chère sœur et l'indifférence -quoique masque d'une évidente détresse- de ses parents.

Savez-vous comment survit un adolescent dans un monde qui n'est pas prêt à l'accueillir ? He bien il ne survit pas. Il lui faut évoluer et développer son instinct. Priam se trouva en vérité un certain génie pour l'escroquerie. Il passa de villes en villes, en mentant, volant et escroquant tout ceux qu'il était possible de tromper.
Il se trouva donc à évoluer de petits jobs en petits jobs, s'inventant de nouvelles histoires, de nouvelles identités, profitant de tout ce dont il pouvait profiter. Il devint l'ami idéal de familles riches, su se mettre en couple avec la fille qu'il fallait et envoyait tout balader quand l'envie lui prenait de changer d'air.

Au début, ce n'était que l'envie de fuir l’oppression du foyer, mais à la longue, c'était devenu un besoin d'exploration, de liberté et de découverte des cultures qu'il vivait dans l'illégalité presque commune à toutes vies de marginaux.
Il n'oubliait jamais sa sœur, pourtant, son deuil était fait. Il espèrait qu'où qu'elle soit, elle était bien, et que même si elle n'était plus, il savait qu'elle avait bien vécu. Il voulait vivre bien, comme il l'entendait, pour elle.

Et quand un jour, il rentra chez lui... Enfin, « le chez lui » qu'il s'était approprié dans le squatte d'un appartement délaissé par son propriétaire, il se laissa, comme à son habitude, tomber sur le canapé recomposé avec des vieux coussins... Mais ce jour-là, tout changerait. Car il s'arrêta sur la pile de courriers qu'il prétendait collecter pour qu'on ne croit pas que l'appartement était abandonné, pour se faire passer pour le propriétaire... Et qu'il remarqua une lettre... Etrange. Dans un sens, il avait développé un certain instinct de préservation, un sixième sens avec toutes ces années passées à squatter à gauche, à droite... Et il se décida d'ouvrir cette enveloppe qui n'était pas marqué.
Celle-ci invitait le récepteur à se rendre dans un certain établissement..
Il n'y avait pas de nom, alors même si ce courrier était destiné à l'ancien propriétaire de l'appartement, techniquement, le récepteur, c'était lui ! Alors pourquoi ne pas tenter ?...
Et s'il avait su dans quoi il allait s'embarquer...

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