Le jeune homme ne travaillait pas aujourd'hui, il se reposait tranquillement dans sa grande villa. Léon se sentait assez seul, c'était du gâchis d'avoir une grande villa et qu'il se trouvait tout seul. Le jeune homme aimait se balader dans sa maison en étant totalement transformé en lion blanc, mais il ne pouvait pas changer de forme quand il le voulait et il devait attendre pour reprendre sa forme humaine.
Il s'ennuyait, en espérant faire de nouvelles rencontres pour s'amuser un peu, il décida de sortir dehors.
Le jeune homme devait décompresser après avoir fais cours au première année, c'était assez dur son premier cours au lycée.
Léon se balader tranquillement la ville était rempli comme tous les week-ends, il faisait beau. Une heure plus tard, le jeune homme avait commencé à avoir faim, il était passé à côté d'une boutique, ou il y avait des gâteaux. Le jeune homme professeur était attiré par ces gâteaux, il décida de rentrer dans la boutique.

- Léon : bonjour, je viens pour acheter quelques gâteaux.

Le jeune homme s'approcha du comptoir, il jeta un coup d'œil à la boutique et il avait vu qu'il n'avait pas mis ses gants. Alors il devait éviter de toucher des personnes, sinon leur envie la plus forte sortira.

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Léon était dans la boutique, il avait vu la gérante se dirigeait vers lui et le jeune professeur, c'était rendu compte qu'il avait encore oublié ses gants. Le jeune homme devait éviter de toucher des personnes. Sil le faisait ça, la personne devrait réaliser son envie la plus forte. Léon avait une envie de manger des gâteaux, c'était vraiment qu'il était né sous le pêché de l'envie, il avait le pouvoir de faire réaliser l'envie la plus forte à la personne qu'il touchait et il ne peut ignorer son envie, quand il a envie de gâteau, il devait le satisfaire. Sinon il ne se sentait pas bien, la patronne de la boutique était arrivée depuis quelques secondes.

- Seiza : Bien entendu ! Désirez-vous consulter la carte des desserts ou savez-vous déjà ce que vous désirez prendre ?
- Léon : J'ai bien vu ce que vous proposé et je voudrais deux crêpes au chocolat et un jus de pomme. 

Le jeune homme voulait sortir son argent, mais il avait fait tomber des pièces, par terre, alors il se baissa pour les ramasser et il regardait la jeune fille en souriant. Il avait ses pièces dans ce main pour le donner à la jeune femme. Léon attendait la confirmation du prix, il regardait la jeune fille en souriant. Soudain, une personne assez pressée avait bousculé le jeune homme qui avait perdu son équilibre et il avait mis son point sur le comptoir et une main, c'était placé sur la main de la jeune fille. Le jeune professeur n'avait pas fait exprès et il retira rapidement sa main. Il se retourna pour voir qu'il l'avait poussé, mais il n'y avait personne.

- Léon :Je suis désolé, une personne m'a bousculé. 

Cependant, le pouvoir de Léon avait fait effet. Donc en touchant la jeune femme cette dernière devait réaliser son envie la plus folle pendant quatre-heures et le professeur était inquiète. Alors il regardait la vendeuse pour lui donner sa commande et il allait voir qu'elle serait son envie la plus forte qu'elle voudra réaliser.

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La jeune femme avait donné la commande au jeune homme, il l'avait pris et elle lui avait fait un signe de la main pour qu'il parte dans une table. Léon était troublé d'avoir touché la jeune femme, cette dernière était partie mangée des pâtisseries.
C'était son envie la plus forte, Léon était assis à sa place et il avait des remords car il a touché cette jeune femme sans le faire exprès et son pouvoir prenait effet pendant 4 heures. Le jeune professeur mangé tranquillement ses crêpes et bois son jus de pomme. L'homme se sentait vraiment coupable et il décida d'aller s'excuser. 
C'était totalement sa faute, s'il avait mis des gants cet accident ne serais pas survenu. Léon se leva de sa place et il se dirigea vers la jeune femme. Quand il était devant elle, il se gratta l'arrière de la tête. Le professeur regardait la jeune femme et il lança un sourir.

- Léon : Heu... Excusez-moi si je vous dérange, mais ce qui vous arrive est sûrement ma faute. Quand on m'a bousculé, je vous ai touché dans le faire exprès et j'ai le pouvoir de faire ressortir l'envie de la personne, on le touchant avec ma main. Je suis totalement désolé du souci que j'ai provoqué et sa dure que 4 heures. Dans le temps normale, je porte des gants pour ne toucher personne, mais je l'ai oublié. 

Léon était resté devant la jeune fille en souriant, il attendait sa réponse. Le jeune professeur espérait qu'elle ne va pas se fâcher. Léon était gêné, il ne savait pas ce qu'il devait faire.

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Léon ne savait pas qu'avouer que c'était la faute de son pouvoir, pouvait lui poser les mêmes soucis que dans le monde des humains. La jeune femme avait mal pris le fait que le jeune professeur avait utilisé son pouvoir sans le faire exprès. Elle lui avait mis une gifle, le jeune homme était surpris, il ne s'attendait pas à cette réaction.
Elle n'avait pas accepté ses excuses, c'était dommage, le jeune homme voulait passer du temps en compagnie d'une personne, mais elle souriait quand elle avait giflé. Le jeune homme professeur avait hésité à frapper la jeune femme, il ne supportait pas qu'on le gifle pour rien. Il s'était contrôlé, mais il lança un regard noir vers là, elle et il fronça les sourcille. Cela montré qu'il était vraiment énervé. Elle avait parlé au jeune homme avant de quitter son restaurant.


- Seiza : Vous êtes prié de ne plus venir ici sans vos gants. Et vous être prié de foutre le camp de mon commerce immédiatement, merci bon soir !


Le jeune homme avait serré ses poings, il voulait la frapper, mais il avait repris ses esprits, en se contrôlant. La jeune femme était partie, alors il ne pouvait pas lui répondre qu'il n'allait pas revenir dans un restaurant ou la propriétaire et mal élevé, il ne supporte plus d'être là, il était sorti précipitamment en prenant ce qu'il avait déjà commandé et il mangea sur la route, mais le jeune professeur était toujours énervé. Léon avait bien senti que ses griffes lui sortaient de ses doigts et ses mains son devenu des pattes. Le jeune homme avait la folle envie de frapper ou même de tuer et si la gérante du restaurant était devant lui, il serrait transformé en lion blanc pour la manger. Il devait faire sortir son envie de tuer, le meilleur des moyens était de se défouler.
Léon se précipita dans le parc, il connaissait un endroit tranquille ou il pouvait s'entraîner avec son épée. Il avait invoqué son épée et il commencé à faire des mouvements, mais cela n'avait servi à rien, car il sentait bien qu'il devait se transformer, sinon il allait surement commettre un meurtre. Alors le jeune professeur se transforma en lion blanc. Dans ce coin, personne n'allait venir, alors le jeune hybride était tranquille, il commençait à courir, dans cette partis du parc et il ne s'arrêta pas. Donc Léon courait à travers le parc, il ne faisait pas attention aux personnes, mais ils n'y avaient pas beaucoup de monde. Alors personne ne l'avait vraiment vu, l'hybride avait couru pendant plusieurs heures. Quand il était fatigué, Léon s'était allongé dans l'herbe et il s'endormait, paisiblement.
Six heures étaient passées, alors il avait repris forme humaine, l'avantage, c'était que le jeune homme gardé ses habits. Il était victime se pêcher, qu'il n'arrivait pas bien à contrôler, mais la sieste lui avait fait du bien. Même en reprenant forme humain, le jeune professeur resta endormi.

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