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 L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera.

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MessageSujet: L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera.   L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera. EmptyJeu 21 Nov - 19:17



❝PETITE FLEUR...~❞

Informations


▬ Nom : Irana

▬ Prénom(s) : Diana Hélène

▬ Âge : Dix-neuf ans.

▬ Sexe : Féminin.

▬ Nationalité : Française.

▬ Race : Elle était sûrement une Nymphe au départ, mais la voie du feu qu'elle a prise a modifié sa nature profonde en quelque chose de plus sombre.

▬ Pouvoir(s) : Tout d'abord, elle avait le pouvoir de la Nature : un lien avec les plantes et les divers végétaux puissant, qui lui permettait de faire appel à eux lorsqu'elle le souhaitait et tant qu'elle était à proximité d'eux. Elle pouvait s'en servir de manière protectrice au départ, mais elle avait un peu changé de route en chemin, et au final, elle s'en servait quand elle le voulait.
Puis, elle avait pris connaissance des flammes et de leur magie, ayant eu dès la naissance une affinité pour la chaleur et le feu. Ceci lui avait permis de modifier la nature dite noire qu'elle utilisait, afin de la rendre encore plus corrompue.


▬ Arme : Aucune.

▬ Groupe & Classe : Élève : Dernière année : Maître.

▬ Niveau de Rp : Tout dépend de mon inspiration, de ma motivation. Généralement, je ne répondrais que le week-end, par manque de temps le reste de la semaine - sauf le vendredi peut-être. Je me relis que très peu, toujours par ce soucis de temps, mais je ne fais pas beaucoup de fautes, dès le départ. Cependant j'en fait quand même.
Enfin bon. Je crois que mon niveau peut être considéré comme ce qu'il y a entre débutant et intermédiaire.


▬ Orientation sexuelle : Bisexuelle.

▬ Famille : Comme tout le monde, un père une mère. Bien qu'elle ne les avait jamais identifiés comme tels, il fallait se rendre à l'évidence.

▬ Passion(s) : Découvrir de nouvelles sensations, et ce sur tous les plans.  [/i]

L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera. URL DE VOTRE AVATAR 200*320px



feat : ∆ Zyra × League of Legend.


IF U CAN SEE ME.

Elle était là, simplement assise en tailleurs dans l'herbe grasse et verte, laissant ses longs cheveux s'étendre dans son dos, ces derniers se balançant souplement au gré du léger vent qui soufflait avec simplicité.  Leur couleur rouge, sanglante et luisante au soleil, contrastait brutalement avec la verdure environnante, faisant comme une coupure étrange dans un lieu naturel et beau. Car oui, elle n'était pas naturelle. Ni même peut-être belle, d'après certains. Sa chevelure, perdue massivement dans le creux de ses reins, laissait cependant échapper quelques mèches plus longues, dans un dégradé involontaire, qui caressait le sol tendrement, s'échouant sur lui telles des vagues fatiguées. Ils formaient une cape, une cape majestueuse et glorieuse, qui la protégeaient du monde extérieur, qui la soustraient aux regards remplis d'animosité. C'était une protection, c'était une nécessité ; de toute façon, ils étaient là et elle ne les coupera pas, sous aucun prétexte.
Distraitement, elle porta une main à ses cheveux, enroulant passivement une mèche de ses cheveux autour d'un doigt muni d'une griffe végétale. Cette main n'était pas humaine, elle ne ressemblait à aucunes mains qu'un être humain pouvait avoir : elle était étrange, différente du commun. Elle était monstrueuse, même. Une telle atrocité ne devrait pas exister, n'est-ce pas ? Et pourtant, les faits étaient là, sous vos yeux stupéfaits, écarquillés de terreur, de la terreur que vous ressentez en observant  ces doigts inhumains. Ils étaient tous terminés par une griffe rougeoyante provenant d'un curieux mélange de terres, mais qui, sans la moindre once d'hésitation, était tranchante et dangereuse. D'ailleurs, la main en elle-même était étrange : elle n'était pas constituée de peau, n'était pas faite de chair : elle était comme une écorce verte, fine et noueuse, s'allongeant jusqu'au dessus des coudes, et s'évanouissant en quelques grands pétales tout en s'estompant naturellement le long de la remontée du bras.  Cette étrange écorce n'était pas présente que là. Elle se manifestait sur le corps en entier, dévoilant cependant un ventre plat, sec, des épaules gracieuses accompagné d'un cou de cygne, et une partie assez importante d'une poitrine voluptueuse.  C'était en fait comme un vêtement végétal, peut-être un peu étrange, mais un vêtement tout de même. Ce qui servait de bottes étaient en faite une autre écorce, semblable à la première, majoritaire sur tout le corps, mais dans des tons bien plus violets et bien plus durs, terminées par cinq griffes identiques à celles des mains.
Un soupir s'échappa des lèvres vermeilles, plantées sur un visage exotique et sauvage à l'apparence charmeuse, séduisante même. Les traits étaient ceux classiques de la beauté, un nez fin au bout joliment rebondi, des lèvres pulpeuses à la couleur enchanteresse, de grands yeux aux longs cils les soulignant, des sourcils bien dessinés qui dégageaient un front simple et commun.  Ce qui le rendait différent, ce qui le démarquait, c'étaient les expressions qu'il laissait transparaître. Ce regard orangé rendu palpitant par ces immenses cils noirs et épais, n'avait-il pas une lueur mélancolique au fond de ses pupilles de chat ? Ne voyait-on pas la tristesse lointaine qui les emportait, sans même qu'ils soient au courant, trop occupés à scruter le paysage herbeux des alentours ? Et cette bouche, dont les commissures ne se relevaient jamais qu'à moitié, dont le plis exprimait une certaine ironie un brin mesquine ?  Entouré de l'imposante chevelure sanglante, le visage fin possédait tout un charme bien à lui.
Mais elle s'en fichait bien. Son doigt emprisonné dans ses cheveux se libéra aisément, et dans un petit haussement d'épaules indécis, elle haussa ses épaules frêles. Se levant alors, dépliant sa longue silhouette qui aurait pu être filiforme sans le généreux fessier et la poitrine exorbitante, un petit frémissement la parcourut, traversant toute sa splendeur du sommet de son crâne aux griffes qu'elle avait. Ces dernières ne restèrent pas longtemps : alors qu'elle commença à marcher, le voile soyeux et rouge dans son dos se balançant au rythme de ses foulées, les griffes et les écorces disparurent progressivement, s'effaçant petit à petit. À chaque pied qui touchait le sol, elles disparaissaient de plus en plus, ne laissant derrière elles qu'une peau lisse légèrement bronzée. Tant et si bien qu'au final, il ne resta sur elle que quelques feuilles dans lesquelles étaient accrochées quelques fleurs, cachant difficilement ses seins et ses autres parties intimes qui n'appartenaient qu'à elle.
Puis, elle quitta les lieux, s'échappant de cette flore envahissante.


ARE U STUPID ? I DON'T WANT THIS.

La ville s'ouvrait devant elle, ses bras s'emparant d'elle avec délicatesse et sûreté, avec la bienfaisance de son chez-soi. C'était ici, chez elle. C'était partout et nul part à la fois, dans la moindre des maisons, dans aucune des ruelles de Merveilles. Sans demander l'avis de quiconque, sans consulter les habitants, elle s'était elle-même promue maîtresse de la ville. Elle s'était élevée au rang le plus important, le plus influent, faisant fi des autres et de leurs foies, de leurs croyances. Elle avait décidé qu'elle dirigerait cette ville. Alors elle la dirigerait. C'était de cette manière que marchait le monde, de cette façon qu'il tournait ; pas d'une autre. Il en allait toujours aussi avec elle : quand elle prenait une décision, l'univers devait la suivre, et s'il n'était pas content, s'il essayait de se révolter, de manifester son mécontentement, elle faisait simplement taire. Un gêneur de plus, un gêneur de moi, qui verra la différence ? Seul les autres gêneurs s'en rendront compte : ils étaient soudés les uns aux autres, comme une espèce de secte. Et les sectes, c'étaient indésirables, gênantes justement. Alors il était de son devoir de les éliminer. Elle prendrait son temps, s'il le fallait réellement. Elle le prendrait et elles en prendront double pour avoir osé prendre de son temps. Elle était une personne importante, son temps, son précieux temps, ne pouvait pas se permettre de s'envoler à qui mieux mieux. Elle devait l'économiser, le garder sagement afin de le réutiliser pour des activités plus... Prometteuses.
Rabattant la capuche de l'épaisse cape qu'elle avait enfilé plus pour se dissimuler que pour se protéger du froid sur ses yeux, cachant son visage le plus possible, et refermant les pans du tissu pour enfermer son corps voluptueux et fin sous cette prison légère, elle porta à peine un regard sur le paysage urbain qui défilait sous ses yeux. Qu'en avait-elle à faire ? Elle connaissait toutes les ruelles sombres, toutes les personnes mal attentionnées de Merveille, pour le peu qu'il y avait. Elle n'en avait rien à craindre d'eux parce que c'était eux qui avaient peur d'elle, tout en l'admirant peut-être un peu. C'était ce qu'elle aimait se dire : que tout le monde éprouvait un certain effroi à sa venue mais que tout le monde était fasciné par sa personnalité unique, que tout le monde désirait ce corps superbe - bien que peu ait vu ce dernier, caché sous sa cape. Et, bien que la plupart puisse trembler en voyant une silhouette encapuchonnée, craignant que ce soit elle, il était rare qu'il ressentait autre chose que de la terreur, la terreur de se voir bientôt puni par une maîtresse exigeante et sans réelle pitié. À quoi servait cette dernière ? À rien. Pourtant, elle ne pouvait pas s'empêcher de l'éprouver, parfois. Quand elle voyait ses choses démunies, ces semblants d'êtres vivants ayant perdu toute dignité, toute force, elle ne pouvait retenir les montées de tristesse qui l'accablaient cruellement. Ces pauvres choses n'avaient pas eu la vie pour leur sourire, alors qu'elle elle avait vu la belle facette de la vie. Enfin, quelques instants. Mais si elle faisait tout ceci, c'était pour le revoir, ce joli visage de la vie. Existait-il encore pour elle ? Allez savoir.
Dans sa marche qu'elle effectuait presque les yeux fermés, elle secoua imperceptiblement sa tête, laissant ses longs cheveux rougeoyants se mouvoir légèrement dans son dos, retenus par cet affreux tissu pourtant si doux qui les entravait. Elle avait envie de faire tomber cette cape, de la faire tomber au sol en dégraffant juste l'attache qui la maintenait sur ses épaules frêles et fragiles. Elle voulait se montrer aux passants, leur dévoiler les secrets de son corps, les faire envier, faire monter en eux une vague de désir, le désir d'arracher ses quelques feuilles entremêlées qui constituaient ses seuls vêtements. Elle voulait les faire baver, baver devant sa beauté exotique, baver devant son corps sublime si dénudé. Elle voulait réveiller en eux leur passion sauvage, leurs instincts purement animales. Sur l'instant, sur le moment, ce ne fut que ce qu'elle voulut. Puis, elle se rappela de cette belle facette de la vie. Pouvait-elle vraiment la revoir un jour ? N'avait-elle pas pris un chemin trop éloigné du « droit chemin » ?
Pour contrôler sa pulsion, elle se contenta de tortiller une nouvelle fois une de ses mèches de cheveux sanglantes autour de son doigt, celui-ci parfaitement humain, ayant perdu les gants d'écorces aux longues griffes rouges. En repensant à la façon dont elle vivait sa vie, à sa forme qu'elle utilisait quand elle était seule, à la façon dont elle menait la plupart des gens par la baguette, ... Elle eut un petit pincement au cœur. Tout ceci, ce n'était pas de sa faute, elle n'y pouvait rien : c'était juste les Puissances Supérieures qui avaient désiré tout ce spectacle. Si son âme s'était noircie, c'était par la faute de ces Dieux cruels qui avaient souhaité la voir devenir sombre, qui avaient voulu la voir devenir dépendante de certaines sensations si agréables. C'était leur faute, si elle avait aimé le Feu depuis sa naissance, qu'elle avait suivi une voie tout d'abord naturelle avant de s'en détourner pour se transformer progressivement en la personne manipulatrice qu'elle était à présent. Sa jeunesse lui avait été volée, et elle tentait de la retrouver, tout en sachant pertinemment que c'était impossible. Le pouvoir de la Nature, le sang des Nymphes Terrestres qui coulaient en elle... Tout cela était une source de pouvoir, une source de pouvoir non négligeable. Étant douée, elle avait toujours été un peu au dessus des autres quant il s'agissait d'utiliser son pouvoir à des fins protectrices. Plus destructrice, aussi. En elle brûlait la flamme d'une vengeance dont elle n'avait absolument pas conscience, même maintenant, et qui la rendait mauvaise, qui la poussait à détruire. Le Feu, elle avait appris à le maîtriser quelques années après avoir la maîtrise de son premier pouvoir.
Un éternuement la secoua, la faisant se stopper pendant quelques secondes minimes. L'air soudainement vulnérable, horriblement vulnérable, son regard devenu vert en prenant une apparence humaine se figea. Ceci lui arrivait parfois, ceci lui arrivait de plus en plus souvent. Ses yeux avaient l'habitude de fouiller les environs d'un regard perçant, mais quelques fois, ils s'arrêtaient brusquement sur un détail plus ou moins insignifiant, ayant plus ou moins de valeurs. Et ainsi, stoppée, comme glacée, elle se mettait à rêver, à rêver d'évènements radieux, radieux et magnifiques, mais qui n'arriveront sûrement jamais. Au fond, elle était gentille. Au fond, ce n'était qu'une âme trop torturée par la magie qui l'habitait et qui se faisait trop pesante, une âme peut-être un peu brisée, qui n'aspirait qu'à retrouver le bonheur passé et perdu des jeunes jours d'enfant fou riant aux éclats et disant tout ce qui lui passait par la tête, sans se méfier si c'était méchant ou non, poli ou pas. Elle ne voulait sue retrouver ses instants écoulés, si loin derrière elle.


Histoire


Sa tête se secoua tristement, presque à regrets, et elle oublia de penser. Elle arrêta de se torturer l'esprit avec des choses si futiles, si inutiles : son temps était précieux, elle ne voulait surtout pas le prendre en vain. Alors elle se remit en marche, dans cette marche si habituelle qui allait la mener au lieu où elle étudiait, ce lieu qui lui avait offert une deuxième chance en quelque sorte, ce lieu qui ne la connaissait pas vraiment mais qui l'avait acceptée comme elle était. Le Lycée Yokai. Voilà sa lumière, en quelque sorte. Elle ne se remédiait plus qu'à lui ou presque, ne vivant que pour finir ses études et pour prendre la suite de Violette dans sa boutique.
Elle revoyait ses yeux, ses grands yeux violets qui lui avaient valu son prénom et sa renommée. Elle la revoyait à leur première rencontre, alors qu'elle n'était qu'une fillette de neuf ou dix ans, qui avait déjà connu la misère, la peur et la solitude. C'était après sa fugue, sa fuite de chez les Nymphes, de chez sa famille qui la maltraitait et la reniait, la faisant souffrir et peiner dans sa vie. Elle était abandonnée de tous, loin, très loin de leur cœur supposé généreux. Sa magie avait toujours été différente de la leur, en effet, elle était plus destructrice, plus sauvage. De plus, elle n'aspirait pas réellement à la protection des arbres, des végétaux, de l'environnement de manière générale. Elle s'en fichait un peu, ou du moins cela ne l'intéressait pas particulièrement : c'était son erreur, sa faute. Quand il devint évident pour elle qu'elle n'aura jamais une autre place que la fille indigne et mauvaise de parents malheureux dans cette société de Nymphes, elle avait pris la décision de partir. Sage décision, mais ô combien dure. Elle n'avait tout bonnement nul part où aller, et si elle avait réussi à survivre, c'était grâce à ses connaissances des plantes et à l'aide que les végétaux lui fournissaient. Mais surtout, oui surtout grâce à son Don du Feu qui se développait lentement et sûrement, prenant chaque jour plus de puissance avant de se dévoiler clairement. À cause de cette affinité avec la chaleur, la Forêt se mit elle aussi à l'abandonner, elle son dernier rempart contre la solitude. Si bien qu'à l'âge de sept ans, elle rejoignit les grandes villes pour apprendre la réalité des bandits, des voleurs et des escrocs. Elle se transforma en personne comme eux, adoptant leur mode de vie sans mal grâce à ses deux Dons qui s'accroissaient dangereusement. Elle apprit à rendre son apparence « de la Forêt » plus puissante, alliant la Nature au Feu ; elle eut aussi la connaissance de renforcer son pouvoir avec l'utilisation de ses deux Dons en même temps, lorsqu'elle faisait qu'ils se complètent l'un et l'autre. Son âme s'était noircie, côtoyant sans cesse des forces trop sombres pour elle, et elle se serait vite retrouvée submerger par les mauvais côtés de la vie si Violette n'était pas arrivée. Bien que cette dernière trempait elle aussi dans des affaires un peu louches, elle prit cette enfant perdue sous son aile, lui apprenant à perfectionner sa magie et à tenir les comptes de les boutique d'antiquités magiques de Violette. Cependant, c'était une assez vieille dame fragile, qui avait une espérance de vie égale à celle des humains : un peu moins d'une dizaine d'année plus tard, elle décéda, laissant pour héritage la boutique et son savoir à notre belle Nymphe déchue à condition que cette dernière peaufine son art de la magie. Se retrouvant alors de nouvelle seule, elle s'entraîna de longues heures en cherchant toujours la perfection ultime, jusqu'à ce qu'une lettre arriva un jour « chez elle ». Le Lycée Yokai. Les solution à ses problèmes de solitude, la solution à ses problèmes de magie.

◽ Diana ?
Se retournant pour voir qui l'appelait, pour voir à qui appartenait cette voix mélodieuse si familière, elle vit un ancien fantôme. Violette. Clignant des yeux, ne sachant que trop bien que c'était ses souvenirs remontant à la surface trop brutalement qui faisaient cet effet, elle attendit que l'apparition s'estompe. Ce fut ce qu'il se passa, sans regrets, sans douleurs. Juste un beau sourire fatigué, un joli sourire qui lui disait de continuer ainsi, qu'elle était sur le bon chemin. Un sourire radieux qui réchauffait son coeur, qui le nourrissait de tendresse et d'amour maternelle. Elle tournoya dans les airs une nouvelle fois, pivotant encore pour se rediriger vers l'établissement, et reprit sa marche habituelle, qui allait la mener à ce lieu qui était son dernier espoir d'une certaine façon.


Behind the screen

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▬ Prénom ou Pseudonyme : Alex, ça me convient parfaitement.

▬ Age : Mhmh.

▬ Que penses-tu du forum ? : J'ai l'impression de retourner à la maison, après une dure, longue et ennuyante journée de cours. Je me sens bien, bien que je ne connaisse presque personne, que le design ait changé et que je sois " nouvelle ". Je me sens agréablement bien.

▬ Comment as-tu connu le forum ? : C'est une vieille histoire.

▬ Code du règlement : Shushu valide♥


Arrogant-Mischief sur Epicode


Dernière édition par Diana H. Irana le Mar 26 Nov - 17:17, édité 4 fois
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Shura Tsukiyomi


Shura Tsukiyomi

Féminin Messages : 1226
Est arrivé(e) le : 14/04/2013
Age : 26
Localisation : Suis moi et tu verras

PERSONNAGE.
Race: Vampire/Ange
Amour: Réservée ~
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MessageSujet: Re: L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera.   L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera. EmptyJeu 21 Nov - 21:25

Re-bienvenue à toi et bon courage pour la suite :)
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MessageSujet: Re: L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera.   L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera. EmptyVen 22 Nov - 21:05

Merci à tous les deux. .3
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MessageSujet: Re: L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera.   L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera. EmptyMar 26 Nov - 17:19

Et voilà, c'est terminé. Au final, j'ai décidé d'être une adolescente de dix neuf ans, afin de passer mon bac et d'avoir l'héritage de la boutique. Donc désolée pour ces petites modifications. ♥
Aussi, je ne pense pas pouvoir avoir les trois images avant samedi, donc désolée. .c

EDIT : Peut-être en attendez vous plus pour l'histoire, et si oui désolée. Cependant, je vais la développer In RP : si j'avais commencé sur ma fiche à bien détailler, je ne m'en serais jamais sortie.
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MessageSujet: Re: L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera.   L'ombre puisse-t-elle te trouver un refuge lorsque la lumière t'abandonnera. Empty

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