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Psychology

Ai est une personne banale que l'on retrouve partout dans ce monde. Elle n'a jamais eu de problèmes avec qui que ce soit, sauf peut-être avec sa belle-mère qu'elle a quitté il y a désormais deux ans. Elle collectionne les ami(e)s et a tout de même quelques ennemi(e)s mais pas énormément. C'était, généralement, eux qui la haïssaient plutôt que l'inverse, mais il lui ai déjà arrivée de détester certaines personnes avec qui elle ne parvient pas ou ne fait pas l'effort de s'entendre. C'est comme ça, dans la vie, il y a des gens qu'on aime et d'autres beaucoup moins! Comme par exemple ses amies qui l'apprécient pour : sa gentillesse, sa sincérité, son sens de l'humour, sa simplicité et le fait qu'elle s'énerve lorsqu'elle perd une partie de Mario Kart contre elles. Mais elle n'est pas faite que de qualités, comme tout être humain même si certains affirment le contraire. Elle peut être vulgaire, très mauvaise perdante, repoussante, froide, distante (ce qui est très rare en général, mais ça arrive quand même) voire même pestiférée. En général, elle ne le reste pas très longtemps. Enfin, pour elle, les deux mois où elle boude ne sont pas très longtemps. Elle dit toujours qu'elle pourrait râler six ans voir toute la vie, donc pour elle, deux mois, ce n'est rien du tout face à tout le temps qu'il lui reste à vivre! Il ne faut pas oublier de préciser qu'elle est assez folle et ne s'en rend même pas compte, de même pour le fait qu'elle soit maladroite au point de se baisser devant un garçon alors que l'on peut tout voir de ses seins. Même si ses amies lui font tout le temps la remarque, elle ne comprend absolument rien et continue ses mauvaises habitudes ce qui lui a fait perdre un bon nombre d'amies... sûrement jalouse.

Appearance

Oh, Ai n'a rien d'un mannequin comme ses amies lui prétendent ! Elle a juste des yeux bleus azur, un visage ovale et pâle (mais pas énormément, n'essayez même de la comparer à un cachet d'aspirine, ça ne fonctionne pas...). Ses cheveux sont blonds comme sa mère tandis que son père est brun. Très étrange, n'est-ce pas ? Peut-être est-ce une teinture ? Elle ne s'était jamais vraiment posé la question. Elle a une toute petite bouche très même trop simpliste. Et c'est tant mieux. En descendant plus bas, on peux quand même se rendre compte que ses cheveux ne sont pas si courts que ça, même assez longs! Il s'arrête un peu après sa poitrine et vraiment avant le bassin et le nombril. En parlant de poitrine... on peut dire que les garçons doivent être contents de la voir en décolleté! Mais elle n'a pas non plus d'énormes pastèques comme dans les vieux ecchi. Ils collent parfaitement à sa silhouette et donc, sa taille qui est d'1,74m pour 55kg. Elle est d'ailleurs très fière de sa taille et ne désire absolument pas rétrécir comme dans les reportages sur les géants (un peu trop géants d'ailleurs...). Elle a de la chance d'avoir de très longue et belle jambes, mais ce n'est pas pour ça qu'elle va tout le temps les rendre publique... à cause de la belle tâche de naissance très visible sur son genou. Parfois, elle met un bandage quand elle tient à tout prix à mettre une robe pour faire croire à une blessure et son numéro d'actrice marche sur tout le monde, sauf peut-être sur son unique animal (un chat) : Kyô. Mais comme c'est un animal stupide, elle ne s'en préoccupe pas vraiment vu qu'il ne risque pas de révéler son tout petit secret. Et ce n'est pas des "miaoou" qui vont lui empêcher d'enfiler ses décolletés. Pour les vêtements qu'elle a l'habitude porter, vous l'aurez tous compris qu'elle aime énormément les robes. Elle en a une tonne en violet et seulement quelques unes dans d'autres couleurs. Elle aime aussi les jeans portés avec des baskets et un casque comme accessoire qu'elle laisse glisser sur son cou. A part les casques, elle peut porter des bandeaux mais rien d'autre.

Storyline

Ai est née dans un petit hôpital d'un quartier perdu d'Osaka. Déjà bébé, elle avait l'habitude d'être entourée d'inconnus à cause des nombreuses connaissances de ses parents dont elle ne se souvient ni du nom, ni de l'apparence. Elle était fille unique et ça ne l'a dérangé pas plus que ça, sauf quand elle a commencé à apprécier les Barbies. Elle aurait voulu faire comme dans les publicités et jouer en compagnie d'une amie ou une sœur, mais c'est sans compter sur ses parents qui refusent catégoriquement d'avoir un second enfant. Elle était persuadée qu'il y avait une raison cachée à ça mais n'a pas cherché à en savoir plus. Ce n'est que lorsqu'elle a surpris une conversation entre sa mère et sa grand-mère qu'elle a tout su : sa mère est stérile. A l'époque, elle ne savait pas que ça signifiait que jamais elle n'aurait de sœur ou de frère et ne s'inquiétait donc de rien. Ce n'est que lorsque sa maîtresse aborda le sujet qu'en elle eu ses neuf ans qu'elle prit conscience de la gravité de ce qu'elle avait entende trois ans plus tôt. Maman ne pourra pas avoir de bébés? Je n'aurais personne pour jouer avec moi? Même pas un mignon petit-frère à cajoler? Personne? Mais, pourquoi ma maman à moi?! Pourquoi ça ne pouvait pas être maîtresse Irie?? Pourquoi nous?!" Elle n'arrivait pas à passer à autre chose mais elle dû se forcer à son entrée au collège pour ne pas paraître "associable" et enfin avoir de nouveau des copines avec qui manger le midi et partager tout ses secrets. Elle en a d'ailleurs eu quelques unes dont la plupart habitaient juste dans son immeuble sans qu'elle ne s'en rende compte et d'autres étaient de passage, ce qui signifiait qu'elle ne les reverrait peut-être pas à moins de partir en Australie, étant donnée qu'elles partent étudier là-bas. Mais il n'était pas question de quitter la belle vie qu'elle s'était construite avec tant de mal, où elle était entourée d'amies qui ne lui faisaient que des compliments! Non, ça, jamais! Alors elle a opté pour la solution la plus simple et s'est contentée de venir à l'aéroport les saluer. Mais, le trajet ne se passa pas sans encombre... en effet, c'est à ce-moment qu'elle "le" rencontra. Qui ne pouvait pas céder à cette demande si impoli que le jeune homme eu susurrer aux oreilles d'Ai ? Il fallait juste qu'elle l'embrasse et la vie de son amie était sauve. Elle ne s'était même pas demandée pourquoi un parfait inconnu voulait qu'elle pose ses lèvres sur les siennes. Non, elle s'est contentée d'obéir pour son propre intérêt sans penser au fait que son amie serait libre. Et puis, c'était tant mieux si chacune y gagné quelque chose, non ? Son amie la liberté et elle un baiser d'une beauté divine dont elle ne connaissait ni le nom ni l'existence. Alors qu'elle prenait son temps, le jeune homme s'approcha rapidement de sa nuque et la mordit tout près du menton. Elle ne savait pas ce qui se passait, elle ressentit juste une horrible sensation comme si elle brûlait à petit feu puis... le vide. A son réveil à l'hôpital, elle paniqua quand elle revit le visage du jeune homme juste à ses côtés, là, main dans la main, alors qu'il était responsable de son entrée ici et du fait qu'elle portait une horrible robe de malade. Lui était vêtu d'un beau pardessus blanc avec des chaussures que porte les hommes d'affaires quand ils s'en vont aux enterrements, tout en noir obscur. Il riait en la voyant grimacer.
Ne t'inquiète pas, tout ira bien...
Ah oui ? J'ai été menacé de perdre mon amie si je n'embrassait pas, je me fait mordre comme si j'étais une saucisse accompagnée de frites ou de pâtes comme l'aime tant les européens, je me réveille dans un hôpital avec comme seule explication une morsure de chien enragé sur le cou tout près du menton et on me dit de ne pas m'inquiéter ?! Mais bravo.
Je te dis simplement de ne pas t'inquiéter, tu ne vas pas souffrir de cette transformation, alors écoute-moi s'il te plaît...-
Transformation? Mais de quoi tu parles, bon sens ?! Tu vas me sortir "Tu es un vampire maintenant" hein ? Mais on me l'a fait pas, à MOI ! Et dépêche-toi de dégager d'ici, tu gâches la vue avec tes vêtements tout droit sorti du marché made in china à cinquante-neufs centimes. Retourne voir de vieilles séries gore/ecchi pour travailler ton scénarios. Elles étaient bien faites tes fausses dents bien pointu... garde-les. Mais le reste ne va pas du tout. Déjà, comment tu m'as menacé, on ne voit ça que dans les films tout pourri français.
Tu es encore plus stupide que je ne me l'imaginais, Yoshita-san... c'est navrant.
MOI JE SUIS.... Attends, d'où connais-tu mon nom, vieux pervers ?
J'ai vécu deux cents quatre-vingts longues années sur cette planète et j'en sais assez sur toi pour me permettre de dire que tu es une imbécile. M'écouteras-tu, cette fois ? J'allais vraiment te dire que tu es un vampire à cause de mon envie d'y goûter...
Sors d'ici. Tu pues vraiment. Pourquoi devrais-je écouter quelqu'un qui s'invente des vies ? Tu as juste dû voir mon nom écrit sur mon uniforme, alors arrête tes bobards, ça ne marche pas comme ça avec "l'imbécile". Depuis quand les vampires existent ? Ce ne sont que de stupides histoires pour effrayer les bébés, personne n'en a jamais vu à part peut-être les moustiques, mais c'est vraiment autre chose, alors n'essaye même pas de jouer avec moi, vicieux.
Ai pensait vraiment ce qu'elle avait dit mais elle avait quand même un doute. Ne portait-elle pas une robe le soir-même ? La connaissait-il vraiment depuis longtemps ? Et cette sensation, juste à l'instant, comme si son sang se gelé... devait-elle s'en inquiéter ?


samedi 24 avril
C'est moi qui ai récupéré le journal aujourd'hui. J'avais envie de savoir ce qu'il se passait, juste par curiosité et par ennui. Mais, le journal de ce matin semblait différent de d'habitude...
Lycée Yokai, accueille les monstres à l'abri des regards humains et les exerce à l'approfondissement de leurs pouvoirs... ça ne devait être qu'une blague par un gamin du coin. Oui, c'était sûrement ça. Mais dans ce-cas, pourquoi Ai tremblait-elle ? Depuis qu'elle savait qu'elle était réellement un vampire après ne plus jamais avoir vu son reflet et massacré une tonnes d'êtres humains en les vidant de leur sang, plus rien n'allait dans son quotidien. Si toute cette histoire est réelle, ce lycée dont parlait le journal, pouvait-il vraiment exister ?

J'ai passée cinq heures à réfléchir à tout ça : ma transformation, la nuit, mes crimes, ma perte de tout signes d'humanités... tout ce qui est relié à l'incident de cette nuit-là. Je n'en était vraiment pas sûr, mais je devais aller à Yokai, pour enfin m'éclaircir les idées... encore fallait-il être sûr de son existence, et ça n'a pas été facile de revoir Sei (celui qui m'a vampirisé..) pour en avoir confirmation. Finalement, j'en suis à ma troisième année à Yokai grâce à son aide pour mon inscription et je ne regrette rien... attendant avec impatience la suite des évènements.

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