Un peu après l’accident a la cantine avec ma petite sœur je mettais venger des deux jeunes effronté en les bousculant un peu à une pause. Et je penser que cette histoire aller s’arrêter là … ou pas. Ses après être sortie des toilette que je les vis au bout du couloir, un léger sourire ce dessina sur mes lèvres. Je n’avais pas peur d’eux, c’était juste des premier années un peu trop surexciter et qui voulait jouer au coq. Donc je m’approcha d’eux tranquillement afin de continuer mon chemin. Une fois arrivé à leur niveau je ne dis rien…eux non plus, il me bloquait la porte et ne semblait pas vouloir me laisser passer. Honnêtement, je ne sais pas me battre mais je fais beaucoup de sport… donc deux trois frappe de ma part ne devrait pas être problématique ….

Je me retournas quand j’entendis un bruit au fond du couloir où je vus d’autre élève garçon, mais aucune idée de leurs classe je ne l’ai connaissait pas.  Je n’aimais pas trop la tournure que prenait cette scène, peut-être que je suis un peu parano mais ce qui s’approchait semblait connaitre les deux autres abrutie. Comment je le sais ? A cause de leurs signes de tête échanger.

Je me mis a tripoter mon collier celui que Sandar m’avait offert, il m’avait dit que je pouvais l’appeler quand je voulais, même si j’avais l’impression de le faire ce déplacer pour rien c’était aussi une bonne excuse pour le voire. Je voulais juste qu’il vient pour effraie un peu les élèves … parce que rappeler des renforts pour s’occuper d’une fille tout seul sa c’est vraiment lâche...Je ne savais pas comment l’utiliser alors je me mis a parler dans ma tête et j’essaie de m’être aussi mes sentiments…

*Bon…allo …allo … Sandar ? Si tu m’entends, il serait très aimable de ta part de venir me rejoindre dans le couloir menant au dortoir, merci. Et vite si tu peux, pas obliger bien sûr mais bon… Bref … Euh …  *

Je fus interrompu par un rire des garçons en face de moi, et il m’adressa aussi la parole

-Tu prie ?

Moi ? Prier ? Et bien je ne sais pas ce qu’il a fumé mais sa devait être de la bonne … Je ne prie même pas la peine de lui répondre, juste un petit sourire moqueur. Qui ce crispa quand je me rendue compte que j’étais plus ou moins encercler… Bon bien je ne suis pas parano au moins, c’est une bonne nouvelle sa.  Je laissa tomber le collier de mes mains pour venir les placer sur mes hanches.

-Bon je peux passer si vous plait ?

J’instita beaucoup sur la marque de politesse ce qui sembla beaucoup amuser les garçons. Un d’eu avança une main vers moi pour me toucher , que  j’esquiva et lui envoya mon coude dans sa face , un crac sonore ce fit entendre signifiant que j’avais du atteindre le nez. J’étais plutôt assez fier moi et je sentis l’adrénaline monter en moi … faut que j’avais déjà oublié ce dernier moi qui eux réussit a m’attraper et a me projeter contre le mur avec force.

Ma tête rebondit sur le mur et puis sol, je le sais parce que je l’ai bien sentie… par contre j’entendais juste un merveilleux bourdonnement dans mes oreilles pas de paroles rien. Ma vue allait bien enfin je crois disons que le sol ne me permettais pas vraiment d’évaluer ce paramètres, mais qu’est que ma tête me faisait mal en tout cas… Au final j’ai vraiment bien fait d’appeler Sandar, je ne pensais ne pas avoir besoin mais bon là il ne faut pas être têtue non plus ... Je me releva tout de même, ses pas ses petits *** qui allait m’embêter et réussir a me faire me coucher a la premier petite frappe…

Je marchait dans le couloir menant au réfectoire, j’étais un peut en retard, j'avais régler un de mes contrat avant de venir, car j'avais eu la chance de croiser ma cible qui devais m’éviter soigneusement, je faisait la queue, cherchant a tout hasard Amy du regard, mais je me faisait peut d'espoir, elle devais avoir déjà manger, enfin ce n'est pas grave, j'ai l'habitude de manger seul ici, Amy étant presque la seule amie que j'ai, attend mon dragon, amie uniquement? tu est sur que tu ne ressent pas plus? comme, de l'amour? je chassa cette pensée qui me torturai, non, elle ne devais surement pas partager mes sentiment, ce n’était pas possible, qui aimerai un Drow? je baissa le regard ver le sol en me rappelant une histoire un peut lointaine, enfin, qui faisait aussi partit de mon présent et qui me fit sourire, ma mère, elle aime bien un guerrier Drow, mon père, ce n'est pas toujours la joie a la maison, mais sa se sent que l'amour est partager totalement, cela me rend le sourire et me fait relever la tête, le rang avance d'une ligne, je m’apprête a faire un pas en avant quand soudainement mon cœur se serre violemment dans ma poitrine et me fait mal, comme le ferait un infarctus, je porte ma mains a mon cœur que je sait intact, c'est autre chose, la fille qui c'etait retourner pour appeler une de ses amie vin ver moi avec un air inquiet.

Hé sa va pas? tu veut aller a l'infirmerie?

Je la rassura d'un geste, je lui expliqua que mon problème n’était pas de la compétence de la médecine, je continua cependant ma phrase mentalement, Amy est en danger, elle m’appelle, un danger qui est grand vue la sensation, je me redresse et j'aborde soudainement un rictus de rage, la fille ne comprend pas, puis elle ne comprit pas plus quand un tourbillon d'ombre me fit disparaitre, je m'étais téléporter, et se aux coter d'Amy, la sirène de mon cœur, j’arrivai face a elle, au sol, visiblement a moitié sonner, je fit volte face, un cercle de gars visiblement désireux de faire sa fête a la belle au cheveux rouges, et le pire, l’impardonnable, est qu'ils avais commencer a la frapper.

Très bien, a se que je voie aucun de vous n'a le moindre sens de l'honneur, ni le moindre courage, attend, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, contre une femme, se qui du point de vue de mon père serait plus prudent oui, mais la les gars, vous êtes mal tomber, c'est pas votre jours de chance, mais je serai magnanime pour cette fois, vous dégager, et vous ne l'approcher plus jamais, et il n'y aura pas de casse.

Il n'y eu pas de réponse, mauvais signe, ils firent un pas en avant, je savais se que j'avais a faire, je prit Amy dans mes bras et nous téléporta un peut plus loin, deux mètres, afin que je puisse l’asseoir sur un banc de l’école, je l'observa, elle était effectivement sonner, elle ne semblait pas vraiment me voir, je déposa un baiser sur son front ne murmurant

Ne t'en fait pas, je suis la.

Je fit demi tour, les huit élèves fonçais sur moi, ils avais tous un couteau soit papillon soit a crant d'arret a la main, avec un sourire, je leva ma jambe gauche, remontant mon genoux a hauteur de ma poitrine, et dégaina le long poignard courbe de ma botte avec un chuintement feutrer, la lame noire d'adamentium brila dans la lumière du plafonnier, cela ne les ralentit même pas, il se jetèrent sur moi, proférant des menaces, totalement erronée sur se qui allait arriver, la mort ne serait pas surement dans le même camps

Lolth, ho déesse araignée des Drow, puissiez vous torturer leur âme durant l’éternité

Puis je me mit en mouvement, ceux d'ne face ne pouvais le savoir, qu'il fonçaient comme des abrutit sur un guerrier entrainer a la dure, par le meilleur maitre d'arme que les Drow connaissent en se temps, le premier mouvement fit reculer le leader d'un plat de main dans la poitrine avec suffisamment de force pour lui couper le souffle, je pivota d'un quart de tour a droite, le second du lâcher son couteau car une profonde entaille s'ouvrit de façon si rapide qu'il n'y crue pas sur le moment a son avant bras d'arme, le droit, demi tour rapide, blocage lame contre lame, rotation du poignet, désarmement, et estoc au ventre, ma lame plongea dans ses chairs et resortirent presque aussitôt ensanglanter, le troisième hésita une demi seconde, laissant la brèche dans sa défense suffisamment grande pour qu'un débutant de première année puisse prendra l'avantage, coup de taille, profonde entaille au ventre, il tomba a genoux en gémissant de douleur mais j'avais déjà bouger de nouveau, le quatrième et le cinquième tentèrent une attaque synchroniser, double esquive, je vrilla les épaules a droite tout ne vrillant les haches dans le même sens, ses ennemis n'avais aucun style, aucune préparation, j'avais largement le dessus, malgré le surnombre, de mouvement de mon poignard, entaille sérieuse a la joue, le second, coup d'estoc dans le bras, ma lame noire, traversa complétement le biceps et se retira avec un angle différent, j’avais fait faire une rotation du poignet dans la blessure d’un quart de tour, son bras était inutilisable, et se pour un moment.

Alors vous arrivez pas a suivre?

Je lançait cette pique en connaissance de cause, je les démoralisait, et sa marchait, le sixième tenta de me planter son couteau dans le ventre, en hurlant, quelle technique, quelle grâce, j’observai son mouvement, brouillon, mal assurer, d'un balayage de ma main non armer je frappa son poignet il lâcha le couteau papillon, j’eus alors un rire sadique quand ma lame passa entre ses cotes je ne viqsait rien de vital, juste une petite perforation du poumon, je retira ma lame et je vit dans ses yeux qu'il etait sur qu'il allait mourir, se qui élargit mon sourire sadique, il ne criait pas, quand on prend un coup de poignard, on ne crie pas, un sursaute, on a le souffle couper, pas comme dans les films, les deux dernier firent aussi une attaque syncro, et comme je voulait les démoraliser au plus au point, il plongèrent leur couteau sur moi, dans mon dos, mais je fit volte face, je connaissait la trajectoire des lames, et ma parade était parfaitement calculer, je me servit de leur pote comme bouclier, les lames traversèrent ses vêtement et sa peau pour plonger dans sa chair, les coups n’était pas mortel, mais très douloureux, j'avais fait attention a mètre les nerf sur la trajectoire des lames, ils lâchèrent leurs armes et reculèrent horrifier, il me traitèrent de monstre et s'enfuirent, abandonnant leurs camarades la.

C'est sa fuyez, vous ne valez pas mieux!

Je retira ma lame, le jeune dans mes bras se crispa plus encore et tomba au sol comme une poupée de chiffon, il était tomber dans l'inconscience, je lui mit un coup de pied dans les cotes, la ou il était blesser et j’entendis avec satisfaction deux d’entre elles se briser sous l'impact de mon pied, puis, je me retourna ver le leader qui avais vue ses amis se faire massacrer, ils était au sol, incapable de bouger, paralyser par la douleur, il me regardait avec une peur panique qui le tetanisait, je lisait dans son regard, il se demandait quel monstre j’étais et contre qui ils était tomber.

Ho mais le courageux chef de groupe, incapable de sauver ses amis au combat, incapable de se tenir déjà seul face a une femme sans défense, alors contre moi, sa sera bien plus amusant que prévu.

Il semblait a présent terroriser, il eu cependant le courage incroyable de me parler

Qu-QU-Qu-Qu'est-ce que tu est bordel?

je reprit mon sourire sadique, tout ne modifiant mon regard, un regard de tueur implacable.

Moi? ho mais je ne suis que moi, mais tu a de la chance, si tu ne tente rien de stupide, tu repartira sans rien, sans marque, sans blessure, et sans cicatrises, mais tu a le droit de savoir qui tu a affronter, quelle race, tu a eu l'odace de provoquer, regarde, et tremble!

Ma voix résonnait d'une douce promesse de mort, je retira alors mon pendentif épée, et mon apparence de Drow en armure fut révéler a ses yeux, mon sourire était passer du sadique a malsain.

Non, non, c'est pas possible, cette race est une légende, vous n'exister que dans les livres.

Il tremblait, il avais peur, très peur, et sa me faisait plaisir, je m'approcha de lui, lentement, il reculait difficilement, comme si ses muscles c'etait changer en plomb, puis soudainement il retrouva sa mobilités et s’enfuie en hurlant de terreur, abandonnant ses amis qui eu tentait de fuir aussi, je remis mon pendentif avec un air satisfait et retourna voir Amy d'un pas rapide, je m'aseya a coter d'elle, j’utilisai une nouvelle téléportation d'ombre pour nous éloigner de se massacre, dans un autre couloir désert a cette heure, je voyait dans ses yeux qu'elle avais assister a l’affrontement, avais vue la sauvagerie typique des Drow don j'avais fait preuve, et je me mit a trembler, mon cœur battait la chamade, je transpirait, une sueur froide coulait dans mon dos, je savais se que j'avais, peur rétrospective, mais pas pour moi, pour Amy, j'avais peur de se qui aurai pu arriver, ils aurai pu lui faire bien plus de mal, voir la tuer, je sera les dents, tentant de refouler sans succès mes larmes qui se mirent a couler de mes yeux, je n'arrivais pas a la regarde, je gardait le silence, le suel son qui rechapais de mes dents serrer avec force était des sanglot a demi étouffer, pas que je regrettait se que je leur avais fait bien au contraire, j'avais éprouver un plaisir pervers a les massacrer.

Je me sentie portais d’un coup, mais bizarrement je n’eus pas peur, cela devait être une personne familier ou bien j’étais trop dans l’épave pour m’apercevoir de quoi que ce soit d’autre, mais cela devait être Sandar car il me déposa sur un banc … depuis quand je suis proche d’un banc moi…Je me sentais un peu nauséeuse mais je réussi à me retenir mon repas dans mon ventre. Les mains poser de chaque côté de moi sur le banc et la tête baisser .On me parla mais je ne compris absolument rien, mais le contact étais a pesant mais il s’arrêta. J’entendit des cries … tiens j’entends maintenant, une bonne chose, mais je garda la tête baisser, j’avais peur que si je bouge un seul de mes membres j’allais rendre mon petit déjeuner.

Quand la terre décida de tourner un peu moins je leva la tête pour voir ce qui ce passer, il y avait belle et bien Sandar qui étais là, il avait tenu sa promesse, cela me réconforta et me fit sourit.
En tout cas il semblait bien s’amuser, on aurait dit qu’il s’échauffer tellement cela lui paraissez simple.

J’observer tous ses mouvement à moitié endormie mais de plus en plus lucide à chaque coup… quand il ne resta plus qu’un Sandar ce mis à lui parler, enfin l’autre semblait avoir peur et ne pas comprendre comment Sandar avait fait pour leurs exploser la tête tout en même temps. Sandar retira son pendentif comme quand il l’avait fait avec moi. Mais la réaction fut différente, moi j’en n’avais pas eu peur, mais peut-être que j’aurais dû…. le crie du dernier garçon qui s’enfuit me fit penser que j’étais surement une grand inconsciente Sandar peut très bien me tuer quand il veut…

Une fois finit il revient vers moi pour encore une fois de plus nous télèporter dans un autre couloir qui lui étais vide. Je resta quelque second sans bougeait…a croire que j’étais au ralentit en ce moment, quand soudain j’entendit un drôle de bruit provenant de Sandar , qui me fit tournais immédiatement la tête vers lui.

Il pleurait ? Mais pourquoi qu’est qui c’étais passer dans sa tête. Je posa une main délicatement sur son épaules.

-Tu … t’es fait mal ?

Je me déplaça doucement pour me mettre devant lui. Je me mis a parler doucement et un peu hésitante

- Au fait …. Merci… D’être venue…

Je ne savais pas quoi dire d’autre ou même qu’est que je devais faire ? J’étais supposé le prendre dans mes bras ? Ou faire autre chose ?

Amy tenta de me réconforter, en entendant sa voix, sa me rassura, mes larmes secèrent de couler, ma respiration se calma peut a peut, la peur refluait, je gardait la tête basse, ma respiration redevint parfaitement normale, le poignard que je tenait toujours dans ma mains serrer a fond fut netoyer du sang qui souillait la lame et retourna dans le fourreau de ma botte gauche, je releva les yeux ver Amy, tentant de sourire mais sans y arriver, elle m'avais remercier d'etre venue a son secours, je lui fit finalement un sourire et passa le dos de mes doigts sur sa joue droite avec un regard tendre.


Non ne t'en fait pas, il ne m’ont même pas éfleuré, j'ai juste eu une forte peur rétrospective, peur de ne pas arriver a temps, peur de te perdre, comme je l'ai perdue.

Je su immediatement que j’avais trop laisser mon esprit parler a ma place, je risquait de l’inquiéter pour rien, mais se qui est dit est dit, je m'attend bien sur a se qu'elle me pose la question, mais comme je me suis dit que je n'aurai pas de secret pour elle, elle peut me demander se qu'elle veut sur moi ou ma vie, je ne lui cacherai rien, que se soit ma courte periode chez les Drow, ou se qui c'est passer se jours la, j'ai toujours ma mains sur sa joue en souriant, je le percute soudainement, je la retire vivement, gêner, le sombre de ma peau virant légèrement rouge, a peine visible, mais facile a deviner, je voudrait approcher mon visage du sien, j'aimerai l'embrasser, mais je ne le fait pas, je ne sait pas se qu'elle ressent, et je ne veut pas perdre ne serai-ce que son amitié, même si jamais il ne se passe rien de plus, je ne veut pas perdre sa, sa me rassure, sa me fait me lever le matin de me dire que je vais la voir en cours.

Je n'aurai pas du laisser mon cœur parler de sa, elle m'a effectivement poser la question, mais je me suis jurer n'avoir aucun secret pour elle, je la regarde avec un sourire triste, elle a poser sa main sur mon épaule, même au travers de mon épaulière je devine le contact de sa main, je retire mon gants droit, la ou sa mains et poser sur mon épaule, et je la prend, doigt entrelacer, je respire calmement, puis je reporte mon regard sur elle, sans rougir, sans bégayer, sans larmes, mais avec une forte tristesse dans ma voix.

Cela remonte a mes 18 ans, quand j'etais dans une ecole pour humain, la bas, je n'avais pas d'amis, je n'avais pas mon apparence de Drow bien sur, mais les gents devais le sentir et me haïsait, mais d'un coter je m'en fichait, j'avais sur le moment d'autres problème interne a résoudre, et finalement on c'est croiser dans un couloirs, elle était en train de se faire embêter par d'autres jeunes, et je suis intervenu, il n'y a pas de sang qui a couler se jours la, mais elle c'est lier a moi, sa m'a surprit, on a fait plus ample connaissance, et un jours, alors que je devais lui mentir sur moi, ma famille, mon passer, elle est la première a m'avoir surprit et me pieger comme sa, elle m'a demander si elle pouvais voir mon pendentif de plus pret, et sans reflechir, je l'ai retirer pour lui mètre entre les mains, dans un couloir désert, je me suis changer devant elle, elle a sursauter, mais elle souriait, elle s'en doutait m'a elle avouer, et depuis se jours, sa a renforcer notre relation, au lieu de me rejeter, elle était devenue ma complice, la première femme que j'ai aimer, sa a durer huit mois, j'avais fait la même chose que pour toi, je lui ai offert se pendentif rouge, mais je n'ai pas eu le temps de réagir se jours la, quand elle m'a appeler, elle avais deja prit un coup de couteau, je me suis interposer, je me suis battue, je l'ai défendue une nouvelle fois, mais quand j'en ai eu fini, il était trop tard, elle a eu juste le temps de me dire que ce n’était pas de ma faute et qu'elle m'aimais avant de mourir, en fait, je n'ai pas chercher a me venger, sa n'aurai rien apporter, et elle ne l'aurai pas voulue, voila, tu sait a présent pourquoi j'ai eu si peur qu'il t'arrive quelque chose, je ne pourait me pardonner de perdre une nouvelle fois une personne que j'aime.

Toujours pas de larmes, mais cette tristesse dans ma voix, je fit un pale sourire a Amy, je lui avais clairement dit a la fin que je l'aimais, mais qu'importe, après tout elle a le droit de savoir, elle doit savoir, je sait pertinemment que j'ai bien sept chances sur dix de me faire repousser, mais ce n'est pas grave, je continuerait a la protéger tout de même, je garde sa mains dans la mienne, j'ai une larme au coin de l’œil, mais je ne la chasse pas, sa fait partit de moi, je ne peut pas changer le passer, je me peut rien y faire, alors je doit vivre avec, même si c'est douloureux, je me remémore plus souvent les bon moment passer avec elle que les mauvais, non, le mauvais, c'est elle qui m'a donner espoir en la race humaine, alors j’attends, j’attends la réponse d'Amy a sa, sans la moindre peur cette fois.

Je fus agréablement surprise en sentent sa main poser sur la sienne et nos doigts s’entrelacée doucement. Même si je voyais bien que son sourire était …triste, mais à ce moment j’étais tellement proche de lui, je me sentais vraiment bien moi … Et puis là il se remit à parler pour répondre à ma question, et c’était une réponse qui ne me plaisait pas du tout…

Il m’expliqua qu’il était tombé amoureux d’une humaine, ce que je ne pouvais ou voulais pas comprendre, si il y a une bien race que je n’aime pas ce sont les humaines. De plus il me dit que c’était son premier amoureux, mais je ne disais rien, ne le coupa même pas, j’attendis simplement en serrent de plus en plus fort ses doigt. Il était en train de comparais à une humain, et il refaisait exactement se qu’il avait fait avec elle avec moi... Je baissais alors mon regard, je ne voulais pas lui montrais, je ne voulais pas qu’il devine a quelle point je me sentais en colère. Je pouvais cacher un minimum mes sentiments, manipulais les autres mais là je sais que n’importe qui aurait vu aurait deviner mon états d'esprit...

Une fois son discours finit il me fixa et je releva la tête pour le regardait droit dans les yeux, il avait dit qu’il ne voulait pas perdre une personne qu’il aimait…moi ?  

-Je…suis désoler pour toi *pas pour l’humaine…*

La fin d’un premier amour ça fait toujours mal quand ça finit, encore plus si la personne meurt dans vos bras … mais il c’était montré honnête, voir vulnérable… et sa je ne peux pas l’ignorait .Je monta ma main sur sa joue pour la caresser doucement, mon cœur battait plus fort. Je le sentais dans ma poitrine, et ce n’est surement pas un sentiment de colère.

Es que j’étais sensé lui répondre pour le fait qu’il m’aimait… sauf que je ne pouvais pas parler, j’ai essayé pour temps, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Alors quand on ne peux pas parler autant agir et ça c'étais dans mes cordes.
Je me pencha vers lui pour venir poser mes lèvres sur les sien gardant les yeux grand ouvert et resta un petit moment dans cette position. J'aimais beaucoup la sensation de chaud et le contact de ses lèvres sur les mien mais j'écarta ma tête pour mettre fin et voire sa  réaction. Cela répondais à la question de mes sentiment envers lui, mais était-il dit au meilleur moment... je ne voulais pas qu'il croire que j'essaie de le consoler en l'embrassant...

Amy m’écouta sans me couper, avec respect, je la regarde avec un sourire triste, elle dit qu'elle est désoler pour moi, mais que puis-je faire contre sa? Absolument rien, elle pose une mains sur ma joue, je sent qu'elle veut me dire quelque chose, mais visiblement sa ne sort pas, elle veut parler sa se voie, mais aucun son ne sort de sa bouche, ses levres reste la immobiles, dans le désir de parler, et finalement, elle fait parler les geste et me prend de court au point le plus total, elle apprroche son visage du mien et colle ses levres contre les miennes, je sursaute, je ne m'y attendait pas, mais plusieurs question passe dans mon esprit.

Est-ce pour me consoler? Elle joue avec moi? elle est sincère et elle partage mes sentiments? Impossible de savoir, toujours est il que c'est notre premier baiser, je ferme alors les yeux et pose moi aussi une mais sur sa joue, je savoure se moment, puis le baiser prend fin, je rouvre les yeux pour regarder Amy, je cherche son regard, et se que je peut y lire répond a ma question, oui, elle partage mes sentiments, je la prend alors dans mes bras, lui murmurant a l'oreille.

Amy, je sait que l'on ne se connait pas depuis longtemps, mais je t'aime.0

Je me mis a frissonner en sentant son souffle sur mon oreille et écarquilla mes yeux en entendant ces mots … Oui cela fait vraiment peu de temps que on se connait … trop peu pour que je puisse te dire les même mots que toi, je poussa un mini soupire déposa ma tête sur son épaules.

-Sandar…

Je ne pourrais rien te dire plus pour maintenant … peut-être qu’un jour… je … mais pour le moment tu vas devoir attendre, si tu veux que mes mots sois sincères. Je le serra encore plus fort entre mes bras, profitant de cette étreinte. Il avait eu peur pour moi et ses ce qui l’avait mis dans cette états, je ne voulais plus le revoir pleurais … pas pour cette raison en tout cas.

Quand je pris ma décision, je m’écarta légèrement de lui afin de mettre bien en face de lui. Et le regarda droit dans mes yeux

-Je veux apprendre à ma battre je ne veux pas être fardeaux…Apprend moi, s’il te plait…

Je baissa la tête légèrement et attrapa mes mains et les serraient. J’étais inquiet de sa réponse … cela ne me ressemblait tellement pas. Peut-être un contre coup de ma blessure…

Visiblement ma déclaration l'avais troubler, elle ne pu me répondre, elle prononça mon nom comme si elle allait dire autre chose, mais les mots visiblement restèrent coincer dans sa gorge, mais ce n’était pas grave, déjà elle ne me repoussa pas, au contraire, elle me sera plus dans ses bras, elle resta la un moment, puis elle s'écarta doucement, relâchant son étreinte et me regarda dans les yeux, je sentait qu'elle allait dire quelque chose d'important, et se fut le cas, elle voulait apprendre a se battre, qu'elle ne voulait pas être un fardeau, bien que je ne pensait pas pareille chose, elle veut que je lui apprenne le combat, et comme je ne souhaite que passer du temps avec elle, je lui fit oui de la tête.

Je suis pour, bien que tu ne soit pas un fardeau loin de la, mais je veut bien, je t'apprendrai se que je sait, je t'enseignerait se que j'ai apprit mais pas de la même manière que moi j'ai apprit, dit moi quand, dit moi a quel moment, je serait prêt.

Je la regarda avec un sourire, d'une certaine façon j’espérais qu'elle me dise "maintenant" mais bon, je veut lui laisser le temps de digérer se qui viens de se passer, mais il est vrais que la situation urge un peut, qui me dit que les gars ne vont pas essayer de nouveau de lui faire du mal, mais cette fois si se sont les mêmes, cette fois je ne me retiendrais pas et les tuerais.

Je me sentis soulager en entend sa réponse et lui offrit un grand sourire

-Merci

Je me recolla bien à lui et le serra plus fort j’étais contente et j’aimais beaucoup son contact… Puis je m’écartai de nouveau pour lui parler normalement.

-Et merci encore d’adopter tes méthodes d’enseignement pour moi, je ne pense pas être aussi résistante que moi.

En disant cela je me mis à tripoter le collier ce trouvant a mon cou, qui contenait un morceau de lui … un morceau d’os.

-Quand …

Je me mis à réfléchir rapidement, faisant travaille mon pauvre petit cerveau qui me fit relancer la douleur.

-Et bien nous n’avons pas tellement de devoirs en ce moment, mais pas de suite si ça ne te gêne pas. J’aimerais en premier que ma tête récupère et savoir que je n’ai rien de grave.

Mais je ne pouvais pas me permettre d’attendre trop longtemps, je ne ressentais pas l’envie de recroiser ces garçons, il m’avait un peu pris par surprise … il fallait au moins que je travaille ca. Mais la prochaine fois je leurs éclaterais les tympans a ces gamins. Je serai les dents a cette penser … j’étais rancunier, puis me rappela que je parlais avec Sandar et remis un sourire sur mon visage.

-Je dirais …euh le prochain Week end ?

Cela me semblait raisonnable ça me donner plus ou moins une semaine pour récupérais, pour une simple bosse ça passait largement. Et au pire si j’étais trop impatient je suis sûr qu’il ne m’aurait pas refusé le fait d’avancer les séances.

-Le gymnase doit ouvert le week end sous demande au pire les jardins sont assez grand.

Amy prit le pendentif dans ses mains, me remerciant d'adapter mes méthodes pour elle, mais se sera mine de rien éprouvant, qu'elle ne se dise pas le contraire, mais son attitude me fais sourire, elle semble toujours avoir mal de son choc a la tête, mais pas de sang, ni d'une blessure ouverte ni dans les oreilles, c'est bon signe, elle devrais avoir une bosse un moment, mais sa passera, sa me rassure, elle veut récupérer un peut, se que je comprend, parfois moi aussi j'aimerais avoir le temps de récupérer, mais je ne le peut pas, elle me propose le week end prochain, dans cinq jours, me disant que le gymnase sera ouvert surement si on le demande, ou que sinon, au pire, les jardin serons assez grand.
A vrais dire je préférerai le gymnase, les tapis de sol seront utile, car je compte bien apprendre a Amy de façon moins brutale que pour moi certe, mais de façon intensive, a moitié comme moi.

Bien, sa me conviens, je serait tout a toi se week end, je laisserai de coter mon "petit travail" et me concentrerai sur toi, croie moi, tu vas en apprendre des choses.

Dit comme sa on pourait y lire un sous entendu, mais ce n'en était pas un, bien que a présent, je mourait d'envie de l'embrasser de nouveau, mais je ne savais désormais que faire.

Il me répondue assez vite

*Hein ?!*

M’apprend ~grrr~ Sandar, je serai ravie d’apprendre des choses au corps à corps avec toi, mais je pense que tes intention son plus louable que ce que je viens de penser. Mais je  ne pus m’empêcher de sourire.

-Mais avec joyeux ~Sandar

Il était l’heur de manger enfin, il devait avoir était l’heure,mais maintenant il devait être trop tard... mais mon ventre ne voulais rien recevoir pour le moment. Sur du a mon états de ...stress? Par contre je sais que quand il réclamera a manger ,j'allais devoir m’empiffrais pour le satisfaire.
Mais je me sentais un peu mal d'avoir empêcher Sandar ... de manger .... En fait je suis une personne égoïste ... mais bon ça je le savais déjà ....

-Je suis désolé, de t’avoir empêché de manger ou alors de t'avoir couper dans ton repas.

Je passa ma main dans mes cheveux, et eux un petit rire un peu forcer. Je me demandais bien si il était entrain de manger avec d’autres… mais il était venue directement, pour moi et c’était sa le plus important. Mais je n'avais pas non plus souvenir de le voire ... avec beaucoup de monde ...

Je rougis doucement en baissant la tête et continuant de penser a des chose et d'autre, restant coller a lui...
Mais une question me viens percutais l'esprit ... es que Sandar et ... avec moi maintenant ? Je veux dire ... je l'ai embrasser... et il m'a répondue favorablement donc ... on est ensemble ?

Est-ce toujours d'actualité ?

Sans réponse jusqu'au 18 Mars, je devrais alors déplacer le rp dans les archives.

N'ayant pas eu de nouvelles jusqu'à la date concernée, j'archive donc le rp.