Suite aux récents évènements j’avais besoin de refaire mon costume de travail. J’avais accumulé une certaine somme d’argent depuis mon arrivé ici et je pourrais me payer les services d’un tailleur que l’on m’avait recommandé. Un ami me l’avait indiqué en tant que cosplayeur et avait vanté ses mérites de tailleur. Je profitais donc d’un jour de congé pour me balader en ville et passer dans sa boutique. L’air était doux en ce mois de février et le ciel était bleu. Il faisait frais mais ma tenue me tenait chaud. Je n’avais pas mis de costume particulier aujourd’hui, un pantalon gris foncé en toile et des chaussures noires classiques me couvrait le bas. Une veste de toile bleu clair couvrait une chemise blanche. Le gens arpentais les rues, entrait et sortait des boutiques, la neige de la nuit avait fondu sous la chaleur du jour et les mouvements de foule. Dommage, j’aimais bien la neige. Je rentrais dans une ruelle
Il était quatre heures et demie de l’aprème midi quand j’entrais dans la boutique « Le fou du cosplay ». Je préférais les boutiques de cosplayeurs pour tailler mes nouveaux costumes. Une petite extravagance incomprise de mes collègues, mais l’art de ces tailleurs de faire des costumes alambiqués en matériaux incongrus donnais souvent un travail discret et de qualité. La boutique était très spacieuse et bien éclairée. On sentait que cet homme était bel et bien un vrai tailleur, chaque costume était fait sur mesure. Bien sûr il se trouvait en rayons des tailles uniques de fort belle qualité représentant les costumes d’héro de tout type et de tout anime. Ici se trouvait le ninja le plus connu du monde, un costume du Full metal alchemist trainais et au fond était exposer l’équipement de la brigade de reconnaissance de l’anime Shingeki no kiiojin. Un détail me fit sourire, une vitrine présentait dans cinq cascades de lumières les costumes des power rangers. On aurait dit le décor de la base d’un seinen.
En poussant la porte la clochette de l’entré carillonnas, annonçant mon entrée dans l’établissement. Un homme sortis de l’arrière-boutique. Je savais que le propriétaire n’étais pas humain, mais là, un panneau lumineux serrait plus discret pour annoncer le fait qu’il était un vampire, il portait sa devanture sur lui. Un long manteau avec un très haut col, une tenue sombre, violette et rouge, qui agrandissait sa taille. Il me rappelait Lelouch Lamperouge, de Code Geass.
« Bonjour monsieur. J’ai une commande très spéciale pour vous. Je suis Carrick Mulder de la brigade de sécurité. Bien sûr, j’y mettrais le prix. »
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