Du sport, du soleil et de l'eau...

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« Du sport, du soleil et de l'eau... »

Azaelle & Namiru.

Azaelle était sortit avec sa fille. Elles avaient marché un bon moment pour atteindre la plage. La petite Eriko avait laché la main de sa mère et avait courut droit sur les vagues. Azaelle la regarda attendrit d'abord puis elle courut à sa poursuite pour lui dire d'arrêter. Elle lui expliqua qu'elle ne devait pas partir trop loin et rester là où se meurt les vagues. La fillette hoche de la tête d'un air convaincu et Azaelle la regarda jouer. Avec un grand sourire, la jeune femme posa son sac sur le sol et ses poings sur ses hanches en regardant sa fille.

« Eriko ? Tu fais attention hein ! »
La blondinette sautait sur les vagues en poussant de grand cri de joie. Elle n'avait pas connu la mer ni même l'océan avant de venir ici. Azaelle avait toujours vécu dans les terres et n'avait jamais oser emmener sa fille en dehors. Elle la couvait des yeux et penchait la tête. C'était toujours agréable de voir le plaisir de sa petite.

Elle se rappela ce qu'elle était venue faire à la base et ôta ses chaussures. Elle remonta son pantalon au dessu de ses genoux et alla rejoindre Eriko. En courant, elle l'attrapa sous les bras pour la faire tourner dans les air sous les rires joyeux.

« Ouiiiiii ! »
« Attentiiion ! C'est repartit !! »
Azaelle continuait de la faire tourner puis, quand ses bras furent épuisés, elle la reposa doucement en lui disant d'aller jouer dans le sable. Elle-même se mit à faire un peu de sport tout en gardant un oeil sur elle.

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Je me réveillais comme à mon habitude, les cheveux en pétard et une gueule de bois j’allais prendre une douche afin de me réveiller. Une fois ceci fait je mets un tee-shirt blanc qui laisse mes muscles a l’air avec un jogging gris et des baskets afin d’aller courir.

Il faisait beau pour un mois tel que celui-ci, je commence à courir tout en y intégrant mon propre rythme. Pour moi le sport est fondamental, car cela permet de pouvoir garder son corps en forme et de se sentir mieux extérieurement et intérieurement, une chose importante si on veut accoster des jeunes femmes.
Lorsque je cour j’ai l’impression d’être dans un autre monde comme si mon corps et moi-même ne faisions plus qu’un, comme si j’étais capable d’entreprendre tout ce que j’aurais envie de réaliser.

J’étais presque arrivé au terme de mon footing matinal quand tout à coup en arrivant à la plage je vis deux personnes sur le sable une jeune femme et sa fille. Je n’étais pas très attiré par les femmes ayant un enfant car si je sortais avec je n’arriverais pas à assumer les responsabilités qu’on me confierait. Néanmoins cette jeune femme aux longs cheveux noirs m’intéressait tout de même par sa splendeur et sa beauté naturelle.
Je me rapproche doucement tout en continuant mon footing et m’arrête devant la jeune femme qui était en train de faire des abdos et fait semblant de faire une pause pour essayer de l’abordé . Je sautille sur place afin de ne pas perdre mon rythme et lui d’un ton correct

« Bonjour mademoiselle vous êtes splendide vous savez ? Quel est votre nom »

Et attend sa réponse

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Azaelle & Namiru.

La jeune femme comptait ses abdos en regardant sa fille. Elle ne devait pas la quitter des yeux car elle était parfois un peu turbulante et elle ne voulait pas qu'il lui arrive des bricoles. Elle n'entendit donc pas le jeune homme arriver. Elle sursauta quand elle entendit sa voix. D'un bond, où plutôt très rapidement elle se releva. La position à demi couché représentait pour elle une position de soumission. Et elle n'était pas du genre soumise.

« Qu'est ce que vous voulez ? »
Légèrement agressive, Azaelle était sur ses gardes. D'un coup d'oeil elle regarda Eriko. Elle jouait encre tranquillement sans voir que sa mère avait été abordé. Elle le regarda avec méfiance, le toisant presque. Il semblait juste être un joggeur comme tant d'autre. Elle soupira.

« Désolée... Azaelle. Et vous êtes ? »
Elle le fixa en attendant qu'il réponde. Elle ne voulait pas trop l'agresser mais il l'avait surprise et elle detestait ça. En le regardant, il parraissait plus jeune qu'elle mais il était plutôt mignon. Elle garda son regard cependant assez dur et patientait. Celui ci passait tout de même régulière en direction de sa fille pour s'assurer que tout allait bien.

« Alors ? »

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J’attendais sa réponse avec impatience, le cœur qui battait vite dans un premier temps à cause du footing mais aussi par la beauté de la jeune femme. Surprise la jeune femme se releva et me répondit par un :

« Qu’est-ce que vous me voulez ? »

Je ne m’attendais pas à ce genre de réponse mais j’avais remarqué quel gardais un œil protecteur sur son enfant et que j’étais dans cet angle. Elle me fixa brusquement et me dit de nouveau

« Désolée…Azaelle et vous êtes ? »

Lorsque j’entendis son nom je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’elle avait un très beau prénom et que sa correspondait bien à son physique. Je souris et lui dit en caressant mes cheveux sur le côté :

« Moi ? Je m’appelle Namiru enchanté de faire votre connaissance et si puis je me permettre vous avez un fabuleux nom. Il vous va à ravir »

Je tourne la tête vers la mer, je ne pouvais m’empêcher d’être nostalgique, car ce bruit des vagues qui montre que la nature et forte et indépendante, le vent qui souffle comme si il n’existait aucune limite, aucune frontière. Ce phénomène me fait penser a quelque chose que je n’avais guère connu lors de mon enfance c’est la liberté.
Je m’assoie sur ce sable encore chaud afin de faire une réelle pause et je fixe la jeune demoiselle pour lui dire :

« C’est votre fille qui est la bas ? Elle est vraiment mignonne. Hélas j’ai été enfant unique et je n’ai jamais eu de sœur. Sinon quel âge avez-vous ? Et que faite vous ici ? Vous faites du sport ? »

En attendant la réponse à ses questions, je commence une série d’abdos et de pompes pour continuer à rester dans la dynamisme du footing de ce matin .

Ps: désolé pas assez d'inspirations pour le moment xD ça va venir !

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Azaelle & Namiru.

Azaelle regardait le jeune homme se présenter. Il la complimenta sur son prénom. Quoi ? C'était ces parents qui l'avait choisi pas elle. De plus, un prénom n'était qu'un prénon, est ce qu'il falait toujours qu'il aille avec une tête ? Un corps ? C'était assez bizarre de dire ça... Surtout que cela lui faisait penser à une vieille drague. Elle ne le quittait pas des yeux en essayant de contenir le grondement qui se faisait dans sa tête. Il regardait la mer puis il sembla voir Eriko. S'en suivit une longue phrase avec plein de question.

« Oui c'est ma fille. »
Elle avait parler plutôt sêchement. Il voulait quoi ? Pourquoi toutes ces questions ? Elle soupira en fronçant des sourcils avant de reprendre.

« Non mais... attendez vous arrivez comme ça, vous me poser mille et une question privée. Je ne répondrais pas vous êtes de la police ? Non mais j'y crois pas !! »
Elle ramassa ses affaires et appella sa fille. La petite était toute pleine de sable jusque dans les cheveux. Eriko courut jusqu'à eux puis regarda le jeune homme puis sa mère et répéta le procédé plusieurs fois. Elle fini par regarder Namiru puis elle fila derrière sa mère en s'accrochant à ses vêtements. Azaelle s'accroupi près d'elle et passa ses mains rapidement sur ses vêtements pour ôter le sable.

« Eriko, ma puce, tu es pleine de sable ! »

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Le soleil allait bientôt se coucher , les vagues devenait de plus en plus fort laissant nous laissant devant une magnifique vue qui est le couché de soleil ainsi que des bulles d’eau qui s’ajoutais a cette mer qui était déjà magnifique. Le sable était devenu assez frais et c’était vraiment agréable de marché dessus à vrai dire ce n’était pas tous les jours que Namiru allait à la plage car il déteste l’eau. Il était toujours devant la jeune femme aux cheveux noirs et sa petite fille. Il lui avait posé certaine questions mais la jeune femme ne l’a pas entendu de la même manière et donc il se prit un violent coup de pression

« Non mais... attendez vous arrivez comme ça, vous me poser mille et une question privée. Je ne répondrais pas vous êtes de la police ? Non mais j'y crois pas !! »

Après avoir entendu ça Namiru se réchauffa un coup, ses flammes sortait de son corps il avait l’impression d’avoir envie de se battre puis il s’arrêta et se mit à rire tout seul comme un fou et lui dit
« Eh bien ma chère cela fait un moment qu’une femme ne m’avait pas remis à ma place comme cela, pour vous dire j’aime les femmes de caractère comme vous-même si … je ne suis pas de la police ! baka non mais je vous jure j’aurais tout entendu. Désolé je me suis légèrement emporté cela vous direz de prendre un verre ? »

Il attendit sa réponse avec impatience avec un sourire au lèvre et fait un coucou a la jolie petite fille. Puis il regarda le sable plus profondément et se dit qu’il effectuerait un magnifique entrainement de ses appuis si il courait sur ce sable mais sa en s’en fou …

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Azaelle & Namiru.

Azaelle remit la veste correctement sur les épaules de la fillette. Elle descendit son pantalon pour le remettre correctement. Elle avait presque envie de l'ignorer lui et sa curiosité. Elle sortit une brosse de son sac et brossa rapidement les cheveux d'Eriko avant de les nouer en une petit couette. Elle passa le bras dans la lanière de son sac et prit la main de sa fille avant de se mettre debout face à lui.

« Je suis bien contente de le savoir! »
Elle fit quelques pas en direction de la ville dans le sable frai. Elle n'avait pas vu qu'il s'était réchauffé de lui même. La petite fille se retourna pour tirer la langue à Namiru. Son petit air était à la fois enfantin et moqueur. Elle savait que sa maman était pas commode avec les gens et souvent elle s'en amusait pas mal.

« Allez Eriko on rentre! Tu veux un chocolat ? »
La petite fille se retourna une seconde fois et du coup Azaelle se retourna aussi. Il avait un sourire aux lèvres puis après un bref coucou il s'était mis à regarder le sol. Peut-être qu'il était vraiment désolé...

« Bon, venez, on va aller boire un chocolat chaud avec Eriko. »
Elle ne savait pas si c'était une bonne idée, mais bon, elle lui avait proposer de les accompagner. Elle verrait si jamais elle sentait pas ce type, elle pourrait toujours partir. Et puis dans la foule c'était plus sécurisant que seul sur la plage.
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