La journée s'annonçait rayonnante et délicieuse. Dommage que la miss soit assignée à son cabinet, désert. Personne n'était venu encore depuis bientôt quatre ou cinqu heure. Elle s'ennuyait ferme. Pas de jeune gens à sermoner, taquiner, embarrasser ou même avec qui jouer. La sublime angélique toujours drapée en dame de la haute, voulait plaire et attirer les regard. Que sont égo démesuré soit satisfait. C'est dans cette optique qu'elle se permise une folie. Elle se changea dans son petit local, vérrouillé pour l'occasion bien entendu. Se dénuant en sous-vêtement pour enfiler juste après, chaussettes de sport, un joging en deux parties et émeraude puis des basket blanches. (la tenue) La voilà prête à décoller, façon de parler. Elle fourre un sac de sport blanc, d'affaires de rechanges, d'une trousse de premiers soin et de son coquet set de plage mignonnet. Enfin, elle gagne la porte, la dévérrouille, la passe et la scelle à nouveau. Laissant un petit mot scotché à la vitre. Je ne suis pas dans mon cabinet mais venez me trouver au gymnase. L.S. S'y rendre au trop plutôt qu'au pas, lui plut assez. Il fallait qu'elle s'entretienne tout de même. Car la majorité de son temps était dévoré par son devoir de rester disponible dans sa petite cage. Elle espérait que la directice, une bonne connaissance ne la réprimande pas pour sa petite escapade journalière.

Ainsi cette belle blonde gagnait les abords du gymnases, en y repensant elle avait à peine connu le dernier professeur de cette discipline, excitante. Pour la créature de luxure, sentir la sueur des jeunes corps était une extase et une drogue. Mais cet homme là elle ne l'eut violé, il ne fit pas même parti de ses prétendants, quel dommage se disait-elle encore car il était à croquer. Soudain, elle glisse un petit regard au travers des portes mais ne le voit nule part, trouvant cela bien étrange, elle décide d'aller demander à cette dame là-bas qui cavale. Elle alla déposer son sac près de la piscine au cas où elle devrait y faire intervention médicale. Puis elle accourue, non comme une dératée ou une pauvre bécasse qui ne savait s'y prendre, juste en sportive amateur. A gracieuses foulées elle rattrapait la bonne dame pour l'interpeler. « Pardonnez-moi l'amie mais je n'ai pu trouver le professeur Kuroya. Serait-il madale par hazard, êtes-vous sa remplaçante ? » Elle voulait parler du professeur dont elle ne savait pas encore qu'il avait quitté l'établissement.