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| Sujet: Un gentleman très sûr de lui (terminer) Jeu 25 Sep - 14:13 | |
| Pseudonyme Informations Nom : Rouveyrol
Prénom(s) : Lilwenn
Âge : Il dit avoir 26, en réalité il a peu près 200 ans
Sexe : Masculin
Nationalité : Anglaise
Groupe : Professeur de botanique
Race : Immortel de la Terre et demi-nymphe
Pouvoirs : - Ecouter les voix des plantes, cela n'est pas simple et demande de la concentration - Croître les plantes à ma guise, seulement je dois bien me reposer ensuite pour ne pas m'évanouir - Possibilité de créer un séisme ou de faire gronder la terre. Je ne peux le faire qu'une seule fois toutes le deux heures - Soigner les blessures physiques, me donne des tournis en fonction de la gravité de la blessure - Ressentir sur 2 km les personne foulant le sol
Arme (si comité ou guardian) : //
Année et Classe (si élève): // | | |
feat : Edgar de Hakushaku to Yosei |
Psychology Lilwenn est un homme sûr dans tout ce qu'il entreprend, ayant pour principe de ne jamais douter de lui. Il est très galant avec les filles de tout âge et respectueux avec les hommes. Étant née au XIX siècle, il lui arrive des manières un peu vielle, comme celle de défier à l'épée quiconque ayant réussi à l'énerver. Il est quelqu'un de calme et réfléchis. Totalement accro aux plantes, il passe la plupart de son temps en leur compagnie. Néanmoins, il souhaite partager sa passion, ainsi, il donne à chacune des femmes qu'il rencontre le nom d'une fleur. Comme j'ai vécu dans un milieu rural pendant toute sa jeunesse, il est très habile de ses mains. Par contre, il est assez paresseux, donc vous pourrez le trouver endormie dans un arbre ou dans un jardin. Il n'aime pas impliquer les personnes qui lui sont cher dans ses affaires, si bien qu'il nie toujours avoir des problèmes. Sinon, il est très courageux et imbécile. Il préférera être blessé plutôt que vous, prendra tous les coups sous prétexte qu'il est immortel. Comme dis précédemment, c'est quelqu'un de calme qui même s'il est énervé, il ne se mettra pas à crier et gardera un visage impassible. Lilwenn sera amical avec n'importe qui, jusqu'à ce que vous fassiez parti d'un plan qu'il a manigancé.
Appearance Son physique est celui d'un jeune homme avec des très fins. Des cheveux d'or, lisse et courts tombent devant ses yeux allongés violet profond. Sa peau est de teinte claire, même après avoir travaillé la terre pendant toute sa jeunesse. Il est de grande taille, à peu près 1m 86. Aux premiers abords, on ne le dirait pas, mais il est musclé. Etant un demi-nymphe, il a hérité de sa mère, des lèvres fines biens dessinées, un joli minois, une paire de longs cils noirs. Toujours habillées en costume, trois pièces, les deux-pièces seraient un déshonneur pour lui. Bien entendu, ces vêtements paraissent d'époque, néanmoins, ils sont faits chez de grands couturiers. Il lui arrive de porter rien qu'une chemise lorsqu'il se retrouve à s'occuper de ses plantes, ou a d'autres rares occasions. Lilwenn n'oublie jamais de porter des chaussures vernies, la montre a gousset qui devrait être dans un musée plutôt que dans sa poche. Ainsi qu'un foulard qu'il pique d'une épingle. Même un gentleman tel que lui n'aime pas porter de haut-de-forme, trouvant cela trop encombrant.
Storyline Pour comprendre certains points qui font ce que j'étais et ce que je suis à présent, il faut remonter avant ma naissance. Mon grand-père était un lord, qui avait su conquérir les faveurs du roi, en ayant livré des combats en son nom. Quand a mon père, il avait depuis toujours préféré se concentrer sur ce qu'avaient laisser ses origines. Un amour pour les plantes et une passion invétérer pour les créatures du fantastique et la culture celtique. Il était persuadé qu'elles existaient. Tous pensèrent qu'il avait des idées portées trop loin et absurde. Il ne renonça pas, cherchant sans relâche et il fut récompensé.
Étant partit dans la forêt de brocéliande pour trouver des traces de ses être merveilleux, il en oublia de se renseigner sur la topographie des lieux et s'y perdit. Il marcha pendant une éternité, avant de voir une personne assise contre un arbre, blessée. Lorsqu'il la vit, car c'était une jeune demoiselle très belle, il me disait souvent qu'il était persuadé avoir étais frapper par la foudre. L'aidant du mieux qu'il put, il la soigna avec les herbes alentours et celles de son bagage. Elle ne répondait à aucune des questions de mon père. Puis elle finit par s'endormir et lui avec. Quand il se réveilla, elle allait déjà mieux. Il prit la décision de l'aidais à la soigner, ne voulant pas rentrer voir son père, devenu un étranger pour lui.
Durant la journée, elle lui avoua son nom, Fiora. Puis le temps passa. Cela dura deux semaines, où il apprit qu'elle aimait les plantes, elle aussi, et s'y sentais très proche. Un matin, alors qu'il allumait un feu, une femme apparue vêtu de noir. Voyant Fiora essayer de se cachait derrière lui, il demanda à la femme d'un ton dur :
- Partait madame ! Vous faites peur à cette jeune femme.
Elle répondit par un sourire carnassier et d'une phrase inattendue :
- Voyont monsieur, ne soyez pas si grossier. Je veux juste la nymphe qui se trouve derrière vous, rien de plus.
Au début, mon père ne comprit pas ce qu'elle disait. Puis il se retourna et remarqua pour la première fois ses yeux violets nullement humain. Restant stupéfait pendant une seconde, la jeune femme en profita pour crée encore plus de discordes.
- Oui, mon cher monsieur, cette jeune femme n'est autre qu'une envoyée du diable. Laissais moi m'en occupait...
- Non !
Fiora avait contesté tout en s'étant agrippée à mon père. Quant à lui, il sortit bien vite de sa stupeur. Faisant barrière de son corps, il regarda la femme vêtue de noir dans les yeux et lui dit :
- Il est hors de question que vous l'emmeniez !
Un silence de mort se fit, durant lequel les traits de la femme se déformèrent. Cette fois, mon père ne resta figé sur place, il prit la main de Fiora et s'enfuit avec elle. On entendait les râles d'une bête qui les poursuivaient, mais qui n'arrivait pas à les rattraper. Finalement, ils réussirent a sortir des limites de la forêt. La bête ne put les suivre en dehors, plus tard, il comprit que cette bête fut la jeune femme transformer, et qu'un sort la maintenait dans la forêt. Pour tous les deux, se fut une grande épreuve qui resterait graver dans leur mémoire.
Ils demandèrent le gîte à la première maison qu'ils croisèrent, et n'en partirent plus. Ils avaient étais accueillis chaleureusement, la maison était assez grande pour plusieurs personnes et la nymphe ne souhaiter pas retourner dans sa forêt. Elle avoua à mon père qu'elle n'avait pas l'intention de lui mentir ni de lui dire la vérité. Fiora ne désirait qu'une chose, rester auprès de lui. Ils vécurent ensemble pendant trois mois, où leur amour pris réellement forme.
Peu de temps après, la jeune femme se sentit de plus en plus mal. Personne ne savait ce qui se passait. La rondeur de son ventre n'apparut pas tout de suite, si bien qu'on apprît que vers le cinquième moi qu'elle était enceinte. Ce fut à la naissance que tout se compliqua, où Fiora mourra en couche. Mon père se retrouva donc avec un enfant a charge et son chagrin pour toute consolation.
Nous vécûmes néanmoins dans la joie pendant les vingt premières années de ma vie. Il m'apprit la bienséance, l'étiquette, les idéaux de la chevalerie, comment me défendre, le savoir des plantes et des animaux. Certes, il ne voulait pas que je finisse enchaîné comme il l'était à mon âge avec son père, mais pour réussir, les règles nous étaient indispensables. Travailler la terre ne me déranger en aucune façon, elle était au contraire une véritable passion. Mais ma curiosité des grandes villes, surtout de Londres, me poussa à partir de chez moi. Mon père l'accepta, j'étais devenu un homme qui devait tracer sa propre route à présent. Il me donna de l'argent, une lettre avec l'adresse d'un de ses rares amis, ainsi qu'un livre où il avait rassemblé toutes ses connaissances sur le monde magique et les plantes.
Je partis donc pour Londres, arrivais là-bas, se fus comme de rentrer dans un nouveau monde. Je réussis à trouver l'adresse de l'ami de mon père, Henri Lewis, un homme d'âge mûr, qui m'accueillit à bras ouverts. Lui expliquant mon désir d'apprendre, il me conseilla de faire mon entrée en société. Sauf que je n'avais que le nom de mon grand-père qui ignorait mon existence. Henri se proposa donc pour que je devienne son fils adoptif aux yeux de la loi. Ainsi, en l'an 1850, j'apparus sous le nom de Lilwenn Lewis âgé de 20 ans. Au début de mon entrée dans le monde aristocratique, tout était lumineux pour moi, comme les chandeliers en cristal s'illuminant de mille feux. Pourtant, petit à petit, je vis la corruption des idéaux, la cruauté, la haine et la jalousie que cachait ce grand nom d' « aristocrate ».
Les personnes qui se battaient pour leurs idéaux d'égalité n'étaient pas bien vues, la cupidité enraillée le système justicier et la peur les enfermaient dans l'absurdité. Au commencement, je ne vis plus que la laideur de ses sombres sentiments. Si bien que, je ressentis une haine incontrôlable contre ces sentiments si immondes, je me mis à l'espionnage et revendais mes informations de manières stratégiques à détruire certaines personnes. Cependant, je vis apparaître chez certaines personnes que je trouvais répugnantes, des sentiments des plus noble dans leur détresse. Une âme pouvait donc devenir des plus majestueuse après avoir vécue tant de choses. J'en fus extrêmement ému et me demandais ce que je pusse être. En me regardant de plus près, j'y vis un monstre. Mais j'étais près à endosser ce rôle, même à faire bien pire pour faire ressortir chez tout à chacun, ces sentiments si majestueux.
Plus déterminé que jamais, j'agrandis mon champ d'action à l'achat revente d'œuvres d'art. Grâce a ma réussite en ce milieu, je pus élargir mon réseau d'espionnage a tout le Royaume Unis et j'ouvris plusieurs sociétés dans tous les domaines. Mon tuteur ne savait rien de mes transactions, pour lui, je me faisais juste un nom. Et pour sûr, en six ans, je devins l'un des hommes les plus influents de tout l'Angleterre. On me traita de voleur, d'escroc, de meurtrier. Oui, j'avais dû commettre des meurtres pour en arrivais à ma position, mes mains étaient souillées, mon âme se cachant des gens rayonnants. Mais tout cela était prémédité, je gardais toujours un œil attentif a sur la famille des gens que j'avais tué, ou qui s'étaient fait attraper par la justice.
On me donna en secret, le nom d' « œil de Satan ». Tous à Londres connaissais ce surnom, par contre, pratiquement personne ne savait qui il était. C'est à partir de ce moment que je commençai à m'intéresser aux êtres surnaturels. Étrangement, il ne me fallut pas longtemps pour les trouver. Néanmoins, il fut plus difficile de faire affaire avec eux, ils ne souhaitaient que la paix, la vengeance, ou l'amour. Cela ne s'arrangea nullement lorsqu'un loup d'ombre me tendit une lettre. Elle contenait un message d'une personne souhaitant me retrouver dans la forêt de brocéliande, qui se trouvait près de la maison de mon père. Je n'avais pas reçu de nouvelle de mon père depuis mon arrivé, ou plutôt, je refusais de lire ses lettres.
Je partis sans plus tarder. J'arrivais là-bas le soir même et m'enfonçais dans les profondeurs de la forêt. Je marchais pendant une heure avant qu'une ombre commençât à m'attaquer. Je me mis en garde, mais elle réussit à me griffer à plusieurs endroits. Lorsqu'un clair de lune réussissait à franchir la masse des arbres, je vis très clairement que cette « ombre », était en réalité une bête. Je me débattis de toutes mes forces, cependant, elle me porta un coup au thorax, au cœur précisément. Je crus mourir, tout devenait flou, les sons m'apparaissaient lointains. Je pouvais sentir la pattes de la bête se poser sur mon cœur, en récitant une incantation d'une voix de femme, a mesure que je sentais mon sang battre à mes tempes. Une douleur insupportable suivis après qu'elle eut fini son sort.
Je ne sais comment j'ai fait pour réussir à briser cette barrière que je croyais dresser entre la terre et moi. Celle qui m'empêcher de comprendre les plantes, ainsi que les grondements du sol. Mais je réussis. Fixant le regard de cette bête, je me concentrer sur les voix que je percevais. Elles étaient nombreuses, néanmoins, elles m'obéir et enroulèrent la bête. Elle se débattit, se retransformant en mage noir. S'ensuivit alors un combat mélangeant magie armes blanches. Je ne sais comment encore une fois, je suis bien ignorant de ce qui c'est réellement passer. Je réussis à sortir de la forêt saine et sauf, tout comme mon père des années auparavant. Enfin au calme et en sécurité, je fis l'inventaire de mes blessures, sauf que je n'en avais aucune, a part un tatouage sur la poitrine.
Je me rendis compte bien vite que je pouvais contrôler les plantes et commandais aux séismes. Néanmoins, le tatouage qui m'était apparu, n'était autre qu'un scellé, m'enfonçant dans la folie tellement la douleur qu'il me procurer à l'âme était insupportable. De plus, plus j'utilisais mes pouvoirs. Jugeant ses pouvoirs trop grands, je partis en voyage, laissant tout derrière moi. Je vécus durant des années en tant qu'espion, insaisissable pour tous. Un matin, je reçus une lettre m'invitant dans une dimension a devenir professeur.
Behind the screen | | | Prénom ou Pseudonyme : comme vous voulez ^^
Age : Attendez, je lance le dés, 12 ans ^^. Non je rigole
Que pensez-vous du forum ? : J'aime bien ^^
Comment as-tu connu le forum ? : Grâce a une amie aussi inscrite
Quel est le code du règlement ? : Validé par Eikyuu
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Arrogant-Mischief sur Epicode
Dernière édition par Lilwenn Rouveyrol le Dim 5 Oct - 11:24, édité 20 fois |
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