Je venais d'assister à mon tout premier cours de japonais au lycée Yokai. C'était une langue que je ne maîtrisais pas trop, puisque qu'au Québec, on ne parlait pas japonais, et ce n'étais pas une langue qu'on apprenait. Mais je connaissais quelques mots, puisque je regardais des épisodes sous titrés, je connaissais donc certaines traductions. Le cours était intéressant ma fois, j'apprenais pleins de choses, et puis je m'y trouvais une facilité, que d'autres n'avait apparemment pas. Je regardais la prof, et je suivais. Et je n'avais personne à côté de moi, ce qu'y m'arrangeait, pour mieux suivre le cours, et ne pas être embêté. Je ne participais pas trop, mais j'écoutais, contrairement à d'autres élèves. C'est alors que la sonnerie se fit entendre. Je commença à ranger mes affaires dans mon sac, mes crayons dans ma trousse, et j’enflai mon cartable "easpac" sur mon épaule, prête à partir au cours suivant.