C'était le vendredi soir. J'avais seché le dernier cours pour me rendre chez le botaniste qui m'avait vendu pour une somme plutôt basse de quoi accomplir un projet spécial poru ce week-end, à savoir quatre diffuseurs de phéromones et une drogue aphrodisaque ayant pour effet d'accroître la sensitivité et le plaisir de la victime et de doubler son effet actuel à chaque fois que celle-ci jouit. Durée de basse: 24 heures mais double en cas d'orgasme. J'allai m'amuser avec Mëw ce week-end et j'allai faire naître en elle un plaisir. Un plaisir que j'entretiendrai et ferai grandir si bien qu'elle finirait par en redemander.
Je mis en place les diffuseurs de phéromones: Un au dessus du lit de Mëw, un dans la douche, un du côté de la fenêtre et un autre dans les toilettes. C'était prêt. Je lançait leur activation en tapant le code à 4 chiffres dessus. Ils allaient désormais diffuser des phéromones en continu pendant 72 heures sauf si je les arrêtais avant en retapant ce code.
Je préparai ensuite une seringue ainsi que l'aphrodisiaque avec lequel je rempli la seringue. Je commençait à être exité sous l'effet des phéromones. Désormais il ne me restais plus qu'à attendre Mëw. Mon plan était simple: Me jeter sur elle, lui injecter la drogue et ensuite laisser le diable me tenter. C'était simple et efficace.
Je m'assis sur mon lit en guettant la porte.

Je déployai un sceau de vitesse à 99% sous elle. de cette façon je pouvais être certain qu'elle ne réussirai pas à se débattre. Je sortit la seringue et la lui plantai dans une veine lui parcourant le cou.
J'en profitait pour commencer à la déshabiller pour au final ne lui laisser que les sous-vêtements. Je sortit une corde de mon sac avant de ligoter les poignets de Mëw et de les attacher sur à un barreau de son lit. Je lui caressait le visage avant de l'embrasser.
Mes lèvres commençèrent alors à descendre vers le cou où je commençai à faire des bisous et des suçons. Je m'arrêtais le temps de me déshabiller à mon tour et de me remttrer à la tâche. J'étais allongé (sur le ventre) sur elle en train de l'embrasser et la suçonner au cou tout en tripotant ses tétons pour commencer à l'allumer.
J'avais hâte que les choses sérieuses commencent le meilleur était que là, elle allait ressentir un peu de plaisir mais le gros de la chose arriverait une fois le sceau retiré car lorsque je ralentit la vitesse de quelq'un, la vitesse de transmission ds informations au niveau sensoriel est aussi affecté donc, elle allait ressentir un gros bloc de plaisir d'un seul coup lorsque je couperai le sceau.
Je commençai à descendre. Désormais j'avais la bouche sur son téton gauch, la main droite en train de saisir son sein droit et ma main gauch était en train de dénicher un petit quelque chose entre les jambes de Mëw: Un clitoris.

Je continuais à lui lècher le téton tout en terminant d'ôter son soutien gorge que je mettais au niveau de ses poignets attachés pour éviter qu'ils ne em gènent. Après cela je retira lentement la culotte de Mëw tout en posant mes lèvres sur son sexe puis sur sa cuisse, sa jambe et pour finir son pied. Je reivint dans le sens inverse pour finir par passer ma langue en avant et en arrière sur son petit bout de chair ultra sensible tout en lui tripotant la poitrine avec mes mains. Ma tête suivit la logique des évènements et commença à laisser ma bouche aller vers ce qu'il y avait en dessous du clitoris. Cet espace réservé à un usage bien précis. J'y introduisit ma langue et commençait à la bouger dedans. En même temps, ma main droite vint pincer le clitoris de ma victime. Je pouvait sentir malgré le sceau, qu'elle tremblotait. Elle ressentait apparemment quelque chose et cela m'arrangeait. Je voulais qu'elle puisse sentir ma langue dans son vagin. JE pouvait d'ailleur sentir les parois se resserrer autour de ma langue. Aimait-elle cela à ce point?

Je relevais la tête et enlevait mon caleçon. Je me collai contre elle en lui faisant des suçons. Dans le cou bien sûr. Je remontai pour l'embrasser pendant que je frottait mes parties basses contre les siennes. Je commençait vraiment à avoir envie d'elle (en tout cas plus qu'au départ). Je la serrais dans mes bras tout en l'embrassant langoureusement avant de céder à mon envie et d'entrer en elle. Je commençais alors à faire des va et viens en elle, relevant ses cuisses pour qu'elle puisse se serrer autour de moi.Je la serrai de plus en plus fort et mes ca et viens étaient de plus en plus intenses. Je continuai de l'embrasser encore et encore avant de lui faire une léchouille sur l'oreille. Je claquai une fois des doigts et le sceau de vitesse disparut. Toutes les sensations freinées par celui-ci allaient désormais arriver en bloc en Mëw...

Tout en continuant de l'étreindre et de l'embrasser durant mes va et viens, je défit ses liens. elle était désormais totalement libre de ses mouvements. En parlant de mouvement je pouvait sentir qu'elle donnait du sien aussi dans nos va et viens. Je me mis à la serrer fortement contre moi tout en l'embrassant. Je pouvais sentir nos langues s'entremêler durant nos baisers. Je relevai un peu la tête pour la regarder et me surpris à la trouver bien belle. Même si tout cela n'était dû qu'à la drogue, je sentais son envie. Et j'avais de plus en plus envie d'elle moi aussi. Je sentais nos deux corps liés comme si ils se mélangeaient ainsi que sa petite poitrine appuyer contre la mienne.
Nos va et viens devenaient de plus en plus intenses. Je l'entendai gémir, cela m'exitais encore plus. Je lui fit un suçon dans le cou tout en continuant de l'étreindre.
J'étais capable de sentir son désir monter en flèche, le plaisir qui augmentait, je sentais qu'elle n'allait pas tarder à lâcher. Et ce fut pourquoi je me retirai d'elle et m'écartai un peu. Je lui chuchotai alors à l'oreille:

<< Dis-moi ce dont tu as envie maintenant. >>

Elle était en train de me stimuler en caressant mon glan. C'était sacrément tentant surtout au vue de ce qu'elle venait de me dire. Mais plutôt que de me laisser aller je lui rendit la pareille en lui caressant le clitoris. Je lui effeleurai les lèvres des miennes avant de lui murmurrer à l'oreille:

<< Dans ce cas, jure moi qu'une fois par mois quand nous serons dans cette chambre nous aurons des rapports de ce type pendant tout un week-end. C'est un contrat simple et je pourrait te donner encore plus de plaisir. >>

A la fin de ma phrase je lui mordillai l'oreille avant de l'allonger sur le dos et de commencer à lui embrasser le cou en le lèchant de temps en temps. Je relevai la tête et la regardait dans les yeux.

<< Mais si tu refuse je te stimulerai à t'en rendre folle en te laissant toujours sur ta faim jusqu'à ce que j'en ai marre ce qui risque de prendre très, très longtemps. >>

Sur ces mots je bassai le tête et lui lèchait le nombril avant de remonter bisou par bisou à ses seins. Tout en faisant cela je retira ma main de son clitoris. Ce serait dommage de la faire jouir maintenant. Je relevai la tête et la regardait avec un air diabolique dans le regard.

Heureusement qu'elle avait accepté parceque mon désir était en train de grimper en flèche et je ne pensais plus être capable de réagir comme je l'avais dit si elle refusait. mais les fait étaient là, elle avait accepté. Nous allions pouvoir continuer nos folles étreintes et bien plus encore.
Je me relevai un peu, dégageai ma main et remis mon sexe là où il était tout à l'heure. Je me remis à faire des va et viens en elle. je pouvait me sentir durcir encore en elle et son intérieur se serrer. Tout en continuant, je la serrais fort contre moi et l'embrassai langoureusement.

<< Mëw...>>

Je ne désirai désormais plsu qu'une chose: ne faire qu'un avec elle à tout jamais. Et sans m'en rendre compte, je me mis à accèlérer. Mon plaisir grimpa en flèche. Je remis ses jambes comme tout à l'heure et continuais, encore et encore. Le plaisir n'avait de cesse d'augmenter et ce fut dans un dernier élan que je sentis sortir ma semence en Mëw. Tous mes muscles se tendirent à ce moment là.
Je me relâchais un peu sur elle, essouflé.

Kei retourna vers les dortoirs plus tard qu'il ne le pensait,  ayant encore une fois sécher la plupart des cours il a eu une petite discussion avec le comité de sécurité le rendant donc de mauvaise humeur, chose accentuée par le fait qu'il ai le nez bouché, lui empêchant de savourer les odeurs du jardin.
Une fois arriver il voulu passer un peu voir sa petite amie: Mew, une fois dans le dortoirs Kei rentra dans la chambre de Mew sans frapper comme à son habitude et en ne faisant aucun bruit, voulant lui faire la surprise, il lui avait même acheté un petit cadeau, une fois sur place Kei ne croyais pas se qu'il voyait: Mew et Alexander tous les deux nus dans un lit ayant visiblement fait l'amour pendant son absence, il cligna des yeux, une fois, puis deux et trois voulant être sur de se qu'il voit, une fois bien sûr de lui la colère prit le dessus sur la surprise et il couru en direction du lit, prit Alexander par les cheveux pour le relever et lui mettre un violent coup de poing dans l'oeil droit, profitant du fait qu'il le tien toujours par les cheveux pour lui écraser le nez a l'aide de son genou avant de finalement le lacher en lui donnant un coup de pied dans la bouche, chose qu'il le fit tomber du lit, après avoir plus ou moins régler son compte à monsieur Kraine il se tourna vers sa petite amie, toujours bouillonnant de sa découverte il l'attrape finalement par les cheveux avant de lui mettre une grande gifle suivit d'un grand coup dans le ventre, ne trouvant pas ses mots il la relâche brutalement sur le lit en lui jetant dessus le collier qu'il venait d'acheter en se retournant.

Je n'aurait jamais cru que tu aurais fait sa, je t'aimait et tu m'a trompé, mais ne compte plus essayer de me voir sinon je n'aurai aucun regret à te faire subir la même chose qu'a lui. Se collier tu lui demandera a lui, tu préfèrerais sans doute un cadeau de sa part

Il dit cela en redonnant des coups de pieds a Alexander qui commençait a bouger

Je sais plus très bien ce qui s'est passé. Tout ce dont je me souviens c'est Mëw et pui le noir. Lorsque je me suis réveillé j'étais sur le sol et y avait un mec pas content. Je sentis que mon nez était tordu alors je tentais de le remettre en place avant de me relever.

<< Salut! Juste une chose mon gars... Premièrement... >>

Je l'attrapais par le bras pour le faire valser à l'autre bout de la pièce.

<< On frappe avant d'entrer. Deuxièmement... >>

J'allais le chercher pour le relancer de l'autre côté.

<< On frappe pas les gens dans leur sommeil.  et Troisièmement... >>

Je lui donnai un coup de poing à lui en décrocher la machoire avant de m'adresser à lui calmement.

<< Pardon Keï. Mais je te rassure, il n'y a rien entre nous. Ce qui arrive est entièrement de ma faute et j'en suis navré. Disons que c'est juste un truc d'un soir mais ça ne change rien à ses sentiments. Elle t'aime et s'il y a un fautif c'est moi parceque je l'ai drogué et l'air exité de façon à ce qu'elle en redemande. Voila, maintenant tu peux me frapper.>>

Je me préparais alors à m'en prendre plein la tronche. Je savais à quel point il était mécontent et c'était normal. J'avais dérapé et suivis une envie et j'en étais aux conséquences. J'avais entendu Mëw demander les bras de Keï. J'espérais que ça constituerai une preuve suffisante du fait que malgré la drogue, elle l'aimait bien plus que ce qu'elle n'était excitée par moi.

Alors qu'il se préparait à partir Kei entendit la voix de Mew, il"se tourna"lentement vers elle, juste pour voir se qu'elle va lui dire en reponse a sa, c est meme à se moment qu'il vit une seringue par terre, qu'es ce que sa foutait la sa? Enfin il écouta tous de même se qu'elle voulait lui dire

<< Je... suis désoler je ne voulais pas te faire de mal c'est juste que... je me sens bisare... j'ais tellement d'envie... je n’arrive pas a me contrôler et je crois que je n’arrive même plus a penser correctement... >>

Allons bon pourquoi la croirait il, si elle n'aurait pas voulue elle ne l'aurait pas fait, de plus cela ne ressemble pas a un viol, elle tendit ensuite le bras vers lui en reprenant la parole

<< Je... je veut tes bras Kei...>>

Kei la regardait puis s'approcha d'elle en lui frappant dans son bras, il n'avait pas l'intention de la pardonner pour cela.

Si tu veut des bras prend les siens, tu a l'air de les préférés au miens

Suite à sa il entendit Alexander parler, comment pouvait il déjà être debout? Avec se qu'il a prit il ne devrait pas pouvoirs

<< Salut! Juste une chose mon gars... Premièrement... >>

il sentit quelque chose attraper le sien avant de l'envoyer a l'autre bout de la pièce, cet Alexander est vraiment plus résistants que se qu'il pensait, normalement personne n'aurait pu faire sa suite à se qu'il vien de subir, il prit finalement la parole en le renvoyant encore une fois a son point de départ.

<< On frappe pas les gens dans leur sommeil.  et Troisièmement... >>

Kei n'a pas eu le temps de réagir quand il se prit un coup violent dans la mâchoire, sans son ombre autour de lui pour le protéger se coup la lui aurait certainement décroché cette dernière, à peine qu'il ai fini de récupérer il entendit son adversaire parler calmement.

Pardon Keï. Mais je te rassure, il n'y a rien entre nous. Ce qui arrive est entièrement de ma faute et j'en suis navré. Disons que c'est juste un truc d'un soir mais ça ne change rien à ses sentiments. Elle t'aime et s'il y a un fautif c'est moi parceque je l'ai drogué et l'air exité de façon à ce qu'elle en redemande. Voila, maintenant tu peux me frapper.>>

Kei fut surprit de sa révélation puis s'approcha doucement de lui en le regardant sur de lui.

Tu est en train de me dire que tu l'a droguée puis violée c est sa? Et qu'en plus à cause de toi j'ai frapper celle que j'aime a  cause de toi?

A peine avait il fini sa phrase qu'il empêcha mew de voir se qui va suivre, ne voulant pas la terroriser par la suite puis frappa un grand coup Alexander pour le faire tomber, prit son avant bras et le brisa sur son genou, il lui donna ensuite un grand coup de talon dans les côtes avant de finalement lui prendre la tête et la frapper contre le mur, il arrête ensuite de s'acharner sur lui, pensant qu'il a eu son compte, et qu'il ne réessaye pas sa

Je me relevai avant de remettre mon bras en place. Je remis un pantalon pour être plus présentable avant d'aller chercher une tasse pour la remplir de saké et en boire un coup. Et ce fut à ce moment que je repris totale conscience de ce que j'avais fait. "oh le con!" pensais-je. Les diffuseurs étaient toujours actifs. J'invoquai mon épée avant de tous les briser. Je voyais que Kei était toujours là par conséquent je devais pas être resté très longtemps inconscient ou alors je m'étais endormi pendant qu'il me tapai peut-être. Je remarquai qu'il avait des traces de blessures. Me souvenant que c'était moi qui les lui avait faite je lui tendis mon sac de soins de poche avec une bouteille de saké et une sorte de bippeur.

<< Tiens, je sais que ça ne suffira pas à me faire pardonner mais j'ai dérapé et ai suivis une envie primaire. Pardon. A partir de maintenant j'ai une dette envers toi. Si jamais tu te retrouve dans une situation gravissime, appuie sur le bouton qu'il y a dessus et tente de survivre pendant au moins un quart d'heure le temps que j'arrive. Et ne t'en fais pas, quelque soit le problème je serai en mesure de le détruire mais maintenant je vais vous laisser tous les deux vous expliquer ou faire d'autres trucs qui ne me regardent pas. Encore une fois désolé et si t'as besoin de quoi que ce soit n'hésite pas. C'est tout ce que je peux faire. Pardon. >>

Sur ces mots je sortis torse nu trainant mon épée dans ma main gauche et tenant ma bouteille de whisky dans l'autre.

Kei le vit rapidement se relever, se mec récupère étonnamment vite, enfin Kei le vit se rhabiller, boire du saké puis invoqué une épée pour briser quatre trucs qu'il n'avait pas vu puis il lui donna une trousse de soin avec également une sorte de bip comme les pompiers ont avant de reprendre la parole.

<< Tiens, je sais que ça ne suffira pas à me faire pardonner mais j'ai dérapé et ai suivis une envie primaire. Pardon. A partir de maintenant j'ai une dette envers toi. Si jamais tu te retrouve dans une situation gravissime, appuie sur le bouton qu'il y a dessus et tente de survivre pendant au moins un quart d'heure le temps que j'arrive. Et ne t'en fais pas, quelque soit le problème je serai en mesure de le détruire mais maintenant je vais vous laisser tous les deux vous expliquer ou faire d'autres trucs qui ne me regardent pas. Encore une fois désolé et si t'as besoin de quoi que ce soit n'hésite pas. C'est tout ce que je peux faire. Pardon. >>

Kei ne répondis même pas en le regardant partir, une fois Alexander dehors il se précipita sur Mew en la prenant dans ses bras alors qu'elle est toujours nue sur le lit, le regard vide.

Excuse moi, je ne savait pas se qu'il t avais fait, j ai cru que tu l'avais voulue, c'est pour sa que j ai reagi ainsi

Il s'en voulait pour cela, son manque de confiance et la cruauté dans ses mots, il espérait ne pas l'avoir trop blessee en disant cela, il espérait qu'elle ne lui en voudra pas trop pour ca

Kei vit que Mew passa longtemps a ne pas bouger, il la prit dans ses bras en lui parlant, espérant le faire réagir car cela l’inquiétait, quelques minutes plus tard elle commença a cligner des yeux, Kei la gardait dans ses bras en éloignant un peu sa tête, pour qu'elle puisse voir qu'il ne s'agit que de lui, elle posa ensuite la main sur sa joue et avant qu'il ne puisse bouger elle s'agrippa a lui en se recroquevillant sur lui, il la serra par réflexe avant de se rendre compte qu’elle pleurait, il s'approcha d'elle pour essayer de la rassurer mais elle cria presque sa réponse avant même qu'il ne puisse parler.

<< Kei je suis désoler! Je m'en veux! je sais que c'est impardonnable se que j'ais fait. je le sais et je me déteste pour sa! Je te promet de ne plus jamais essayé de te voire comme tu me la demander! Je te le jure! >>

Kei s'en voulait pour sa, il lui avait pas fait confiance et l'a frappée alors qu'elle avait été droguée, il a été cruel envers elle et il se devait de réparer sa, il la serra dans ses bras en lui murmurant dans le creux de l’oreille en commençant également a pleurer.

non, ne fait pas sa, j'ai dit sa sous la colère et sans savoir se qu'il t'avait fait, tu n'a pas a t'en vouloir, il t'a droguée et a profiter de sa, c'est moi qui ne t'ai pas fait confiance

Kei ne comprit pas pourquoi elle le repoussa quand il a finit sa phrase, mais la phrase qu'elle dit suite a cela lui fit l'effet d'un coup de poignard dans le cœur.

<< Non mais tu ne comprend pas ! J'ais aimé ...et je lui en ai redemandé ! Tu comprend ? Tu a u raison de ne pas me faire confiance... Je t'ais trahie ...Je.... t...tu ne peut pas accepté ça, c'est pas possible! Je ne peut pas te croire! >>

Il n'eut pas le temps de réagir qu’elle s'était déjà enfermée dans la salle de bain, le laissant donc seul les larmes ruisselant sur son visage, il se leva après un moment et alla frapper a la porte de la salle de bain, désespéré.

Mais c'est a cause de la drogue qu'il t'a injecter, tu a été sous l'emprise de se qu'il t'a injecter. Alors s'il te plait ouvre moi.

Puis il se laissa glisser sur la porte avant de tomber a genoux, pleurant toujours et regrettant amèrement se qu'il lui a dit, si il aurait remarquer qu'elle était sous emprise de la drogue il n'aurait pas fait sa, puis il frappa faiblement la porte pour parler tout aussi faiblement.

Je t'en prie ouvre, j'ai besoin de toi

J'avais fini ma bouteille de whisky et mon paquet de clope m'avait été confisqué par un surveillant... Bon d'accord, je lui ai presque démoli le poignet pour qu'il me le rende et me laisse finir mon paquet mais bon. J'avais donc fini de consommer ce qui me retenait dehors. C'était partit plutôt vite je devais dire. Mais en rentrant j'entendis Mëw se lamenter comme quoi elle aurait aimé ça et en aurait redemandé. Ce qui n'était pas faux dans un sens à part que j'ai utilisé des diffuseurs hormonaux technomagiques et que pas grand monde n'y résiste. En entrant je vis Keï se laisser glisser sur la porte en train de pleurer. J'avais envie de me baffer pour ce que j'avais fait car oui, une bouteille entière de whisky ne suffit pas à me rendre ivre! Ayant toujours les idées claires j'écartai Keï de devant la porte de la salle de bain, saisit la poignée et arrachai la porte à une main.

<< Bon, comme ça on sera plus tranquille pour discuter. >>

Je saisit ensuite Mëw par les cheveux et lui donnait trois gifles.

<< C'est pas ta faute, c'est la mienne. Ces diffuseurs technomagiques étaient faits pour te donner envie et peu de gens y résistent. C'est clair? Alors maintenant hais-moi et ne te hais pas parceque c'est moi le fautif non d'un clébard enragé de Prusse ayant la lèpre du diable! Maintenant va faire un câlin à ton mec... Et encore une fois désolé de ce que je t'ai fais subir... >>

Dis-je avant de la lâcher.